LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_27
Ma mâchoire se serre, mon visage se crispe, je sens une colère monter en moi lorsque je vois Jacques debout en face de moi. C'est fou comme il n'a pas changé, il est demeuré le porc qu'il a toujours été.
Jacques : Hi qu'est ce qui t'arrive ma poupée ? Fit-il en voulant me toucher la joue mais je recule.
Moi : Ne me touche pas, dis-je sous un ton très sérieux et presque menaçant. Sors d'ici...
Jacques : Toujours aussi rebelle à ce que je vois, dit-il en se léchant les lèvres.
Il me dévore littéralement du regard, rien que sa manière de me regarder pouvait me faire disparaitre. Il me contemple avec insistance, ses yeux se baladent sur chaque millimètre de mon corps.
Jacques : Tu m'as tellement manqué...
Il se lèche les lèvres et frottent ses mains l'un contre l'autre. Il avance en se rapprochant de moi.
Moi : Ne t'approche pas Jacques, sors d'ici sinon je vais me mettre à crier et une foule de personnes ne va pas tarder à venir. Tu me connais et tu sais que j'en suis capable alors va t-en Jacques...
Il s'arrête et on se fixe dans les yeux. Je lui lance mon regard le plus noir et serre ma mine. Il sait que je sérieuse...
Jacques : Mais je veux juste....
Moi : SORS D'ICI, hurlai-je cette fois. SORS J'AI DIT, DÉGAGE..
Jacques : Ok calme-toi, c'est bon, je vais m'en aller. Calme-toi...
Il marche à reculons puis arrive à la porte.
Jacques : Tu vois ? Je m'en vais donc calme-toi..
Il me fait dos par la suite et ouvre la porte puis s'en va. Je pousse un profond soupire et pose une main contre ma poitrine. J'inspire et expire... pourquoi il est revenu ? Pourquoi il est revenu, pourquoi ? Ça ne finira donc jamais ?
Je sais la question que vous vous posez tous en ce moment. Vous vous demandez sûrement ce qui se passe entre Jacques et moi. Vous devrez être un peu perdu entre tout ça et je ne vous en veux pas du tout.
C'est de ma faute parce que je devrais vous le dire depuis le début mais je ne l'ai pas fait.
Tout ce que vous pouvez retenir c'est qu'il a existé une relation entre mon beau-père et moi par le passé et quand je dis relation, c'est bien évidemment pour dire qu'on couchait ensemble ou devrais-je dire : «il abusait de moi».
Quoi? Vous ne pensez quand même pas que ma nymphomanie est quelque chose de naturelle n'est-ce pas ? C'était ce que vous pensez ? Rassurez-moi...
Ma nymphomanie n'a jamais été quelque chose de naturelle, ce n'est pas que je regrette mais si je suis devenue une obsédée sexuelle aujourd'hui c'est à cause de mon beau-père.
Cet homme que j'appelais affectueusement "papa" à l'époque, abusait constamment de moi lorsque ma mère se rendait au travail ou lorsqu'elle voyageait.
Jacques avait l'habitude de coucher avec moi à chaque fois que l'occasion s'offrait à lui, c'est à cause de lui si je suis ce que je suis aujourd'hui.
C'est lui qui m'a formé en matière de sexe et m'a tout appris. D'ailleurs, tout ça me rappelle beaucoup de choses tout à coup,
******Flashback
Moi : Papa, pourquoi ton bonbon ne finit jamais ?
C'était la question que j'avais posé à Jacques au moment où il me faisait sucer sa bite pour la première fois.
Je ne vais jamais oublié ce jour, c'était un vendredi soir et ma mère était sortie. J'étais seule avec Jacques à la maison et il m'avait proposé de jouer à un jeu.
J'avais à peine 08ans à l'époque, je n'étais qu'une petite fille innocente que sa mère a commis l'erreur de laisser avec son beau-père. Donc, il m'a proposé de jouer à un jeu et j'avais dit oui sans hésiter.
Le jeu en question s'intitulait «suce un bonbon pour gagner un autre bonbon». J'étais perdue parce que c'est la première fois où j'entendais un jeu de ce nom.
Moi : Comment on joue à ce jeu papa ? Lui avais-je demandé toute innocente.
Jacques : Viens ma princesse, avait-il dit en me prenant la main.
Il m'a ensuite conduit dans leur chambre à ma mère et lui.
Jacques : Ne bouge pas, j'arrive, avait-il exigé en quittant la chambre et en m'y laissant seule.
J'étais assise sur le lit et j'attendais sagement comme il me l'a dit. Je dois tout de même avouer que je trouvais quand même bizarre le fait qu'il m'avait amené dans la chambre de ma mère et lui.
Je me demandais pourquoi il m'avait amené là alors que d'habitude nous jouons dans la cour. Malgré toutes ses questions que je me posais, j'étais restée dans la chambre jusqu'à ce qu'il revienne.
Il était revenu avec quatre sucettes et un sachet de chocolat, j'avais les étincelles dans les yeux.
Jacques : Tu vois ceci? M'avait-il demandé en me montrant les bonbons et le chocolat.
Je hoche de la tête.
Jacques : Tout ceci sera à toi si tu joues bien à notre jeu alors tu es prête ?
Moi : Oui papa, avais-je répondu souriante.
Je voulais tant ces bonbons que je me disais que je dois gagner ce jeu même si je ne savais pas de quoi il s'agissait.
Jacques : Très bien ma princesse.
À ces mots, il avait commencé à baisser le pantalon qui se trouvait à sa hanche. Je le regardais faire toute nerveuse...je commençais à flipper et il avait remarqué mon état.
Jacques : Oh ma princesse, du calme, ne panique pas ok?
Moi : Pourquoi tu te mets nu papa?
Jacques : C'est pour le jeu, n'aies pas peur ok?
Il avait à présent enlevé tous ses vêtements et était nu devant moi. Je voyais sa bite tendue, c'était la première fois que je voyais une bite de ma vie.
J'avais très peur, j'ai commencé à reculer sur le lit en glissant sur mes fesses. Je tremblais comme une feuille au gré du vent...
Moi : C'est quoi ce truc entre tes jambes papa ? Avais-je demandé morte de trouille.
Jacques : Ce truc c'est le bonbon que tu vas sucer ma chérie. C'est un bonbon magique que tu vas sucer et si tu le fais bien, tu auras ces bonbons, dit-il en montrant les bonbons et le chocolat qui se trouvaient toujours dans sa main.
Moi : Ah bon, c'est un bonbon ? Et c'est délicieux ?
Jacques : Oui ma puce, n'aies pas peur.
Après qu'il ait dit cela, j'étais un peu plus rassurée et je désirais sucer ce bonbon qui se trouvait entre ses jambes. Je n'avais jamais vu un bonbon pareil et je me disais que ça devrait être délicieux.
J'étais assise au bord du lit et Jacques est venu se mettre debout entre mes jambes. Sa bite ou devrais-je dire son bonbon comme il me l'avait fait croire était pointée devant ma bouche.
Très rapidement, j'avais entourée sa bite de mes deux mains et avais ressortie la langue pour lécher le bout, j'ai léché le bout à quatre reprises comme ça puis j'ai avalé ma salive..
Ce n'était pas délicieux comme je pensais, ça n'avait même pas le goût des autres bonbons. Je trouvais ça "pas bon"...
******Fin du flashback
Désolée mais je vais m'arrêter là pour le moment, je vous raconterai la suite plus tard. Je vous raconterai la suite et tout ce que mon beau-père m'a fait en l'absence et même en la présence de ma mère.
Personne n'a jamais été au courant de tout ça à part lui et moi et maintenant, vous.
C'est incroyable le fait que les gens le voient comme un ange alors qu'il est le diable en personne. Beaucoup de personnes le considère comme un saint, ma mère la première mais elle sera étonnée quand elle saura la vérité.
J'ai enfilé mon maillot tant bien que mal puis j'ai rejoint les autres au bord de la piscine. Manu n'est pas là, d'après Éric elle est retournée à la maison pour chercher son maillot.
******Le soir
******Éric Golden
Junior, Vicky et moi sommes de retour de l'hôtel où nous avons passés toute la journée à profiter de la piscine et des succulents mets qu'on a mangé après la baignade.
Nous sommes rentrés aux environs de 20h.
À vrai dire, je n'ai même pas vu l'heure passé, c'était une magnifique sortie. Manu a eu une excellente idée, en parlant de Manu, je ne l'ai même plus revu.
Je croyais qu'elle allait juste récupérer son maillot et ensuite revenir alors pourquoi elle n'est plus revenue alors? C'est bizarre...
Moi : Prisca, dis-je en appelant la domestique.
Elle arrive l'instant d'après.
Prisca : Me voilà monsieur.
Moi : Ma femme est là ?
Prica : Oui monsieur, elle est dans la chambre.
Moi : Ah bon... dans notre chambre ?
Prica : Oui monsieur...
Moi : Ok, je veux que tu aides Junior à prendre sa douche et à se coucher s'il te plaît. Demain il a école et il doit se coucher tôt.
Prisca : D'accord monsieur.
Moi : Bien, je te laisse... bonne nuit.
Prisca : Bonne nuit monsieur...
Je lui fausse compagnie et gravis deux à deux les marches des escaliers. J'arrive devant notre chambre, je l'ouvre et ce sont des pleurs qui m'acceuillent.
Les gémissements de pleurs ont l'air de provenir de la salle de bain. Il se passe quoi?
Moi : Bébé ? Manu?
Je me dirige vers la salle de bain et y fais mon entrée. Je suis perdu en voyant Manu qui pleure. Elle est assise sur le sol sous le jet d'eau, la robe qu'elle a porté pour qu'on aille à la piscine cet aprem est toujours à son cou.
L'eau coule sur elle et mouille son vêtement au passage, on dirait qu'elle a énormément pleuré. Je suis complètement largué...
Moi : Manu? Qu'est ce qu'il y a? Pourquoi tu pleures chérie ?
Elle ne dit rien, elle continue de pleurer de plus belle. Je peux voir ses yeux rougis par les pleurs. Je vais la soulever du sol.
Moi : Répond-moi, qu'est ce qui se passe ? Qu'est ce qui t'arrive ? Parle-moi...
Manu : Je suis désolée, dit-elle en sanglots et d'une voix cassée par les pleurs. Pardonnes-moi mon amour, je te demande pardon...pardon...
Moi : Mais enfin, pardon pour quoi?
Manu : Je ne voulais pas, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je ne voulais pas faire ça...
Moi : Tu ne voulais pas faire quoi Manu? Sois plus claire s'il te plaît.
#À_suivre.