LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_23
Éric : Oh...ouiii...ouiii...oh merde!
Il marmonne ses quelques mots de sa voix rauque et éssouflé au moment où je me fais le plaisir de bien sucer sa bite.
C'est moi ou sa bite est encore plus lourde et sucré que d'habitude ? Pour la lourdeur, je peux justifier ça par le fait qu'il n'a pas baisé depuis des jours et que c'est sûrement remplit de sperme, ce qui fait que c'est lourd, mais pour le goût sucré je ne sais vraiment pas.
C'est trop bon.... délicieux!
Moi : Mmmhh yeah, j'adore...
Je suce, suce, suce et suce pendant un bon moment avant de libérer sa bite de ma bouche. Je la tiens avec mes deux mains et commence à lécher le bout...je passe ma langue lentement sur le bout.
Éric : Oh mon Dieu...oui...
Je lèche le bout et une fois de plus, je l'engloutis dans ma bouche. J'aurais tellement aimé que toute sa bite puisse pénétrer ma bouche mais malheureusement sa bite est bien trop longue pour que ma bouche puisse la contenir dans son entièreté.
_«Ploum, ploum, ploum», raisonne le bruit du suçage.
Ma tête ne cesse d'aller et venir, sa bite dans ma bouche, oh merde...yeees! Je lui fais une bonne pipe jusqu'à ce qu'il jouisse. Il a beaucoup éjaculé, wow.
Moi : Quelle foutre didonc! Tu n'as pas baisé durant ton séjour au Nigéria ou quoi? Dis-je en essayant d'essuyer son sperme qui a dégouliné sur ma robe.
Éric : Non, bien sûr que non. Toi si? Tu as baisé pendant mon absence ?
Moi : Évidemment mon amour, j'avais trop envie.
Je décolle mes genoux du sol et me met en face de lui, je suis collée à lui, mes bras autour de son cou. Je veux l'embrasser mais il a tourné la tête.
Éric : Tu as baisé en mon absence, bordel tu peux pas te contenir un peu Victoria ? Tu m'as vraiment déçu.
Moi : Allez, ne fais pas cette tête. Je l'ai fait que deux fois. La première avec la domestique et la deuxième fois avec un camarade de classe à moi.
Éric : La domestique ? Dit-il en écarquillant grandement les yeux. Putain...
Il fait une tête du genre «elle a quel problème cette fille ?», je n'ai pas pû me retenir d'éclater de rire. Il est marrant.
Moi : Quoi ? Ne me dis pas que t'as jamais vu deux meufs baiser?
Éric : C'est dégoûtant!
Moi : Allez mon amour, embrasse-moi.
Je parle d'une voix gémissante et essaie encore de l'embrasser mais il évite toujours mon baiser.
Moi : T'es jaloux ou quoi? C'est juste du sexe entre nous non?
Éric : Oui mais fallait pas, je te signale que les maladies sexuellement transmissibles existent, tu risques d'attraper une de ses maladies à force de coucher avec n'importe qui ou quoi...toi et moi on ne se protège pas je te signale..
Moi : Déstresse chéri...tu n'as pas à t'en faire ok?
Je commence à l'embrasser dans le cou, ça le chatouille. Il rit..
Éric : Vicky, ça va... arrête ! Arrête...
Je ne l'écoute pas, je continue toujours, il rit aux éclats..
Éric : Victoria, dit-il en m'amenant à m'arrêter.
On se regarde dans les yeux. Il pose sa main sur ma nuque et se saisit brusquement de mes lèvres. On s'embrasse sauvagement, il me mange littéralement les lèvres.
Je sens son autre main sur mes fesses, il les tripotent. Je gémis.
Tout à coup, la domestique a débarqué, ce qui nous a amené à nous arrêter. Heureusement que c'est encore elle cette fois et non Manu. Décidément, Éric et moi avons tendance à oublier que ma sœur peut nous surprendre à tout moment.
Prisca : Bonjour monsieur, fit-elle nerveusement à Éric. Désolée je ne voulais pas vous déranger.
Moi : Ce n'est pas grave Prisca, de toute façon tu sais tout déjà, il suffit de continuer à être silencieuse et ne rien dire à ma sœur.
Prisca : Oui bien sûr...
Éric : Bon je vous laisse, je veux remonter pour prendre une douche. Euh Prisca s'il te plaît, j'ai envie de manger de la pastèque ce matin alors je veux que ça soit au menu du petit déjeuner.
Prisca : Compris monsieur..
Éric : Bien, à plus...
Il ressort de la cuisine et s'en va. Je le suis du regard jusqu'à ce qu'il ait fini de monter les escaliers, après cela, je me suis retournée pour regarder Prisca.
J'affiche un large sourire et avance vers le réfrigérateur, je prends une pomme que je commence à croquer délicieusement.
Miam, elle est esquise cette pomme, sérieux je meurs de faim. J'ai l'impression que le fait d'avoir sucer la bite de Éric tout à l'heure, a encore creusé davantage ma faim.
Prisca n'a pas bougé depuis un bon bout de temps déjà, elle ne fait que me regarder sans jamais biper le moindre mot.
Moi : Quoi? Qu'est ce qu'il y a ? Lui demandai-je la bouche pleine.
Prisca : Tu es si contente qu'il soit là n'est ce pas ?
Moi : Bien sûr, je suis aux anges qu'il soit de retour, on va pouvoir recommencer à baiser comme avant.
Prica : Et moi alors ? Tu m'as oublié ? Même hier aussi tu n'es pas venue comme promis.
Mon Dieu qu'est ce que j'ai fait ? Je l'ai rendu accro à moi ou quoi? J'avoue que j'ai adoré faire ça avec elle mais.... comment dire? C'est tout quoi, ça s'arrête là, je ne suis pas une lesbienne quand même.
Je m'approche d'elle dans le calme tout en croquant dans ma pomme. J'utilise mes doigts plus précisément le pouce et l'index pour soulever sa tête par le menton.
Moi : Je t'aime bien ma chérie et bien évidemment qu'on va refaire ce qu'on a fait la dernière fois mais pas tout le temps tu comprends ? Quelques rares fois d'accord ?
Je l'embrasse sur la bouche..
Moi : Maintenant, fais vite le petit déjeuner, j'ai faim.
J'esquisse un sourire au coin des lèvres et lui faire un clin d'œil avant de ressortir de la cuisine.
******Éric Golden
Emmanuella est distante avec moi, elle m'evite depuis ce matin. J'ai l'impression qu'elle a une dent contre moi ou qu'elle m'en veut. La preuve, elle ne m'a même pas salué.
J'étais en éveil lorsqu'elle s'est réveillée et quand elle l'a fait, elle s'est juste levée du lit pour aller s'enfermer dans la salle de bain. Je ne sais même pas ce qu'elle y fabrique depuis tout ce temps.
J'ignore ce qu'elle me reproche encore, à vrai dire, je n'ai même pas envie de le savoir. Je ne suis pas d'humeur pour les disputes ce beau samedi matin, non merci! J'attends juste patiemment qu'elle finisse pour que je puisse me laver aussi.
Après une éternité passée dans la salle de bain, elle ressort enfin avec la serviette nouée autour de la poitrine. Je suis assis dans le canapé qui se trouve dans un angle au mûr de notre chambre, elle fait tomber la serviette et commence à appliquer son lait corporel.
Il y a une semaine plus tôt, c'était impossible pour moi de la voir et de ne pas bander mais actuellement je la vois nue et ça ne me fait aucun effet, je n'ai même pas envie, même pas un tout petit peu. Je ne comprends pas ce que Victoria m'a fait au point où je ne trouve plus ma propre femme bandante.
Je suis lassé de la regarder alors je me lève et vais dans la salle de bain à mon tour. Je prends une douche froide rapide puis je retourne dans la chambre.
Manu a finit de s'habiller, elle s'est habillée d'une manière très élégante. Laissez-moi deviner, elle va encore au trav....
Manu : Je suis de garde aujourd'hui, je me rends au trav...
Travail, qu'est ce que je disais ?
Manu : Ne m'attendez pas pour le dîner, j'ignore quand je serai de retour.
Elle prend son sac et ressort de notre chambre. Des fois je donne raison aux hommes qui refusent que leurs femmes travaillent. C'est quoi ça ? Et tenez vous bien, ça a toujours été comme ça depuis qu'on est marié.
Ma femme a toujours fait passer son travail avant moi, son boulot a toujours été le plus important. Sincèrement, je n'éprouve aucun regret depuis mon aventure avec Victoria...
En parlant du loup, là voilà qui fait son entrée dans la chambre de Manu et moi, elle est vraiment folle Vicky.
Victoria : Elle vient de me dire qu'elle va travailler, on a donc toute la maison pour nous mon amour, dit-elle toute joyeuse en sautillant comme une puce.
Elle se jette sur moi et nous tombons sur le lit, elle est couchée en dessous de moi, on s'embrasse langoureusement, ma main se faufile entre ses jambes.
Comme d'habitude, elle n'a pas porté de slip, je commence à la doigter tout doucement, sa chatte émet des bruits à chaque vas et viens de mon doigt... ça m'a manqué...ssss...
Vicky : Annhh oui bébé...
******Emmanuella Golden Bruner
Je suis dans ma voiture et le chauffeur me conduit à l'hôpital où j'ai un accouchement à diriger dans moins d'une heure. Il n'y a vraiment pas de repos avec le boulot de sage-femme, c'est épuisant.
Le chauffeur conduit prudemment et nous avançons, je pouvais bien conduire moi même, chose que je fais tout le temps mais j'ignore pourquoi mais cette fois-ci j'ai voulu que ce soit lui.
Spécialement, j'ai voulu qu'il me conduise à l'hôpital aujourd'hui. Sans vous mentir, jai tout essayé pour oublier la scène d'hier où j'ai vu sa grosse bite mais en vain, elle est toujours présente dans ma mémoire. Ça m'a hanté toute la nuit.
Son pénis est vraiment très très très énorme. J'ai toujours pensé que mon mari avait la plus grosse bite du monde, ce qui est bien évidemment le cas, Éric a une énorme queue mais pour le chauffeur est encore plus énorme.
C'est archi méga giga énorme au fait. Je lance des regards discrets sur lui de temps en temps particulièrement sur son entrejambe pour vérifier si sa bite est vraiment comme je l'ai vu hier.
Je vous jure que je ne comprends pas pourquoi je suis tant obsédée par son pénis depuis hier. Je matte son entrejambe avec insistance, malgré le fait que sa bite est au couché dans son pantalon, on peut déjà voir à quel point c'est énorme.
Putain, c'est flippant ce truc!
Charles : Madame, il y a un problème ? Raisonne sa voix qui me fait sortir de mon imagination.
J'ai constaté qu'il a garé la voiture sur le bord du trottoir. Est-ce qu'il m'a vu lorsque je regardais en direction de son entrejambe comme une statue ? Oh mon Dieu, je me sens si honteuse.
Charles : Madame tout va bien ?
Moi : Oui...oui.. pourquoi ? Dis-je toute nerveuse.
Charles : Vous étiez entrain de regarder mon entrejambe....
Oh merde, je veux disparaitre. Enterrez-moi s'il vous plaît...la honnnte! Il m'a vu.
Charles : Il y a quelque chose de renverser sur mon pantalon ou quoi? Demande t-il en baissant la tête pour vérifier. Pourquoi vous étiez entrain de fixer cette partie de mon corps de la sorte ?
Je commence à transpirer à grosses gouttes au point de fondre sur le siège de la voiture, la honte veut me finir. Qu'est ce que je vais dire maintenant ? Que je regardais son entrejambe parce que j'aime matter sa grosse bite ?
#À_suivre.