LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_26
Appelez-moi «femme adultère, éhontée, prostituée, garce», bref tout ce que vous voulez et vous savez quoi? Je ne vais pas vous en vouloir pour ça. Je mérite tous ses qualificatifs et même plus à cause de ce qui se passe entre mon chauffeur et moi en ce moment.
À vrai dire, j'ignore aussi ce qui a conduit à tout cela, je ne cesse de demander à moi même quand est-ce que je suis tombée aussi bas? Quand est-ce que j'ai bafoué ma dignité et mon honneur en me laissant baiser par mon chauffeur ?
Je me pose ces multitudes de questions et la seule réponse que je peux donner est "l'envie". C'est l'envie et le désir de voir la bite du chauffeur qui m'ont amené dans cette situation. Vous savez, l'être humain aime l'interdit, le mauvais.
C'est mal mais c'est comme ça que nous sommes, au départ je trouvais la bite du chauffeur énorme puis j'ai désiré la voir par la suite.
Je désirais ça constamment, j'en faisais même des cauchemars éveillée, ça me hantait quasiment et au final j'ai eu ce que je voulais.
Non seulement je l'ai vu mais je l'ai aussi en moi actuellement.
Je me fais brutalement défoncer par sa grosse bite en ce moment et excusez-moi mais j'adore ça. Je gémis comme une folle...oh ouii...
Il prend mes seins en coupe dans ses mains et les presse fortement, ses doigts me transpercent presque la peau des seins...je crie de plaisir...
C'est douloureux et doux à la fois. Il me baise plus fort, oh putain, il n'est pas entrain d'aller de mains mortes avec moi.
Ces moindres faits et gestes sont très violents, ne parlons même plus de ces coups de rein qui sont très puissant et raisonne en moi comme le bruit qu'on entend quand le mortier rencontre le pilon...ses coups de reins sont si fermes et puissants que chaque son qu'émet ses "vas" et "viens" raisonne au plus profond de mon être.
Moi : Oh oui....hummm...hum..hannnnnn....
Une de ses mains malaxe mon sein au moment où le second me donne de violentes claques contre les fesses, chaque fessée qu'il m'administre me fait couiner et gémir plus fort.
«KPA», sonne le bruit fort de sa dernière fessée.
Ça a été si douloureux que mes yeux se sont remplis de larmes sur l'instant, j'ai hurlé de douleur.
Moi : AÏE...HUM.... OUIIIII....
Je n'ai pas encore vu la partie des fesses sur laquelle il m'a administré la fessée mais je peux vous garantir que c'est rouge et qu'il y a sûrement les marques de ses cinq doigts en rouge tellement c'était violent.
Charles : Oh oui bordel...merde sale pute...ouiii...grogne t-il en se faisant le plaisir de me baiser comme une vulgaire chienne.
«Kpa», il m'administre une autre fessée toujours à la même partie de mes fesses mais cette fois elle a été moins douloureuse que la précédente.
Moi : Oh yeah...oui...ouiiii... baise-moi Charles...baise ta pute de patronne...oh oui...
Son pénis va et vient dans ma chatte, petit à petit ma chatte commence à engloutir la totalité de sa bite, je sens que sa bite ne va plus tarder à entrer dans son entièreté dans ma chatte.
Charles : Courbe-toi! M'ordonne t-il.
Super, il me tutoie maintenant, bravo. Je me demande pourquoi je continue de gémir et d'aimer ce qu'il me fait alors qu'il me traite avec autant de brutalité.
Charles : Allez courbe-toi, dit-il en me donnant une sonnante fessée qui me fait crier.
Telle une esclave au service de son maître, je me courbe de sorte à former un "U" renversé. Il pose chacune de ses mains sur ma taille et la tient fermement.
Tout doucement, son pénis commence à pénétrer de plus en plus en moi, il veut forcer la pénétration, oh non, je ne pourrai pas prendre tout ça, c'est trop douloureux.
Moi : NOOONN S'IL TE PLAÎT CHARLES...
Je crie en larmes mais il m'ignore complètement. Il continue de s'enfoncer puis finit par s'arrêter. Je vois qu'il m'a finalement écouté et s'est arrêté.
Je soupire un peu plus calme, malheureusement mon soupire a très vite été remplacée par un cri strident parce que Charles s'est brusquement enfoncé d'un coup sec en moi. Il garde le rythme et commence à me pilonner sauvagement.
Mes larmes coulent d'elles mêmes, j'ai si mal...
Charles : Oh putain, dit-il d'une voix soupirante. Ohhhhh !
Il grogne de plaisir en me baisant aussi brutalement que ça l'est. De mon côté, je pleure et gémis par la même occasion, il est vrai que j'ai mal mais je ne vais pas vous cacher que j'aime ça. C'est tellement bon...je ne veux surtout pas qu'il s'arrête.
Moi : Hann...oui...ouiiiii...
Il maintient toujours ses mains autour de ma taille tout en me baisant rapidement et brutalement le minou. Le bruit de la rencontre entre son bassin et mes fesses à chaque mouvement de vas et viens raisonne dans toute la chambre.
Jamais de ma vie, on ne m'avait baisé aussi brutalement comme il est entrain de le faire. Je vais jouir.
Moi : Oh oui... ça vient...oh vas-y plus vite....merrrdeee...
Il accélère davantage à ma demande, je n'ai jamais ressenti autant de plaisir. Je délire à la limite... Ça y est, jai atteint l'orgasme....oh ouuiiii!
«KPA», il me fesse encore avant de retirer sa bite de mon trou, je sens mon trou plus large et ouvert.
Je n'arrive toujours pas à croire que sa bite ait pu entrer dans son entièreté dans ma chatte, c'est waouh! Pour la énième fois, il me donne une fessée qui me ramène un peu à moi.
Charles : C'est l'heure de sucer ma belle, retourne-toi et suce-moi avant qu'on ne change de position. Fais vite, crie t-il.
Sucer? Il a dit sucer? Je vais sucer sa bite c'est ça ?
Charles : Qu'est ce que tu attends ? Hurle t-il, allez, mets toi à quatre pattes.
Un peu hésitante, je me retourne pour lui faire face. Mon regard s'est immédiatement porté sur son entrejambe, un air d'étonnement s'affiche sur mon visage lorsque je remarque que sa bite ne s'est pas couchée d'un iota, c'est toujours aussi tendue, on ne dirait pas qu'il vient de se passer une quelconque chose.
Sa bite est toujours debout pendant que moi j'ai l'impression que ma chatte va prendre feu d'une minute à l'autre.
Je me mets à genou devant son énorme bazouca qui est pointé devant mon visage, j'avale deux gorgées de salive....en réalité, je suis nerveuse parce que je n'ai jamais taillé une pipe à qui que ce soit auparavant.
Je ne l'avais jamais fait, même pas avec mon mari. La vérité est que je n'ai jamais considéré ça comme une bonne chose, juste le simple fait d'imaginer une bite dans ma bouche me donne envie de vomir.
À présent, me voici à genou comme une chienne devant la bite de mon chauffeur qui va me la faire sucer comme un bonbon. Est-ce que je vais pouvoir le faire ? Je ne suis vraiment pas prête pour ça..
Charles : Allez, vas-y, tu n'as jamais sucé une queue de ta vie ou quoi? Me demande t-il.
Je réponds intérieurement par un "non je ne l'ai jamais fait".
Il prend sa grosse bite dans sa main et commence à la masser rapidement, il la masse très rapidement dans un mouvement de vas et viens.
Charles : Ouvre la bouche dit-il.
J'ouvre la bouche et reçoit une partie de son sperme sur le visage et l'autre partie dans la bouche, je l'avale. J'ai toujours la bouche ouverte et il continue de masser sa bite. Son sperme ressort une fois de plus et pénètre ma bouche...
Charles : Maintenant suce! Dit-il en touchant ma bouche avec sa bite.
Très lentement et la boule au ventre, j'ouvre la bouche et m'apprête à engloutir son pénis mais je m'abstiens soudainement.
Moi : Non je ne peux pas, on aurait jamais dû. Je ne sais pas ce qui m'a pris...
Je me relève du sol...
Moi : Tout ceci n'aurait jamais dû avoir lieu, restons-en là...
Il affiche un air tout surpris.
Charles : Mais...mais...marmonne t-il sans jamais formuler sa phrase.
Je me dirige vers la sortie.
Charles : Reviens, m'interpelle t-il. Permets-moi au moins de me masturber devant tes nichons Emmanuella ou devrais-je dire madame, dit-il en se moquant.
Je ressors et claque violemment la porte, le salaud...je vais dans notre chambre à Éric et moi. À peine j'ai eu le temps de refermer la porte que je m'écroule en sanglots sur le sol.
Mais enfin qu'est ce qui m'a pris ? Qu'est ce que j'ai fait ? Mon mari ne mérite pas ça, non c'est un cauchemar s'il vous plaît, je n'ai pas pû faire ça...merde!
******Victoria Bruner
Après une quinzaine de minutes passés enfermer dans les toilettes de l'hôtel, j'ai enfin décidé de ressortir pour rejoindre les autres qui doivent sûrement être entrain de profiter déjà de la bonne eau de la piscine.
Quant à Jacques, l'idée qu'il soit là ne m'enchante point mais je vais juste faire comme s'il n'était pas là. Il ne va pas gâcher mon dimanche.
Je profite du fait que je suis dans les toilettes pour me changer et mettre mon maillot. Je retire mes vêtements et me retrouve toute nue. OMG, être nue dans les toilettes d'un hôtel, il n'y a que moi qui puisse faire ça. Lol!
J'ouvre mon sac et en sort mon maillot. Je suis sur le point de mettre mon string en première position quand...
Non ce n'est pas vrai, un fils de pute a osé me donner une fessée par derrière. Je suis peut-être tout ce que vous voulez mais je ne tolère pas ces comportements déplacés, alors là, pas du tout.
Je me retourne furieuse et déjà prête à filer une sonnante gifle au con qui a osé faire ça mais je m'arrête à la vue de la personne. Ma main est calée en l'air en position de gifle...
_Enfin je t'ai trouvé, j'ai été obligé de parcourir toutes les toilettes de l'hôtel juste pour toi, si tu savais à quel point tu m'as manqué Vicky...
Moi : Qu'est ce que tu veux ?
#À_suivre.