LE MARI DE MA SŒUR ME BAI-SE
#Épisode_21
Sérieux la bite du chauffeur me fait délirer. C'est énorme. Je ne sais pas si vous avez déjà vu la bite d'un cheval une fois, eh bah entre la bite d'un cheval et la bite du chauffeur, il n'y a pas une grande différence je vous le garanti.
À part seulement le fait que la bite du cheval est un peu plus longue, à part ça, il n'y a aucune différence. Je l'imagine en moi et j'ai des hallucinations.
Au départ j'avoue que ça me faisait un peu peur d'être entourée par tous ses hommes qui ne désirent que me massacrer dans toutes les positions mais tout ce que je veux en ce moment, c'est leur bite en moi. Je ne désire que ça...
Je vois leur grosse queue et je mouille. L'un d'entre eux s'est approché de la table sur laquelle j'étais couchée et a commencé par me déshabiller. J'étais juste couverte par ma robe de nuit. Il me déshabille avec agressivité, il me violente carrément.
Moi : Hé lâchez-moi... lâchez-moi imbécile... Dis-je en essayant de me débattre.
C'est vrai qu'il a une grosse queue et tout mais ça ne lui donne pas le droit de me violenter de la sorte. Il peut y aller plus doucement...je me débats de toutes mes forces.
Moi : Lâchez-moi qu'est ce que vous ne comprenez pas ? Lâchez-moiiii....
Je gesticule et agite mes pieds qui vont frapper son torse et son visage. Il s'arrête soudainement et fait signe aux autres de venir l'aider. Quatre gaillards s'approchent de moi et chacun tient mes jambes et mes bras écartés.
Je me débats en vain, ils sont trop forts pour moi.
[SPLASH]
Le mec qui essayait de me déshabiller tout à l'heure, m'administre une violente gifle à faire saigner ma mâchoire. D'un geste brusque, il déchire ma robe et je me retrouve nue.
Il se met entre mes jambes qui sont toujours maintenus écartés par les autres. Il me pénètre d'un coup sec, j'ai hurlé. C'était douloureux.
Son gros pénis est enfoncé dans son entièreté dans ma chatte, il commence à me pilonner, il le fait brutalement. C'est comme si j'avais fait une bêtise et qu'il me donnait une bonne correction à l'aide de sa bite.
Je sens ma chatte se déchirer à chacune de ses pénétrations.
Moi : NOOOONN ! J'AI MAL S'IL VOUS PLAÎT...
Je pleure de douleur, c'est atroce. Mes mains et mes pieds sont retenus fermement et je ne peux faire le moindre geste.
L'un des autres hommes qui sont restés est montée sur la table et s'est positionné autour de mon cou.
_Ouvre la bouche, m'ordonne t-il en appuyant ses doigts sur mes joues pour que j'ouvre ma bouche.
Je secoue la tête pour dégager sa main et serre bien mes dents les uns contre les autres pour ne pas ouvrir la bouche.
_Ouvre la bouche sale pétasse, tu entends ? Allez.
Il me donne des petites tapes sur la joue mais je m'entête toujours.
Moi : AAAHHHHHH !
La douleur des coups de rein que l'autre est entrain de me faire subir m'a fait hurler et il en a profité pour enfoncer sa bite de merde dans ma bouche.
Ça a une odeur vraiment immonde, il me baise la bouche pendant que l'autre me défonce la chatte. Ma bouche est remplie de sa foutre.
_Avale, m'ordonne t-il.
Mes joues sont gonflés comme des ballons de baudruche parce que son sperme me remplit la bouche, je refuse de l'avaler.
_Avale!
Il me pince le nez, ce qui m'a amené à respirer par la bouche et par la même occasion à avaler sa merde.
_Très bien poupée. Très sage!
Il me tapote la joue et descend, un autre monte et c'est le même scénario. Tout comme le premier, il a aussi enfoncé sa grosse queue dans ma bouche et me baise la bouche avec.
Je suis étouffée par cette grosse queue. Je tousse douloureusement.
Moi : Ouk, Ouk, fis-je en toussant. Eurkk...eurkkk...
Il me baise la bouche pendant des minutes et un autre le remplace. Super, je vais me taper toutes leurs bites à tour de rôle.
Je respire profondément. Je me fais baiser la bouche quand tout à coup une immense douleur me traverse le corps, une autre bite plus grosse que la précédente m'a pénétré la chatte.
Bizarrement, cette fois-ci je ressens un plaisir immense et je ne veux pas que ça s'arrête. Je me réjouis de sucer des bites tout en me faisant baiser par des bites également.
Je suce la bite qui est dans ma bouche et suce les couilles aussi. Je sens les mains des autres qui pressent mes seins. Je suis entourée par des belles queues, et mains qui me caressent de partout. J'ai toujours rêvé de ce moment.
Soudain, j'entends mon nom. Un peu comme si quelqu'un est entrain de m'appeler et ce quelqu'un n'est rien d'autre que ma sœur.
Manu : Victoria, Victoria !
Je me réveille en sursaut et regarde autour de moi. Je vois ma sœur debout en pyjama. C'est déjà le matin ? Je lance des regards autour de moi, il n'y a ni gaillard, ni grosse bites, ni garage ou quoi que ce soit.
Manu : Tu n'as pas cours aujourd'hui ? Ça fait un bon moment que j'essaie de te réveiller. Tu risques d'être en retard.
Moi : Oui, oui j'ai cours aujourd'hui. J'ai cours à 7h, oh mon Dieu.
Je bondis précipitamment du lit et me dirige dans la salle de bain.
Moi : Merci de m'avoir réveillée Manu, dis-je de la salle de bain.
Manu : De rien, répond-elle.
J'entends le bruit de la porte qui se ferme. Je prends ma brosse et entre dans la douche, je ressors en courant. J'ai oublié le dentifrice, je vais le prendre. Oh mon Dieu, qu'est ce que je fais ? Je ne sais même plus ce qui m'arrive. Je risque de me faire fouetter et tout ça à cause d'un stupide rêve.
J'hallucine, donc j'étais entrain de rêver, tout ça n'était qu'un rêve? Oh mon Dieu, Victoria, tu es terrible. Je me brosse rapidement les dents en repensant à tout ce rêve, à toutes ses bites incroyables que j'avais vu.
Hélas, c'était trop beau pour être vrai.
«Toc, toc,toc»
De la salle de bain j'entends quelqu'un toquer à la porte de ma chambre. Je réponds ;
Moi : Oui c'est ouvert Manu.
J'entends la porte qui s'ouvre, je suppose qu'elle est entrée. Après cela, c'est le silence plat, je n'ai plus entendu aucun bruit.
Moi : Manu? Tu es là ?
_Boo, fit une voix sous l'effet de surprise.
Je sursaute de peur mais je me calme lorsque je vois que c'est la domestique. Elle se place sous le jet d'eau avec moi...elle m'embrasse.
Prisca : Tu m'as oublié hier. Tu n'es plus venue.
Moi : J'étais fatiguée désolée.
Je réponds à ses baisers et tape ses fesses, elle n'est pas mal mais ce n'est pas pour autant que je vais devenir lesbienne. J'ai juste eu envie de le faire avec une fille pour une fois et elle était là et on l'a fait.
Ça s'arrête là. Rien de plus.Je préfère les bites et rien ne pourra changer ça, pas même la miss monde.
Manu : PRISCA! PRISCA! Crie Manu pour l'appeler.
On entend ma sœur qui l'appelle de la salle de bain.
Moi : Y'a ma sœur qui t'appelle, vas-y.
Prisca : D'accord mais d'abord je veux savoir si on le fera aujourd'hui ?
Moi : Je ne te promets rien d'autant plus que Éric sera de retour aujourd'hui. On a beaucoup de choses à rattraper lui et moi.
Prisca : S'il te plaît.
Moi : Je vais voir.
Un sourire illumine son visage sur l'instant où j'ai dit que j'allais voir. Elle est ressortie toute trempée pour aller voir ce que veux ma sœur. Je secoue la tête dépassée, elle est incroyable! Même les filles sont dingues de moi.....MDR!
Tout le monde est dingue de Vicky même peut-être toi qui me lit. Qui sait ? Lol....
Je finis de prendre ma douche et m'habille pour descendre. Aujourd'hui nous avons l'EPS, donc je vais directement au terrain. Je suis assez en retard pour attendre prendre le petit déjeuner.
Je vais laisser le petit déjeuner pour cette fois, de toute façon, c'est le sport alors c'est mieux ainsi.
Prisca m'a dit que Manu est au salon, je suis allée la rejoindre. Mon argent de poche qu'elle m'a donné est finit et aussi j'ai besoin d'argent pour m'acheter le nécessaire pour le sport.
Moi : Manu j'ai finit, j'ai besoin de....
Je ne finis pas ma phrase. Je me tais après avoir remarqué ma mère. Qu'est ce qu'elle fout ici?
Moi : Maman ? Qu'est ce que tu fais ici?
Ma mère : Moi je te dis bonjour Victoria... comment tu vas ?
Je ravale ma salive, je sais qu'elle n'est pas là pour rien et j'espère que ce n'est pas ce que je pense.
Manu : Tu voulais me dire quelque chose ?
Moi : Euh...oui...oui...je...je...je voulais te demander de l'argent de poche.
Manu : Déjà ? Je t'ai remis 5.000f ça fait à peine une semaine, qu'est ce que tu as fait de ça ?
Moi : Désolée Manu, je l'ai pris pour m'acheter quelques petites choses...
Manu : Ok je vais t'en donner un autre mais s'il te plaît, apprend à bien gérer ça. C'est vrai que nous sommes aisés mais ce n'est pas une raison pour gaspiller l'argent, tu as compris ?
Moi : Oui... ça ne se reproduira plus.
Manu : Parfait, un instant, je vais te chercher l'argent. Mon sac est dans ma chambre....
Elle se lève et s'en va nous laissant ma mère et moi au salon. Elle quitte sa place dans le fauteuil où elle était assis et viens se mettre devant moi.
Ma mère : Tu as fait ce que je t'ai dit la dernière fois ? Tu as mis fin à votre relation à Éric et toi comme je te l'ai demandé ?
J'ai commencé à rire, ah elle est tellement drôle !
Moi : Et pourquoi je devrais faire ça ?
Ma mère : Victoria bon sang c'est le mari de ta sœur, ça ne se fait pas, fit-elle en chuchotant.
Moi : Eh bien, je serai la première à le faire alors.
Ma mère : Tu devras me tuer d'abord, comme tu refuses d'arrêter, je vais devoir tout raconter à ta sœur et pas plus tard que maintenant.
Moi : Essaie un peu... essaie un peu pour voir et je ne vais pas hésiter à lui dire la véritable raison pour laquelle tu m'as envoyé ici. Cette véritable raison qui n'est rien d'autre que tu voulais être seule avec ton fiancé Jacques, tu t'es débarrassée de ta fille pour un homme et ça, je ne vais jamais te le pardonner maman. Tu es une mère irresponsable et c'est à cause de toi que je suis une nymphomane aujourd'hui, tu as détruit ma vie maman....
Ma mère : Comment ? Fit-elle perplexe. Ce n'est pas la première fois que tu dis ça Vicky alors j'aimerais savoir.
Moi : Oublie ça, ce n'est pas ça le plus important. Le plus important c'est que Manu ne doit pas savoir les vérités et comme ça, on est kit.
Manu : Et quelles vérités je ne dois pas savoir ? Raisonne la voix de Manu.
Ma mère et moi, on se retourne et la regarde. On se regarde toutes les trois...
Manu : Alors? Je vous écoute.
#À_suivre