J’avais très mal à la tête tout d’un coup. Une voix féminine me parlais dans mon souvenir « qui sa pouvait bien être » (Pensais-je) et comme d’habitude je ne voyais pas le visage. J’avais vraiment mal, je hurlais de douleur.
Lysa : qu’est ce qu’il y’a Wolf (s’écria-t-elle)
Ce qui poussa Wendy à entrer brusquement.
Wendy : qu’est ce qu’il y’a ? (dit-elle tout bouleverser en posant sa main sur mon visage)
Wolf : j’ai très mal à la tête (disais-je, les mains sur la tête)
Wendy: Theresa!
Theresa: oui Madame!
Wendy: apporte-moi les Efferalgan qui sont dans la trousse de premier soin là-bas (dit-elle en la pointant du doigt)
Theresa : tout de suite madame
Puis elle se précipita d’aller les apporter avec un demi verre d’eau. Wendy s’en pressa de mettre l’Efferalgan dans le verre avant de me le donner. Elle tremblait vraiment de peur, Lysa aussi. Quinze minutes après, mes maux de têtes s’étaient complètement dissiper.
Wendy : est-ce que ça va ? (dit-elle)
Elle était restée avec Lysa tout ce temps à mon chevet.
Wolf : oui ça va ! (disais-je tout doucement)
Wendy : j’ai vraiment eu peur pour toi (dit-elle la main sur le cœur)
C’était vraiment bizarre pour moi, tout cette attention. La dernière fois que j’ai reçu autant d’amour, je ne m’en souvenais plus. J’étais habitué à gérer mes douleurs et à me prendre en charge tout seul et là tout d’un coup, je recevais beaucoup d’attention. « Ces souvenirs ! Qu’est-ce que ça pouvait bien signifié ? » (Pensais-je)
Wendy : Lysa ! Donc c’était là que tu te cachais (dit-elle, le regard tourné vers Lysa)
Lysa : désolé mère, mais je ne pouvais pas attendre une minute de plus pour voir mon nouveau grand frère ! (dit-elle toute contente)
Wendy : qu’est-ce que vous avez tous aujourd’hui à être aussi surexcité ?
Lysa : comment ça ?
Wendy : ta sœur est aussi allée voir Ricardo dans sa chambre !
Lysa : elle a complètement craqué sur lui !
Wendy : et toi sur Wolf
Lysa : ce n’est pas de notre faute s’ils sont tous les deux mignons ! Teint clair, yeux marron, cheveux couleur ébène, grand de taille et taillé comme des mannequins, j’ai hâte de me venter auprès de mes copines avec eux
Wendy : attention ma cher, n’oublie pas que ce sont tes frère !
Lysa : ne t’en fait pas pour sa mère
Wendy : si tu le dis !
Lysa : sans parler de leur jolis abdos !
« Elle plaisante ou quoi ? Elle est même au courante que ce sont les abdos de la famine ? » (Pensais-je)
Lysa : un peu abimé mais ne t’inquiète pas, un peu d’exercice physique vont régler l’affaire
Wendy : doucement Lysa ! Il est encore trop fatigué pour sa
Lysa : ce n’est pas pour maintenant mère ne t’inquiète pas
« On pourrait au moins me demander mon avis pour ça ! » (Pensais-je)
Wendy : mon chéri tu es sûr que ça va ?
Wolf : oui ça va !
Wendy : au faite je me présente Wendy ta nouvelle maman !
L’entendre dire qu’elle était ma nouvelle maman, me faisait vraiment chaud au cœur. Je ne savais pas si j’avais un jour connu l’amour d’une mère, mais à regarder celle-ci, je la voyais déjà comme si elle avait toujours été ma maman
Wendy : mais tu n’es pas obligé de m’appeler maman, je sais que ça doit être nouveau pour toi tout ça.
Wolf : ça vous dérangerait si…
Wendy : quoi donc ?
Wolf : je vous appelais maman ?
La joie et le sourire de sa quand elle entendit cela ; sa illuminait sa journée. Je sais que c’était un peu trop tôt mais je ne pouvais pas attendre.
Wendy : pas du tout mon fils ! (Dit-elle en me serrant contre elle)
C’était vraiment agréable, la sensation que je ressentais. « Donc c’est ça la chaleur maternelle ? » (Pensais-je). Ensuite, une autre jolie demoiselle, vetu comme Theresa entra dans la pièce. Elle s’appelait Pamela
Pamela : excusez-moi madame
Wendy : qu’est ce qu’il y’a ? Ma belle
Pamela : je venais juste vous informez que le repas est déjà servir !
Wendy : d’accord on arrive tout de suite
Pamela : bien madame ! (dit-elle en s’en allant)
Wendy : une minute !
Pamela : oui madame qu’est ce qu’il y’a ? (dit-elle en se retournant)
Wendy : rassemble tout le personnel en bas pour les présentations
Pamela : bien reçu madame !
Puis elle s’en alla. Theresa pendant ce temps avait déjà apprêté le vêtement que je devais porter.
Wendy : allez mon grand lève toi, tu prends ta douche et tu nous rejoins en bas (dit-elle en se levant pour s’en aller)
Wolf : c’est compris mère !
Wendy : tu viens Lysa ?
Lysa : avance-toi mère j’arrive tout de suite, juste le temps de montrer à Wolf comment utiliser sa douche
Wendy : tant que tu y es, autant le frotter le dos !
Lysa : ce n’est pas une si mauvaise idée !
Wendy : c’est ça que je disais (dit-elle en s’en allant)
Lysa : je plaisante (dit-elle en souriant)
Après le départ de Wendy, Theresa me donna une serviette et sortir de la chambre ; me laissant seul avec Lysa.
Lysa : aller vient je te montre ta douche
Je n’arrivais pas à croire que c’était toujours dans ma chambre qu’il y’avait ça. Une jolie douche plutôt espacé, rien à voir avec celui des lieux où nous vivions auparavant, que je ne préfère pas en parler. La porte de la salle de bain était identique à la déco du mur de la chambre, ce qui faisait en sorte que a vue d’œil, on ne pouvait pas vite savoir qu’une porte se dressait dans ce mur.
La salle de bain était sublime. Remplir d’un tas de chose que je me rappelle plus du nom. Pendant que Lysa expliquait, j’étais tellement concentré sur la baignoire que je n’ai pas compris que les deux robinets au-dessus faisaient sortis deux eaux différentes. Il y’avait pratiquement tout le nécessaire pour prendre son bain tranquillement, mais c’était le savon de toilette qui m’intéressait le plus à cause du parfum. Je n’avais jamais vue un savon avec un aussi bon parfum. Puis elle finit en disant
Lysa : et là c’est la colonne d’eau. Tu tournes comme ceci pour ouvrir l’eau (dit-elle en essayant)
Etant donné que c’était bizarre pour moi de voir de l’eau tombée du ciel, ça ne m’intéressait pas tellement. La baignoire par contre m’intéressait beaucoup parce que ça me faisait penser à quand Rico et moi on s’amusait à se laver dans les grandes bassines comme une piscine.
Lysa : voilà ! Maintenant que c’est terminé, je te laisse prendre ton bain ; je t’attends en bas. Ne traine pas ! (dit-elle en s’en allant)
Vue que tout était nouveau pour moi, j’ai tout d’abord commencé par ouvrir l’eau de la baignoire et ne sachant pas que celui à la couleur rouge était pour l’eau chaude, je me suis sacrement fait bruler avec, avant d’ouvrir l’autre côté. Sa faisait du bien de prendre un bain avec une aussi grande baignoire et un savon au parfum de rose ; sa changeait tout de mon ancienne vie, même si j’étais toujours autant curieux de savoir quel était ma mission dans ces lieux. J’étais tellement occuper à profiter de ce beau moment que j’ai complètement oublié qu’on m’attendait en bas. Je me suis dépêcher de me douché et de m’habiller pour vite descendre et à ce que j’ai vue j’étais le dernier à descendre et j’étais de plus mal vêtu.
Wendy : tu en as mis du temps !
Wolf : désolé mère j’ai un peu eu du mal à trouver la descente dans cette immense maison !
Lysa : dit plutôt que tu as trop aimé la baignoire et que tu y es resté longtemps
Lorsqu’elle eut dit cela, j’ai sourire timidement
Lysa : alors tu vois que j’ai raison !
Wendy : vient là mon cher je t’arrange ce désastre que tu as fait comme habillement
Les autres étaient en train de se moquer de moi, même Rico qui était à table se moquait de moi.
Wendy : voilà ! Maintenant tu peux aller t’asseoir
Rico : vient là, il y’a une place à côté de moi !
J’ai sourire et je me suis précipité vers lui. J’ai tiré mon siège et je me suis assis. Nous étions cinq à table, sur une table à manger pour six personnes; Lysa et sa sœur d’un côté, moi et Rico de l’autre, avec Wendy notre mère à un bout, et l’autre bout était vide. J’imaginais bien que c’était celui de notre père. Les employés étais placés en chaine indienne le long de la table, telle une formation armée en mode repos.
Wendy : voilà ! Maintenant on peut commencer !
Lysa : il était tant
Wendy : Wolf chéri tu connais déjà Theresa et Pamela n’est-ce pas ?
Wolf : oui mère !
Wendy : alors laisse-moi te présenter le reste. Là c’est Elodie la femme de chambre de Rico, Lucita et Hornella les femmes de chambres de Lysa et Ludivine, Pamela notre chef cuisinier et ses assistantes, Roger notre gardien, Esdras et Baudoin nos jardiniers et les meilleurs de tout le pays.
Wolf : tout le monde à une femme de chambre on dirait !
Ludivine : tous sauf maman
Lysa : elle a horreur qu’une autre fasse son travail à sa place
Ludivine : dites plutôt qu’elle ne veut pas qu’une lui pique son époux
Wendy : les filles je ne suis pas sourde
Lysa : désolé mère
Cette histoire nous avait tous faits marrés
Wendy : ce n’est pas un péché d’être jalouse quand une autre fille, plus jeune et plus belle que toi regarde ton mari à ce que je sache ! (dit-elle s’adressant à tout le personnel de sexe féminin)
Ludivine : même si tu es vielle père t’aimeras toujours autant !
Lysa : elle n’a pas tort ! Avec la façon qu’il te traite comme une reine ici, on ne respire plus quand vous êtes tous les deux !
Wendy : vous avez peut-être raison les filles !
Je me demandais à quoi pouvait bien ressembler ce père qu’on parlait seulement en l’air en l’air sans toutefois nous montrer une seul photo de lui.
Wendy : bon trêve de bavardage ! Wolf chéri tu connais aussi Lysa je pense
Wolf : oui mère !
Wendy : à côté d’elle sa sœur Ludivine
Wolf : enchanté
Ludivine : tout le plaisir est pour moi frangin !
Ludivine et Lysa se ressemblait comme deux gouttes d’eau tant physiquement que moralement. Elles étaient tous les deux gentils, aimable, attentionné, toujours souriante, et elle avait un an de moins que moi et Rico. J’étais vraiment content d’avoir deux jolies sœurs et une aussi belle maman et j’avais hâte de voir ce que cette nouvelle famille avait encore en réserve pour moi.