LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_22
Je regarde ma mère qui me regarde. Pendant ce temps, Manu a les bras croisés et est en attente d'une réponse.
Moi : Bon, c'est pas tout ça mais je suis déjà en retard moi.
Je parle en arrachant de la main de Manu le billet de 5.000f qu'elle tenait. Je m'apprête à m'en aller mais avant cela j'ai fait une accolade à ma mère et en a profité pour lui chuchoter ces quelques mots à l'oreille :
Moi : N'oublie pas mamounette, tu ne dis rien et je ne dis rien aussi. J'espère qu'on s'est comprise.
Après lui avoir chuchoté cela, je me suis détachée d'elle tout en lui faisant un joli sourire.
Moi : Bye!
Sans attendre, je me suis précipitée vers la sortie en la laissant avec ma sœur. Ma mère est assez intelligente, elle saura quoi inventer pour répondre à sa question.
J'ai pressé les pas pour regagner la voiture qui était déjà dehors entrain de m'attendre. Je suis montée et j'ai refermé la portière.
Moi : C'est bon, on peut y aller, Dis-je au chauffeur qui a démarrée la voiture.
Il est concentré sur le volant et conduit pendant que de mon côté je ne cesse de jeter des coups d'œil sur lui pour le regarder de temps en temps.
Le rêve de ouf que j'ai fait sur lui cette nuit, lui et tous ses gaillards sortis de je ne sais où, ne cesse de me revenir en tête. Je n'arrête pas de me demander si sa bite est aussi énorme comme dans le rêve. Je ne cesse de me poser cette question et ça me donne envie de la voir en vrai, je meurs d'envie au fait.
******Emmanuella Golden Bruner
J'ai surpris une conversation entre ma mère et ma sœur tout à l'heure à propos des "vérités" que je ne dois pas savoir. Je leur ai posé la question concernant ses vérités mais aucune d'elle ne m'a donné une réponse.
Vicky a esquivé le sujet en se rendant à l'école et ma mère m'a inventé une excuse à dormir debout.
Moi : Donc les vérités que je ne dois pas savoir c'est que Victoria est plus belle que moi et que tu l'as toujours aimé plus que moi c'est bien ça ? Fis-je en haussant un sourcil toute décontenancée par ce qu'elle m'a servi.
Ma mère : Oui oui, c'est ça, Dit-elle toute nerveuse. C'étaient ça les vérités que tu ne devrais pas savoir mais malheureusement, tu sais tout maintenant. J'espère que tu ne m'en veux pas.
Moi : Non....non, bien sûr que non. Vicky a toujours été plus belle que moi et ça, je l'ai toujours su, il suffit de la regarder et de me regarder mais je ne savais pas que tu l'aimais plus que moi, wow...
Ma mère : Non ma chérie, dit-elle en prenant mon visage dans ses mains. Je vous aime toutes les deux de la même manière juste que Vicky est ma préférée parce qu'elle est ma petite dernière tu comprends ? Ne te fâche pas s'il te plaît...
Moi : Non je ne suis pas fâchée maman, ne t'inquiète pas, j'avais compris depuis le début.
Ma mère : Merci beaucoup, je t'aime Manu, ne l'oublie jamais.
Moi : Je t'aime aussi maman.
Elle prend chacune de mes mains dans les siennes et me souris. Je m'efforce de lui sourire également. On se fait un câlin.
Ma mère : Je t'aime mon bébé.
Moi : Je t'aime aussi maman, fis-je d'une voix étouffée par ses câlins. C'est bon maman, j'arrive plus à respirer...
Elle me relâche et on éclate de rire. Je sais que ma mère ne m'a pas dit la vérité, je sais qu'il ne s'agit pas des vérités dont Victoria et elle parlait tout à l'heure.
J'ignore la raison mais je ressens le besoin de connaître ses vérités maintenant. J'ai l'impression que c'est quelque chose de très important. Je me demande bien ce que ça peut être. Quoi qu'il en soit, je finirai bien par le découvrir et ce, coûte que coûte.
Ma mère : Alors, raconte, comment ça se passe entre toi et Éric ? Tout est rentré dans l'ordre j'espère.
Ma mère parle en gardant ma main et nous prenons place dans les immenses fauteuils du salon. J'ai soupiré profondément...
Ma mère : Il y a toujours la tension entre vous?
Moi : Je ne sais même pas quoi te répondre maman. Si je te dis que je reconnais mon mari c'est que je t'ai menti maman. Ça fait des jours qu'il a voyagé et il n'a même pas pris la peine de m'appeler une seule fois pour demander de mes nouvelles ou demander des nouvelles de son fils. Je suis toujours celle qui l'appelle depuis qu'il est parti au Nigeria... c'est comme si je ne le manque pas maman, il s'en fout de moi, de Junior, il s'en fout de nous...
Ma mère : Mais non, ne dis pas ça...il est sûrement occupé. Tu sais très bien qu'il n'est pas comme ça. Comprend-le, arrête de t'en faire, il t'aime et ça ne changera pas...
Moi : Pufff, si tu le dis... je m'excuse, je ne t'ai pas proposé à boire. Quelle tête en l'air je fais, bon tu veux boire quoi maman ?
Ma mère : Non ne t'en fais pas, je vais demander à votre domestique de m'apporter à boire. Toi tu peux aller te préparer pour aller au travail, je suppose que tu es déjà en retard à cause de moi, je ne veux donc pas te retarder davantage.
Moi : Non maman, aujourd'hui je ne vais pas travailler, c'est mon jour de repos.
Ma mère : Ah bon, c'est très bien ça. On va pouvoir papoter un peu.
Moi : Tout à fait maman, bon j'arrive. Je vais te chercher à boire.
Ma mère : D'accord...
Je me suis levée et me suis dirigée vers la cuisine.
Moi : Et mon beau-père Jacques ? Comment il va ? Demandai-je à ma mère de la cuisine.
Ma mère : Il est là oh ma fille.
Moi : Ce n'est pas il est là unh, je veux tout savoir. Il compte te marier quand ?
Lorsque j'ai dit cela, j'ai entendu les éclats de rire de ma mère, elle s'est mise à se moquer.
Moi : Ris bien, je suis sérieuse. Dis-lui que j'ai dit qu'il compte fixer la date de mariage sur quel jour, le mois et l'année...
Ma mère : Le jour où tu me donneras un autre petit fils ou une petite fille, Jacques et moi on se mariera.
Moi : Oh non, c'est pas du jeu maman.
Je rigole de la cuisine, je ressors après avec le jus d'orange de ma mère et de l'eau pour moi. Je me suis assise et on a commencé à boire tout en papotant.
******Le soir
Maman est restée me tenir compagnie toute la journée, elle vient juste de partir. Ce soir, j'ai personnellement fait la cuisine et nous sommes passés à table, Junior, Vicky et moi. J'ai fait du bon «garba» (un met très populaire en Côte d'Ivoire fait à base de manioc consommé très souvent avec de l'alloco, du poulet et du piment).
J'aurais aimé que mon mari soit à table avec nous, il en raffole. Il me manque tellement, je me demande quand il compte revenir. On mange tous les trois et je peux dire qu'on se régale.
Je suis assez fière de moi, au moins je n'ai pas perdu la main en cuisine. C'est une bonne chose. Une fois le dîner pris, Vicky a rejoint sa chambre pour se coucher.
De mon côté, j'ai accompagné Junior dans sa chambre aussi, il a déjà pris une douche alors il s'est directement couché. Il a l'air épuisé mon petit ange. Heureusement que demain c'est le weekend et il pourra se reposer et jouer un peu.
J'arrange sa couverture et l'embrasse sur le front.
Moi : Bonne nuit mon trésor.
Junior : Bonne nuit maman, dit-il en bâillant fortement.
Il ferme les yeux, je ressors de sa chambre et regagne la nôtre avec Éric, ce soir encore, je vais dormir seule.
J'ai retiré mes habits et enfilé ma nuisette, j'ai grimpé sur le lit et me suis blottis dans les soigneuses couvertures qui s'y trouvent.
Avant de m'endormir, j'ai essaiyé d'appeler Éric pour écouter sa voix et lui souhaiter une bonne nuit mais il ne décrochait pas. Il doit être couché aussi, sûrement qu'il dort déjà. Je coupe l'appel et glisse dans le lit. Je me couvre avec la couverture et m'abandonne dans les bras de Morphée.
******
[Dring, dring, dring, dring....driiiiinnnggg]
La sonnerie de mon téléphone me réveille en plein milieu de la nuit, on dirait un appel. Je me demande qui ça peut bien être.
Je me redresse péniblement dans le lit et m'adosse contre la tête du lit. Le téléphone en main, je regarde l'écran pour vérifier l'intéressé et c'est Éric. Pourquoi il m'appelle aussi tard? J'espère que tout va bien. Je décroche...
Moi : Oui mon amour, fis-je d'une voix nonchalante. Tout va bien ?
Éric : Manu s'il te plaît, dis au chauffeur de venir me chercher, je suis à l'aéroport. J'essaie de le joindre au téléphone mais il ne décroche pas....
Moi : Tu es ici? Tu venais aujourd'hui et tu ne m'as rien dit ? Pourquoi ?
Éric : Mon amour s'il te plaît, ce n'est pas le moment. Fais ce que je te demande s'il te plaît...
Moi : Ok, je vais dire à Charles et il viendra te chercher.
Éric : Merci bébé...
Moi : Je t'en prie.
Éric : Bye !
Il a raccroché, j'ai mis un peu de temps pour émerger avant de quitter le lit pour descendre. Je suis allée devant la chambre du chauffeur et j'ai toqué. Il est venue m'ouvrir.
Il était juste en boxer, un boxer qui dessinait bien son pénis. Ça m'a laissé bouche bée, c'est quoi ce truc énorme ?
Charles : Madame ? Vous voulez quelque chose ?
Moi : Euh...Euhhh....
Je cligne des yeux pour essayer de sortir l'image de son pénis de ma tête. J'oublie même la raison de ma présence là. Je me rappelle après quelques secondes.
Moi : Oui voilà, mon mari vient de m'appeler, il est à l'aéroport et il demande que tu ailles le chercher.
Charles : D'accord madame, je m'habille et je pars...
Moi : Très bien !
Je suis restée là à matter son engin. Je n'en reviens toujours pas.
Charles : Madame ? Dit-il pour m'amener à la réalité. Il reste quelque chose ?
Moi : Non, non excuses-moi....
J'ai tourné les talons et je suis remontée dans ma chambre. Je suis toujours sous le choc de ce que j'ai vu, qu'elle énorme bite !
Mais enfin qu'est ce que je raconte ? Qu'est ce qui m'arrive ? Faut que je me ressaisisse là, oufff....
******Le lendemain matin
******Victoria Bruner
Quand il s'agit du weekend j'ai tendance à me réveiller très tôt mais quand il s'agit des jours d'école, c'est là que je me réveille tard. Je n'ai jamais compris ce scénario. Pufff!
Voilà qu'il est à peine 7heures et je suis déjà réveillée, un samedi en plus. Mon ventre gargouille, j'ai une de ses faim ce matin, je me dépêche de me brosser les dents pour aller grignoter un truc rapide avant le petit déjeuner....
Le brossage des dents m'a pris une dizaine de minutes, lorsque j'ai finit je suis descendue à la cuisine pour me trouver un truc à manger.
Même la domestique n'est pas encore réveillée. Je suis la seule qui soit réveillée ou quoi? Où est Prisca bon sang ? Je meurs de faim...
J'ouvre le réfrigérateur et le parcours du regard, en regardant dans le réfrigérateur, j'ai senti la présence de quelqu'un à l'entrée de la cuisine.
Je n'ai pas regardé l'entrée mais je sais que quelqu'un est là. J'ai pensé que c'était Prisca..
Moi : Te voilà, ce n'est pas trop tôt. J'ai faim, viens me faire un truc rapide à manger s'il te plaît...
Je continue de regarder dans le réfrigérateur tout en m'adressant à elle, je remarque qu'elle n'a encore rien dit. Je lève la tête et mon regard va croiser celui de...oh mon Dieu... c'est Éric !
Je cours et saute sur lui. Je suis si contente de le voir, je suis aggripée à son cou et il me fait tournoyer avec lui.
Moi : Tu m'as tellement manqué... quand est-ce que tu es revenu ?
Éric : Hier nuit...
Moi : Tu m'as trop manqué. Je suis si contente.
Éric : Tu m'as aussi manqué ma toute belle.
Il m'embrasse, ses lèvres aussi m'ont manqué. Je ne sais pas mais j'aime être avec lui...
Moi : Si tu savais à quel point tu m'as manqué surtout ça...
J'attrape sa bite dans son bermuda, je me laisse glisser sur le sol et atteri sur mes genoux, je fais descendre son bermuda et commence à sucer sa bite.
Mmmmhh j'adore, oh oui, qu'est ce ça m'a manqué sa bite! Je le suce délicieusement...il grogne de plaisir. Je soulève sa bite et suce ses couilles, je les aspire...
Quoi de mieux qu'une bonne pipe pour lui souhaiter la bienvenue ?
#À_suivre