Zayne
Je jette un coup d'œil furtif à la jeune fille en face de moi dès que j'en ai l'occasion pour l'observer. Nos yeux se sont croisés deux fois, mais son visage a conservé son indifférence antérieure. Elle est intéressante, je dois l'admettre. Lorsqu'au milieu de la discussion, elle a fait un commentaire sur le fait que le mariage de nos parents ne durerait pas, j'ai gloussé. Je pense en fait la même chose qu'elle, mais, elle par contre, a pu le dire à voix haute, ce qui signifie qu'elle a des couilles.
— Nous sommes sur le point d'aller nous coucher. Qu'est-ce que vous allez faire ce soir, les enfants ? nous demande mon père alors que nous finissons les dernières parts de pizza.
— Je pense que je vais finir le livre que j'avais commencé il y a quelques jours, répond ma nouvelle demi-soeur. Qui lit un vendredi soir ?
— Nerd, crie-je pour la taquiner, espérant qu'elle tournera à nouveau ce beau visage vers moi et me parlera. Malheureusement, elle ne m'a ni répondu ni regardé.
— Zayne a raison, Maija. J'apprécies que tu aimes lire comme ton père le faisait, mais c'est ton dernier été avant l'université. Tu devrais t'amuser un peu, dit sa mère.
— Lire est amusant, maman, répond la jeune fille. Dépassée, Carolyn la regarde et soupire. De toute évidence, cette fille n'est pas seulement belle et intelligente. Elle est aussi très têtue. Je me mords les lèvres en imaginant à quel point ce sera amusant de la voir se tordre de plaisir une fois qu'elle sera dans mon lit.
— Que fais-tu ce soir, Zayne ? me demande Carolyn juste au moment où je m'imagine enfoncer ma bite dans l'intimité mouillée de sa fille.
— Zayne ? appelle-t-elle une fois de plus, me sortant enfin de mes pensées sordides.
— Euh, rien de spécial. Je rencontre des amis plus tard, réussis-je enfin à dire.
— Tu devrais prendre Maija avec toi, laisse entendre Carolyn.
— Maman, fait Maija sur le champ, puis elle jette un regard noir à Carolyn. Suis-je si répréhensible pour elle qu'elle préfère lire plutôt que de passer du temps avec moi ? Sur cette pensée, j'esquisse un sourire en coin. Je vais adorer entrer dans ta culotte, ma belle, me suis-je ensuite dit intérieurement en regardant son petit visage. Aussitôt, je sens mon érection devenir encore plus intense, au point de me faire paniquer. Je ne veux pas que mon pantalon se déchire et que ma virilité soit exposée. Quoi qu'il en soit, j'ai vraiment besoin d'enfoncer ma bite dans une cha*te ce soir. Heureusement, j'avais fait des plans avec Sienna plus tôt.
— S'il te plaît Zayne, cela signifierait beaucoup pour moi, insiste ma nouvelle belle-mère en me souriant. Son sourire me remplit de chaleur et de réconfort, si bien que j'ai presque envie d'honorer son souhait. Bien que je sois super excité, je peux attendre et voir Sienna demain. J'aurais certes besoin d'une longue douche froide pour passer l'envie, mais ça pourrait marcher. Pour lui faire plaisir, je gémis et m'apprête à accepter, mais Maija avait d'autres plans, et il semble qu'elle ne veuille pas être près de moi.
— Maman, maman, il a clairement l'intention de faire l'amour avec quelqu'un. Veux-tu vraiment que je bloque la bite de mon nouveau frère ? dit-elle avec désinvolture, sans même me jeter un coup d’œil.
— Maija ! crie Carolyn, complètement choquée. Cependant, elle n'est pas la seule dans cet état. Papa et moi sommes également hébétés en entendant cela. Cependant, Maija ne montre aucun signe de remords.
— Maman, je t'ai dit que j'avais l'intention de lire ce soir. Quant à Zayne... reprend-elle. Ma queue palpite lorsque mon nom sort de sa bouche. Là, elle marque une pause, se lève, se dirige vers l'escalier et sourit.
— Quelqu'un l'attend pour une longue soirée, dit-elle ensuite, puis elle court à l'étage avant que sa mère puisse répondre. Choqué par son caractère, je ricane et secoue la tête. Je peux ajouter la franchise à la liste des traits de caractère de ma demi-soeur sexy. Sans faire de commentaire, je me lève rapidement et quitte la table. Par la suite, je sors de la maison et me dirige vers la Jag car. Comme l'a dit Maija, le devoir m'appelle pour mon plan cul.
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Sienna me chevauche alors que nous nous préparons pour un autre tour. Nous l'avons déjà fait trois fois, ce qui est mon maximum habituel, mais je suis insatiable ce soir. Je n'arrête pas de m'imaginer Maija en train de chevaucher ma queue, et ça me fait bander quelques minutes après avoir joui. J'ai envie d'elle comme je n'ai jamais eu envie. Ces lèvres que je veux enrouler autour de ma queue, ses cuisses entre lesquelles je veux enfouir mon visage, tout cela me donnait l'impression d'être fou. Tout en l'imaginant à quatre pattes face à moi, je pénètre Sienna avec violence et me mets à la cogner durement. Mes coups de reins sont rapides, puissants, réguliers et la font haleter. Après un long moment, je sens un orgasme massif me traverser. Respirant lourdement, je m'effondre à côté de Sienna.
— Bébé, c'était incroyable, dit cette dernière en haletant comme une athlète essoufflée. Je marmonne alors une réponse en pensant à Maija, qui doit être en train de se pelotonner dans son lit avec son livre. Qu'est-ce que je ne donnerais pas pour être recroquevillé avec elle en ce moment ? Sur cette réflexion, je gémis en me sentant durcir à nouveau.
— Bébé, bébé, bébé ? appelle Sienna en me tirant de mes pensées.
— Huh ? je réponds, en la regardant avec inquiétude.
— Tu ne m'écoutais pas. T'es vraiment un con. Dès que tu jouis, tu oublies mon existence, pleurniche-t-elle. Elle s'attend certainement à ce que je m'excuse, mais je n'ai que faire d'elle. Ma demi-soeur sexy occupe déjà assez mes pensées pour que je veuille supporter une crise de colère de cette jeune fille histérique à côté de moi. Sans répondre, je me redresse immédiatement. Je n'ai pas la patience d'écouter ses jérémiades ce soir. Je sors alors du lit et j'enfile mes vêtements.
— Où est-ce que tu vas comme ça ? me demande-t-elle entre deux sanglots.
— A la maison. Je t'envoie un texto plus tard, lui réponds-je.
— Zayne, si tu t'en vas, je ne coucherai plus jamais avec toi, me lance-t-elle avec un ton menaçant. Est-elle sérieuse là ? Sans dire mot, je hoche calmement la tête et sort, puis ferme la porte derrière moi. Elle agit toujours comme ça, mais elle appelle toujours quand elle a besoin de sa dose. J'ai des problèmes plus urgents dont je dois me préoccuper : comment je vais survivre à l'été si je ne peux pas séduire ma demi-soeur.