Chapter 20
1870mots
2022-10-03 19:19
LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_20
Je ne sais si c'est parce que c'est sa première fois mais son sperme est vraiment trop, ça sort en quantité excessive et malgré tout ça, sa bite est toujours aussi tendue.
Je me suis servie de mes seins pour masser sa bite pendant quelques minutes et durant tout ce temps il ne faisait que crier, c'était à la fois des cris de douleur et des cris de plaisir parce que sûrement il a un peu mal.
Je suis quand même entrain de vider tout le sperme que sa bite a pû contenir depuis des années, donc forcément ça doit faire mal. J'y vais en douceur avec lui. Je masse, je masse, je masse et....
Il a jouit. Wow, disons que sa bite a vomit une bonne quantité de sperme. J'ai le sperme qui me recouvre les seins et toute la poitrine. La quantité de sperme est incroyable, je n'ai jamais vu une bite en cracher autant.
Je lève la tête pour le regarder, il a encore du mal à réaliser ce qui vient de se passer. Il respire la bouche ouverte, que c'est mignon. Il est comme un petit bébé qui vient de goûter au plaisir de la pipe pour la première fois.
Moi : Alors t'as aimé ? Dis-je en me levant pour lui faire face. Je l'embrasse tendrement.
Andrew : J'ai grave adoré. Victoria je veux te dire que j'ai toujours eu un faible pour toi mais je n'ai jamais osé te le dire.
Moi : Ah bon, vraiment ?
Andrew : Je te jure, tu me plais de malade, t'es belle, gentille et très sexy, t'es trop canon Vicky. Tu ne sais pas combien de fois j'ai rêvé de ce moment, combien de fois j'ai rêvé de faire ça (il m'embrasse) et ça (il tape mes fesses)
Je rigole.
Andrew : Et surtout ça.
Il commence à me sucer les seins dans une douceur sans pareille. Je gémis.
Andrew : J'ai trop envie de le faire avec toi. Tu veux bien ?
Moi : Bien sûr.
On s'embrasse en se mettant à genou tous les deux, il se couche ensuite sur le sol de la salle de bain. Je m'asseois à califourchon sur lui.
On ne s'est pas déshabillé, nous sommes toujours dans nos tenues d'école. C'est juste la braguette de son pantalon qui est ouvert dévoilant sa bite, de mon côté j'ai plié mon habit en haut pour laisser mes seins à l'air libre et j'ai soulevé ma jupe et l'a attaché au niveau de ma taille.
Je suis assise sur la partie de son bassin qu'on voit juste avant sa bite. Je peux sentir sa bite toute tendue dans mon dos, je recule en arrière en étant assise sur lui, je viens au niveau de sa bite.
Je me lève un peu et prend sa bite que j'enfonce en moi d'un coup sec. Un grand cri incontrôlé s'est échappé de ma bouche sur le moment.
J'ignore si c'est dû au fait qu'il est puceau mais sa bite en moi m'a procuré un effet que je n'ai jamais ressenti auparavant avec une bite. C'était comme une décharge électrique qui a traversé tout mon corps.
Tout comme moi, il a crié aussi et s'est violemment emparé de mes seins qu'il a commencé à presser et à malaxer dans ses mains pendant que moi je montais et descendais sur sa bite.
Moi : Anh...anh...hiiii....oh oui....anh...
Je gémissais comme une folle, c'est vrai qu'il n'a pas une longue bite mais ça me fait tellement de bien, un bien que certaines grosses bites ne m'ont jamais fait ressentir.
Je tremble sur lui. Je suis submergée par le plaisir si bien que j'étais maintenant incapable d'aller et venir sur sa bite, j'étais comme paralysée, je ne faisais que gémir.
Tout à coup, il a posé sa main dans mon cou et m'a fait coucher brusquement sur lui, j'ai senti par la suite son bassin qui montait et descendait. Oh putain...il me baise.
Moi : Ooooohhhhh ouiiiiiiiii....annnnhhhh....anhhhhh.....
Il me baisait avec rage et brutalité, je n'aurais jamais pensé qu'il pouvait faire ça. J'ai pensé que comme c'était sa première fois il n'allait pas faire grand chose et c'était l'erreur que j'avais fait.
Andrew est un homme après tout et il ne faut jamais sous-estimer un homme surtout pas au lit parce qu'on risque d'être agréablement surpris comme je le suis en ce moment.
Il me framponne rapidement le minou, je ne suis que gémissements au dessus de lui.
Moi : Yeah...yeah...yeah... gémis-je rapidement. Oh oui...
Andrew : Oui...oui...oui...merde... putain...oui... grogne t-il en me baisant comme un malade.
L'instant qui a suivi, j'ai senti un liquide chaud me remplir à rabord....il a jouit.
Ça a été rapide didonc. J'avoue qu'il s'est bien débrouillé pour une première fois mais ça reste encore beaucoup de taff au niveau de l'endurance. Ce n'est pas encore ça. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas grave, j'ai adoré même si je n'ai pas pû jouir aussi.
Je me suis levée du dessus de lui. Sa bite est tout mou, il a tout vidé en moi. Heureusement qu'il existe quelque chose qu'on appelle «pilule contraceptive». Je ne manque jamais de la prendre autrement dit bonjour les vomissements, les nausées et autres...
Je suis allée prendre mon string que j'avais laissé sur le sol des toilettes et je l'ai porté. J'ai nettoyé par la suite le sperme qui était sur moi et me suis arrangée. Andrew est toujours allongé sur le sol.
Moi : Tu veux pas te lever ?
Andrew : Mon Dieu c'était quoi ça ? Dit-il encore sous le choc.
J'ai pouffé de rire.
Moi : C'était ce que tu ratais depuis des années.
Andrew : Bordel.
J'ai rigolé puis je l'ai laissé là, j'ai rejoins Marlène qui jouait toujours à la console.
Marlène : Où étais-tu durant tout ce temps ? C'est toujours les toilettes là ?
Moi : Non, j'étais avec Andrew, on vient tout juste de baiser.
Quoi ? Qu'est ce que vous voulez que je lui dise. Je ne suis pas hypocrite moi.
Marlène : Beurk, vous m'avez laissé pour aller baiser, vous n'avez pas honte ? Venant de toi ça ne m'étonne pas mais je n'aurais jamais imaginé ça de lui. Je croyais qu'il était puceau.
Moi : Il l'était, dis-je en riant.
Marlène : Tu es incroyable. Je ne comprends toujours pas ton problème avec le sexe. Au lieu de t'abstenir comme moi.
Moi : Tu ne sais pas ce que tu rates ma chérie, tu me donneras raison un jour quand tu auras une bonne queue en toi.
Elle m'a regardé et a secoué la tête. Andrew nous a rejoint après. Marlène nous a regardé tous les deux et a secoué la tête.
Andrew : Quoi? Elle est au courant ? Me demande t-il.
Moi : Oui.
Andrew : Marlène c'était trop bon je te jure, tu devrais essayer, je t'assure..
Moi : Oui Marlène essaie et tu verras. Dis-je en rigolant.
Marlène : Laissez-moi bande d'obsédés sexuels..
Andrew et moi, on a taquiné Marlène pendant tout le temps où on est resté chez lui. Lorsqu'il commençait à se faire tard, le chauffeur d'Andrew s'est chargé de me conduire à la maison parce que je n'avais pas le numéro de notre chauffeur pour l'appeler et lui demander de venir me chercher.
******Lagos, Nigeria
******Éric Golden
Ah, ma Vicky me manque tellement. Elle me manque grave, je ne sais pas ce qui cloche chez moi mais elle me manque plus que ma propre femme. Emmanuella ne me manque pas du tout au contraire je me sens bien loin d'elle, celle qui me manque c'est ma chaudasse de Vicky.
Heureusement que le procès pour lequel je suis venu à Abuja va prendre fin demain et je pourrai rentrer chez moi. Actuellement je suis allongé dans le lit de l'hôtel dans lequel je séjourne. Je prend mon téléphone et décide d'appeler Victoria en appel vidéo. Je veux qu'elle me montre les bonnes choses qui me manquent tellement.
Il est 21h15 ici ce qui veut dire qu'il doit être 20h15 là-bas. Le décalage horaire qui sépare le Nigéria de la Côte d'Ivoire est de 1 heures.
Je l'appelle, ça sonne. Elle décroche.
Vicky : Mon amour...
Moi : Coucou bébé, t'es où là ?
Vicky : Dans ma chambre.
Moi : Tu fais quoi?
Vicky : J'essaie de réviser mes cours pour demain.
Moi : Tu sais que tu me manques beaucoup ?
Vicky : Tu me manques aussi surtout ta bite, Dit-elle en se mordant les lèvres.
Moi : J'ai une bonne nouvelle pour toi, je reviens demain.
Vicky : Vraiment ? C'est géniale bébé.
Moi : Tu me manques énormément, fais-moi voir tes seins s'il te plaît.
Lorsque j'ai demandé cela, son image n'apparaissait plus dans la vidéo, je voyais seulement le plafond, je suppose qu'elle a posé le téléphone sur le lit.
Elle l'a repris quelques secondes après. L'habit qui était à son cou quelques minutes plus tôt n'était plus là. Ses gros seins étaient à présent nus. C'est moi ou ils ont encore pris du volume ? Je bave.
Moi : Masse-les bébé...
Elle commence à masser ses téton avec la paume de ses mains, elle le fait en gémissant. Je bande...
Vicky : Anh...oui...oui... gémit-elle de l'autre côté de la vidéo.
Moi : Oui mon amour, vas-y. Je veux que tu pinces tes tétons....
******Cocody, Côte d'Ivoire
******Victoria Bruner
J'ai passé plus de deux heures en appel vidéo avec Éric, je me suis masturbé et il a assisté à tout. Quel coquin celui-là. Même lorsqu'il n'est pas là, il est là, lol!
L'appel est maintenant terminé. J'éteins mon téléphone et la lumière. Je me couvre et ferme les yeux. Je m'endors.
Moi : Hummmmmm! Fis-je étouffée.
J'ai senti une main se poser sur ma bouche pour étouffer mes cris puis la personne m'a porté sur ses épaules. Qui est-ce ? Je ne vois rien.
La personne descend les escaliers avec moi et m'amène dans un endroit. Elle allume la lumière et je me rends compte à cet instant que je suis dans le garage de la maison et que cette personne qui m'a porté est le chauffeur...il me fait coucher sur une table.
Moi : Qu'est ce que tu veux ? Pourquoi tu m'as amené ici?
Je lui pose la question mais il ne me répond pas, soudain, j'entends des éclats de rire provenant de tous les côtés.
Plusieurs hommes surgissent de nulle part et m'entourent. Je n'ai jamais vu ces hommes de ma vie, je reconnais juste le chauffeur et le gardien. Ils sont au au nombre de dix au total. De grands gaillard.
_Alors ma poupée tu es prête à passer la nuit la plus incroyable de toute ta vie ? Demande l'un d'entre eux et les autres éclatent de rire.
Je les vois ouvrir les braguettes de leur jeans dans un mouvement synchronisé et de gros bazoucas en sont ressortis. Waouh, quelles bites incoyables! Ils ont tous de grosses et énormes bites.
La cerise sur le gâteau est la bite du chauffeur qui est la plus énorme de toutes. Dans quoi est-ce que je suis ?
#À_suivre