Après la frustration que père nous avait fait, chacun de nous prit son repas tranquillement, sans dit un seul mot ; tandis que Lysa et Ludivine taquinait notre père. Cet homme me donnait vraiment la chair de poule, et pourtant la nuit comme il avait très souvent l’habitude de venir dans ma chambre, il n’était pas comme ça.
Frederick : vous êtes bien silencieux tout à coup !
Nos regards étaient braqués vers lui, telle une arme près à tirer.
Frederick : ne faites pas attention à certains de mes comportements, c’est mon habitude !
Nous le fixions toujours, sans rien dit
Frederick : dis-moi un peu Rico, comment vas ta blessure ?
Rico : sa cicatrise déjà père !
Frederick : ton médecin là comment s’appelle-t-il encore ?
Rico : Hunter ! Il s’appelle Hunter père
Frederick : oui c’est ça ! Il vient toujours ?
Rico : oui père ! D’ailleurs il sera bientôt là !
Frederick : il a lui aussi un nouveau frangin ; étant donné qu’il était fils unique, ses parents ont adopté un deuxième le même jour que nous. J’espère vraiment que ça ne l’empêche pas de bien faire son travail
« S’agirait-il de l’un des nôtres ? » (Pensais-je)
Rico : ne vous en faites pas pour ça ! Père, il le fait bien
Frederick : alors c’est tant mieux
Le moment du repas était vraiment long. Curieusement ce jour-là, il y’avait aucune servante le long de la table comme souvent
Wolf : dites ! Ou sont passé toutes les servantes ?
Lysa : à la cuisine peut-être !
Ludivine : c’est toujours comme sa quand papa est à table
Frederick : oui ! Je ne fais confiance à personne, même pas à mon ombre (dit-il en souriant) et de toute façon, moins on me voit et mieux je me porte.
Il était vraiment trop bizarre. On discutait et riait avec papa à table comme si de rien n’étais et pourtant au fond, on tremblait de peur.
Frederick : en passant mon fils hier tu m’as dit que tu voulais revoir tes anciens camarades c’est ça ?
Wolf : oui père !
Rico : tu lui as dit sa à quel moment ?
Wolf : dans la nuit d’hier il était dans ma chambre
Rico : han je vois !
Frederick : sa vous dirais si je l’ai invitais tous ici demain ?
Wolf : sa serais vraiment formidable père !
Frederick : et Rico, arrête de ronfler quand tu dors c’est vraiment trop bruyant !
Rico : comment sais-t-il que…
Ludivine : tu as oublié ce que je t’avais dit ?
Lysa : le fait que père se balade chambre par chambre la nuit !
Rico : oui je m’en souviens
Frederick : comme une ombre dans la nuit (Dit-il en quittant la table pour aller dans sa chambre)
Cette phrase de papa nous avait laissez bouche b
Rico : tu ne crois pas toujours que c’est lui ?
Wolf : non !
Je ne pouvais pas l’admettre, en fait je ne voulais pas l’accepté ; pour moi c’était impossible que c’était lui le Pharaon. Après son départ, les servantes sont apparues comme par magie à la vitesse de l’éclair pour débarrasser. C’est là que Hunter, le médecin de Rico est venu ; mais cette fois-là il n’était pas seul.
Hunter : bonjour Rico, comment vas-tu aujourd’hui ?
Rico : je vais bien merci
Wolf : je vois que tu n’es pas venu seul aujourd’hui !
Hunter : oh oui ! Ou avais-je la tête ? Je vous présente mon frère Alfred, il a insisté pour m’accompagner aujourd’hui
Rico : on se connait déjà !
Hunter : ah bon ?
Alfred : oui nous avons grandi ensemble
Hunter : donc vous étiez dans le même orphelinat je présume !
Wolf : on peut dis ça comme sa
Hunter : je comprends mieux pourquoi il a insisté pour me suivre aujourd’hui !
Alfred : en fait je ne savais pas qu’ils étaient ici, c’est juste le fruit du hasard
Wolf : je ne crois pas au hasard moi. Allez viens avec moi, on part fait un tour pendant que ton frère change le pansement de Rico !
Alfred : je peux y aller ?
Hunter : oui vas-y il y’a pas de problème !
Nous avons laissé Rico et Hunter seul et nous sommes partis. Je faisais visiter les lieux à Alfred pendant qu’il me racontait sa nouvelle vie. Les filles étaient allées à l’école bien que c’était un Samedi et nous n’avions pas de cour ce jour-là.
Alfred : dis-moi la vérité Wolf. Tu ne m’as pas tout de même tiré pour seulement me faire visiter les lieux §
Wolf : oui c’est vrai ! Je me demande si toi aussi tu ne trouves pas cette histoire bizarre ?
Alfred : si c’est vraiment très bizarre !
Wolf : sans parler que notre père dégage la même ora que celle du Pharaon !
Alfred : non !là tu plaisante j’espère
Wolf : j’ai souvent l’habitude de plaisanter ?
Alfred : pas du tout
Wolf : alors
Alfred : mais je doute fort que ça soit lui
Wolf : moi aussi
Alfred : de toute façon ce n’est pas sa qui doit nous préoccuper maintenant. Le plus urgent maintenant c’est de trouver la faille de cette mission absurde et sans aucun indice
Wolf : tu as surement raison. Et le plus tôt sera le mieux. Sinon à part ça, tu as des nouvelles des autres ?
Alfred : à part Queen qui est ma voisine et fille unique de la personne, non je n’ai aucune nouvelle des six autres
Wolf : comment elle va celle-là ?
Alfred : elle est tout aussi surprise que nous de cette nouvelle vie mais sinon le reste ça va
Wolf : ravi de l’entendre
Or Queen, c’était vraiment magnifique de pouvoir de nouveau entendre ce nom ; cela réveillait des sentiments vraiment fort en moi, sauf que maintenant je savais de quoi il s’agissait et je comptais bien lui le dis quand on se verra. J’ai passé un long moment à discuter avec Alfred jusqu’à ce que Hunter ne débarque avec Rico.
Hunter : ça y est! J’ai fini on peut y aller
Alfred : déjà ?
Rico : j’ai à peine eu le temps de bavarder avec Alfred moi !
Hunter : ne t’en fais pas, vous aurez le temps de bavarder demain
Rico : lorsque tu viendras changer mon bandage ?
Hunter : non ! À la réception que votre père organise ici
Wolf : oui je l’avais presque oublié
Rico : mais il ne nous a pas dit que c’était une réception !
Hunter : il a peut-être due garder pour vous faire une surprise…
Wolf : peut-être bien
Rico : à demain alors !
Alfred : à demain ! J’ai été ravi de vous revoir (dit-il en s’en allant)
Wolf : salut Queen de ma part !
Alfred : sans souci
Rico : tu as bien dit Queen ?
Wolf : oui ! Viens c’est une longue histoire, je vais te raconté
Puis j’ai emmené Rico près de la piscine car c’était mon endroit préféré, pour lui faire part de ma conversation avec Alfred. Après une longue journée de bavardage avec les filles et les parents, c’était l’heure que j’ai tant attendu ; le moment de dormi, car j’étais trop excité de pouvoir enfin revoir l’ange de mes rêves, ma dulcinée. J’avais hâte que le lendemain arrive, pour que je puisse enfin, lui dit ce que je ressens.