Chapter 25
2089mots
2022-10-03 19:21
LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_25
******Emmanuella Golden Bruner
La soirée s'est achevée par le dîner. Éric, Vicky et Junior m'avaient attendu pour le dîner et nous l'avons pris ensemble. Prisca nous a fait du placali (pâte fait à base de boule de manioc) accompagné de la sauce gombo bien garnie.
Nous avons copieusement mangé et lorsqu'on a finit, chacun de nous a regagné sa chambre pour se coucher. Tout au long du dîner, j'ai trouvé Vicky un peu ailleurs,elle n'avait pas terminé son plat pourtant le placali-sauce gombo est sa nourriture préférée si j'ai bonne mémoire.
Elle est un peu bizarre depuis que je lui ai dit que Jacques était de retour, je me demande ce qu'elle a. Bref....
08h25, c'est l'heure à laquelle j'ai réglé mon réveil pour demain matin. D'habitude, je règle ça autour de 7h, 7h10 mais comme demain c'est dimanche, je veux bien profiter d'une heure de plus de sommeil.
J'ai bossé comme une malade toute la semaine alors je mérite bien cette faveur. Je me couche dans le lit et ajuste la couverture sur moi, Éric dort déjà, je l'embrasse la joue et pose ma tête sur son torse. Je soupire profondément et ferme les yeux.
Éric : Apparemment, c'est Charles qui t'a conduit au boulot aujourd'hui...
Mon cœur s'est mis à battre rapidement quand il a dit ça. Est-ce que Charles lui a dit quelque chose ?
Moi : Je pensais que tu dormais, fis-je d'une douce voix. Oui c'est Charles qui m'a conduit à l'hôpital aujourd'hui, il y a un problème ?
Éric : C'est ce que je voulais aussi te demander, il y a un problème ? Parce qu'il ne t'avait jamais conduit au boulot auparavant, pourquoi cette fois ?
Moi : J'étais fatiguée, dis-je en bâillant. C'est bien de changer de temps en temps... Charles est notre chauffeur et il est payé pour ça alors il n'y a rien d'étonnant.
Éric : Ok, je voulais juste m'assurer que tout allait bien, je suis content que ce soit le cas.
Il passe sa main sur mon dos.
Éric : Bonne nuit,
Moi : Bonne nuit mon amour,
Aaah, je soupire soulagée. Jusqu'à quand ?, jusqu'à quand ?, jusqu'à quand je vais continuer à fantasmer sur mon chauffeur ? Même étant avec mon mari je n'arrête pas de penser à sa bite. Je ferme les yeux et commence à réciter le "Notre Père".
******Le lendemain matin
******Victoria Bruner
Aujourd'hui c'est journée-piscine, youpi je suis trop contente. Après le petit déjeuner, je suis remontée dans ma chambre pour apprêter le nécessaire pour la piscine. Je prends mon maillot qui est un ensemble soutien/string, mes lunettes à monture de la même couleur que le maillot c'est à dire rose, mon chapeau et pour finir mon paréo que je vais attacher autour de la taille pour au moins cacher mes fesses parce que je risque de tuer des gens à la piscine là bas, mdr.
Une fois que j'ai pris tout ce qu'il faut, j'ai mis le tout dans mon petit sac à dos Gucci puis je l'ai refermé. J'ai mis le sac au dos avant de descendre rejoindre les autres qui étaient déjà installés dans la voiture.
Visiblement, c'est moi qu'ils attendaient pour partir. Je suis montée et me suis installée sur le siège arrière à côté de Junior, Manu et Éric sont assis à l'avant. Je referme la portière.
Manu : Enfin!
Moi : Désolée, j'hésitais sur le choix du maillot.
Manu : Ah d'accord, j'espère que tu t'es pris un paréo.
Moi : Oui je l'ai pris.
Manu : Bien, on peut partir. Tu peux démarrer chéri, dit-elle à Éric.
Sans plus attendre, il met le contact et nous partons direction la piscine. Le trajet a été très agréable si bien que je n'ai pas su quand nous sommes arrivés.
Junior était le premier à ressortir de la voiture, il sautillait dans tous les sens comme une puce. Nous étions arrivés devant l'hôtel Éden Roc Ivoire San Pedro, c'est un hôtel situé en bordure de mer et qui a une incroyable piscine.
_Salut tout le monde, Manu ma chérie comment tu vas ? Raisonne la voix de ma mère.
What ? Elle est ici ? Je me retourne brusquement et je suis surprise de la voir en compagnie de Jacques, qu'est ce qu'ils font ici?
Elle a fait un câlin à ma sœur et Jacques de son côté est allé faire une accolade à Éric. Je suis perdue... qu'est ce qui se passe ?
Moi : Quelqu'un peut m'expliquer ? Manu, qu'est ce que Jacques fait ici?
Manu : Comme il est de retour après plusieurs années, j'ai jugé bon de les inviter maman et lui pour qu'ils passent du bon temps avec nous, dit-elle souriante. C'est une bonne idée n'est ce pas ?
Moi : J'aurais aimé que tu me le dises plus tôt pour que je reste à la maison, excusez-moi.
Je les ai lorgné puis je suis entrée dans l'hôtel en furie. Je ne sais même pas où je vais, je courais jusqu'à ce que je me suis arrêtée pour entrer dans la première toilette que j'ai trouvé.
*******Emmanuella Golden Bruner
Ça a recommencé, la crise que Victoria a l'habitude de faire lorsqu'elle voit Jacques a encore recommencé. Tout le monde sait qu'elle n'a jamais aimé Jacques cependant je pensais qu'elle allait changer après toutes ces années mais rien.
Je n'ai jamais compris pourquoi elle ne l'aime pas pourtant il est très sympa. Quoi qu'il en soit, je ne veux pas me tracasser pour ça, à la base nous étions venus pour nous amuser et c'est ce qu'on va faire. La petite crise de Vicky va lui passer.
Jacques, Junior et maman nous ont devancé pour aller nager dans la piscine, de notre côté, Éric et moi voulions nous changer dans la cabine avant de les rejoindre.
Moi : Chéri où est la sac que je t'ai remis dans la chambre ? Demandai-je à Éric. Il y a mon maillot à l'intérieur.
Éric : C'est dans la voiture je crois.
Moi : Ok je vais voir.
Éric : D'accord à plus.
Je l'ai laissé puis j'ai couru pour regagner notre voiture, j'ai fouillé l'avant mais aucune trace du sac, pareille pour l'arrière. J'ai ouvert le coffre et c'est toujours la même chose. Il l'a oublié ou quoi? Poufff...
Je suis repartie dans l'hôtel, Éric est déjà à la piscine dans son bermuda, torse nu et ses verres fumés sur le nez. Allongé sur une chaise longue, il profite de son bronzage. Des fois j'ai du mal à croire qu'il est mon mari, il est si beau.
Moi : Chéri tu l'as mis où, je ne l'ai pas vu.
Éric : C'est dans la voiture Manu, dit-il les yeux fermés.
Moi : Ce n'est pas là, donc tu l'as oublié... pourtant je t'avais bien dit de le prendre avec toi.
Éric : Désolé chérie, tu peux toujours aller la chercher, notre maison n'est pas trop loin de la piscine ou tu....
Je n'attends plus pour l'écouter, je tourne dos furieuse et ressort. On ne peut jamais lui confier un truc, c'est toujours les problèmes. Soit il l'oublie, soit il fait tout le contraire de la chose demandée.
Je monte dans la voiture et démarre. Une fois sur la route, je roule en regardant à gauche et à droite pour voir si je vais trouver une boutique ouverte pour m'acheter un maillot.
Hélas, toutes les boutiques que j'ai pû voir jusqu'ici sont toutes fermées, aucune n'est ouverte d'autant plus qu'aujourd'hui c'est dimanche. Beaucoup de gens se reposent les dimanches.
Je n'ai pas le choix, je suis obligée de retourner à la maison. J'ai fait demi-tour avec la voiture et j'ai pris la route qui mène chez nous. C'est vrai que la distance qui sépare notre maison de la piscine n'est vraiment pas longue, je suis déjà arrivée.
J'ai laissé la voiture garer devant le portail puis me suis dirigée à l'intérieur de la maison. Éric a sûrement laissé le sac dans notre chambre, je gravis les marches des escaliers et vais dans notre chambre.
Qu'est ce que je disais ? Il l'a laissé sur le lit, je le récupère. Je vérifie l'intérieur, tout y est. Je quitte la chambre et referme la porte derrière moi.
Je descends les escaliers très rapidement, il ne me reste que quelques marches à descendre pour être en bas mais je m'arrête tout à coup.
La maison est bien silencieuse et je me demande où se trouve les employés spécialement le chauffeur. Est-ce qu'il est là ? Il fait quoi actuellement ? Est-ce qu'il est nu? Ce sont les idées qui me passent par la tête. Je brûle d'envie de voir sa bite...juste la voir..
Je remonte et arrive au premier étage, je tourne dans le couloir à gauche et avance. La première chambre qui s'y trouve est la chambre du chauffeur.
Mon cœur bât la chamade, qu'est ce qui m'arrive mon Dieu ? Je pose ma main sur le poignet de la porte et l'actionne vers le bas, la porte s'ouvre.
Je pousse légèrement là dessus et jette des coups d'œil dans la chambre, vous vous demandez ce que je m'attends à voir.
La vérité est que moi même je ne sais pas mais je l'imagine ressortir de la salle de bain tout nu ou encore couché sur le lit tout nu.... voilà un peu ce que j'espère voir.
Je regarde l'intérieur de sa chambre et il semble qu'il n'est pas là. Je soupire et me redresse. Je tire la porte pour la fermer quand je sens quelqu'un me pousser violemment à l'intérieur.
Ça a été si brusque que j'ai atterri sur le sol, je lève la tête et c'est Charles. Qu'est ce qui lui prend ? Je n'acclame pas mon geste mais je suis sa patronne après tout et il n'a pas à me pousser comme ça.
Je me relève, je suis morte de honte.
Moi : Je...je...je voulais voir si....
Charles : C'est ça que vous voulez voir depuis n'est-ce pas ?
Il parle en baissant son pantalon et.....oh merde! J'ai la bouche ouverte entrain de matter sa bite, c'est réelle ce truc ?
Charles : Alors vous aimez, c'est énorme n'est-ce pas ?
Je ne bouge pas, je suis comme figée, je n'arrive plus à faire le moindre geste. J'ai juste la bouche ouverte et les yeux rivés sur sa bite.
Il s'avance vers moi.
Charles : Voyons voir si vous êtes bonne madame....
Moi : Non Charles, fis-je difficilement et d'une voix tremblante. Je...je...je suis mariée et la femme de ton patron...non... s'il te plaît...
Je ne sais pas ce qui m'arrive mais je le veux, j'ai bien envie que Charles me baise, j'essaie juste de le repousser parce que ma conscience me le dicte mais au fond je meurs d'envie.
Très violemment il me pousse, face contre le mûr et relève ma robe, je sens son regard sur mes fesses.
«PAM», il me tape les fesses, je me surprend entrain de gémir. Il me maintient fermement plaquée contre le mûr, je sens sa bite toute dure se frotter contre mes fesses.
Charles : Oh oui, vous voyez comment vous êtes bandante madame ? Me chuchote t-il à l'oreille.
Il fait ressortir mes seins de la robe et commence à les presser.
Moi : Oh oui...ouiiii...anh...
Je gémis plus fort, je sais que je devrais avoir honte de moi pour ce que je suis entrain de faire avec mon chauffeur mais en ce moment précis, je ne pense qu'au plaisir que est entrain de me procurer et à rien d'autre.
Charles : Oh yeah....
J'ignore à quel moment il a décalé mon slip sur le côté et m'a brutalement pénétré de dos. J'ai crié, il ne me fait aucune pitié, il me pilonne sauvagement...
Plaquée contre le mûr, ma robe relevée, mes seins à l'air libre et mon slip décalé sur le côté, je me fais baiser comme une chienne par mon chauffeur...
Moi : Oui, ouiiii, oh oui....anh...oui...
Il presse mes seins et ses coups de reins se font plus fermes et plus brutaux, à cette allure il ne va pas tarder à m'enlever la chatte....sa bite est si grosse, je sens que c'est juste le bout qui est en moi...et pourtant c'est si douloureux..
Moi : Ahhhhhh...ahhhh....ouiiii....
Il met sa main sur ma bouche, ce qui étouffe mes cris..
Charles : Apprêtez-vous madame parce que vous allez la prendre en profondeur...je vais bien vous baiser...
#À_suivre.