En me réveillant, j’étais couché dans un jolie lit bien doux ; avec un drap blanc, deux thé d’oreillés, une grande couverture qui chauffait bien. Ce lit était posé dans une grande suite, bien espacé, et dont les dimensions montraient clairement que cette maison appartenait à un grand Homme. « Mais comment j’ai fait pour atterrir ici ? » (Pensais-je). Puis j’ai entendu des bruits de pas ; « qui sa pouvait bien être » (Pensais-je). Ensuite, elle fit son entrée. C’était une jolie demoiselle de la même tranche d’âge que moi ; elle disait s’appeler lyza.
Lysa : bonjour toi ! Tu t’es déjà réveiller à ce que je vois !
Wolf : ou suis-je ?
Lysa : mais quelle question ! Dans ton nouveau chez toi bien sûr !
Wolf : pardon ?? (Disais-je très surpris !)
Lysa : tu es dans ton nouveau chez toi. Moi je m’appelle Lysa !
Wolf : et moi Wolf !
Lysa : je sais comment tu t’appelles ;
Wolf : comment ça se fait ?
Lysa : c’était sur les papiers de l’adoption
Wolf : quelle adoption ?
Lysa : tu ne sais pas ?
Wolf : non…
Lysa : sa fait quinze jours que mes parents t’ont adopté dans un orphelinat lors de leur voyage à Yaoundé !
« Mais quinze jours c’est énorme et sa correspond au nombre de jours qu’on nous avait annoncé les épreuves finales ! » (Pensais-je)
Wolf : dit moi un peu Lysa c’est ça ?
Lysa : oui !
Wolf : si sa fait quinze jours, comment ça se fait que ce n’est que maintenant que vous m’avez récupérer ?
Lysa : à cause des démarches de l’adoption ! Sa prend quinze jours selon le maitre des lieux.
« C’est encore quoi cette histoire d’orphelinat et d’adoption ? »
Lysa : mais bon je ne vais pas trop t’ennuyer avec toute cette paperasse maintenant !
Quand elle eut dit cela, une femme frappa à la porte et Lysa lui demanda d’entrée. Elle était vêtue d’une façon bizarre ; je n’avais encore jamais vue ce genre d’habillement, avec un foulard sur la tête et de longue chaussette qui lui arrivait au genou. Bon ce n’est pas non plus comme si je voyais beaucoup de vêtement quand j’étais dans cet endroit horrible.
Lysa : Wolf ! Je te présente Theresa, la femme de chambre.
Theresa : enchanté monsieur !
Wolf : c’est quoi une femme de chambre ? Et pourquoi elle m’appelle monsieur ?
Lysa : c’est elle qui va se chargée de tout dans ta chambre ; ranger, faire ton lit, choisi le vêtement que tu vas porter en fonction des évènements, bref tu verras bien !
Wolf : donc je n’aurais rien à faire c’est ça ?
Lysa : ton rôle c’est juste d’être mon frère et un bon enfant c’est tout !
Je croyais rêver ; rester sans rien faire d’extraordinaire, pour moi ce n’étais pas possible qu’une telle chose soit vrai. De plus beaucoup de chose me chiffonnait tout de même ; ou sont passé mes autres compagnons, ou nous étions, comment j’avais fait pour atterrir là-bas, cette histoire d’orphelinat et bien d’autre.
Wolf : dit Lysa !
Lysa : quoi ?
Wolf : ou est-ce que nous somme ?
Lysa : à Kribi ?
Wolf : ou ça ?
Lysa : Kribi ! Tu ne connais pas ?
Wolf : c’est toujours dans le Cameroun ?
Lysa : bien sûr !
Wolf : et cet endroit dont tu m’as parlé Yaoundé c’est ça ?
Lysa : oui ! D’où tu viens
Wolf : c’est toujours au Cameroun ?
Lysa : mais quelle question ! bien sûr que c’est toujours au Cameroun, tu ne sais pas ?
Wolf : non
Lysa : comme je suis stupide ! J’avais oublié que d’où tu viens, vous n’aviez pas accès au monde extérieur, mais bon tu apprendras très vite
Bien qu’elle ait l’ère très gentil, je n’étais pas toujours rassuré de ma présence dans cette maison.
Wolf : dit Lysa !
Lysa : quoi encore ?
Wolf : ou sont passé le reste de mes compagnons ?
Lysa : de qui tu parles ?
Wolf : de ceux avaient qui j’étais, nous étions dix !
Lysa : je ne sais pas ! Tout ce que je sais c’est que mes parents vous ont ramené à deux et que l’un était plutôt sacrement amoché ! À ce qui parait il serait tombé et se serait frapper à la tête ! Même si je doute toujours de cette histoire à dormir debout
« Cette deuxième personne, sa serait possible que ce soit Rico ? » (Pensais-je)
Wolf : tu as parlé d’une deuxième personne ?
Lysa : oui ! Un certains Ricardo !
« C’est génial ça ! » (Pensais-je)
Wolf : et ou est-il à présent ?
Lysa : il se repose dans sa chambre je crois bien !
Wolf : pour dire qu’ici chacun a sa chambre ?
Lysa : exactement ! Mais ne t’inquiète pas, tu vas vite t’y faire
A l’allure où vont les choses je ne pensais pas pouvoir m’y faire ; c’était un peu trop beau pour être vrai. J’étais tout de même heureux de savoir que Rico était avec moi ! sa me rassurais un peu.
Wolf : je suis curieux ! Pourquoi nous avoir adopté tous les deux ?
Lysa : en fait mes parents te voulaient toi seul, mais le responsable de l’orphelinat les ont fait savoir que vous faites la paires et qu’on ne pouvait pas vous séparés
Wolf : et comment ont-ils fait pour me trouver à l’orphelinat ? Il y’avait plusieurs autres, pourquoi moi ?
Lysa : grâce au calendrier photo de l’orphelinat qui étais accrocher au mur à ce que mes parents m’ont faire comprendre ; un calendrier de 32 personnes. Sauf que c’est sur toi que mes parents ont craqués et je comprends mieux pourquoi ! Tu es trop mignon ! Ma mère surtout. Enfin c’est maintenant notre mère
Sa faisait tout bizarre de l’entendre dit ça.
Wolf : tu saurais par hasard ou les autres de mes compagnons ont pu aller ?
Lysa : à ce que j’ai compris, lorsque mes parents sont allés pour te récupérer, cinq autres parents aussi y étaient pour une adoption. Mais bon tu pourras te renseigné auprès de nos parents plus tard, puisque deux d’entre eux étaient des amis à mon père et les trois autres des employés de son entreprise à ce que j’ai compris !
Ceci ne pouvait pas être une coïncidence. Tous les parents ayant adopté un enfant chez nous avaient un lien avec son père, cette histoire commençait vraiment à être louche.
Lysa : quelque chose m’intrigue tout de même ?
Wolf : quoi donc ?
Lysa : on en parlera plus tard. Tu viens à peine de te réveiller et vu l’état dans lequel on vous a ramené tu dois surement être fatigué
Elle n’avait pas tort. J’étais très fatigué bien qu’ayant beaucoup dormi ; je voulais trouver des réponses à mes question, mais bon il fallait aussi que j’essaie de me calmé. C’était trop tôt pour que je pose autant de question. Pendant que je discutais avec Lysa, Theresa s’occupait de ma chambre. Je sais ça fait bizarre de dire sa avec les dortoirs que j’ai passé près de dix ans à regarder ; mais ça sonnait bien dans ma tête. Une voix féminine frappa à ma porte tout à coup, c’était Wendy, la maman de Lysa.
Wendy : toc toc ! Wolf chéri je peux entrer ?
Lorsque j’entendis cela, des souvenirs brusques revinrent subitement dans ma tête, comme un coup de marteau au cerveau. C’est là que j’ai commencé à crier.