Tous les cinq sont allé se placer prêt de Pharaon face à nous, tel un rassemblement lors d’une formation militaire.
Pharaon : je pense que certains d’entre vous les connaissent depuis longtemps !
Etoile : oui surtout Wolf (dit-il en caressant son chat qu’il tenait toujours dans la main et en me regardant droit dans les yeux)
Ronald : et son ami Alfred
Bianca : le trouillard !
Etoile : Bianca voyons…ou sont passé tes manières ?
Bianca : je rigole c’est tout
Pharaon : je peux continuer ? Ou l’un de vous a encore quelque chose à rajouter ?
C’était d’un coup, le silence absolu
Pharaon : ce silence montre que je peux continuer. Comme je disais tant tôt, certains les connaissent depuis fort longtemps mais d’autre les ont connus aujourd’hui ! C’est exact Etoile ?
Etoile : c’est tout à fait sa Pharaon !
Pharaon : vous avez déjà fait les présentations ? Ronald
Ronald : oui Pharaon !
Pharaon : la plus gentil possible j’espère !
Ronald : ne vous inquiétez pas mon Pharaon, nous avons été le plus gentil possible (dit-il souriant en nous fixant tous du regard)
Nous avions tous peur et plus ils parlaient, plus le rythme cardiaque de chacun augmentait. « Il se fou de notre gueule ou quoi ? C’est en voulant mettre une balle dans une des parties du corps d’Alfred que l’accueil est gentil ?» (Pensais-je)
Pharaon : et vous Etoile ?
Etoile : pareil Pharaon
Pharaon : bien j’imagine que vous ne les avez pas parlés de vos véritables appellations…
Ronald : c’est exact !
Pharaon : bien ! Wolf à toi l’honneur
« Quoi ? comment a-t-il fait pour savoir que j’étais là ? Il ne s’est même pas retourné depuis » (pensais-je)
Wolf : pourquoi moi ?
Pharaon : parce que tu es mieux placé pour le faire et Alfred est trop peureux pour prendre ta place ; lui donner la parole sera comme fait du relais et passer le bâton à une tortue à la fin de la course
Sur ce point, il n’avait pas tort ; Alfred pouvais faire une crise cardiaque si une simple sourire passait entre ses jambes à cet instant là
Ronald : tu t’y lance ou pas ?
Wolf : à votre droite, Etoile et Bianca les jumeaux de l’ombre, leur simple présence dans un lieu fini toujours en bain de sang
Pharaon : pas mal ! Continu
Wolf : à votre gauche, Vinci un homme froid et insensible, Berynuy l’homme de la logique et Ronald le pivot de leur groupe. A eux trois ils forment les chevaliers de l’ombre
Pharaon : et à eux cinq ?
Wolf : à eux cinq les jumeaux et les chevaliers de l’ombre, ils forment les cinq Grand de l’ombre
Pharaon : bravo ! (dit-il en applaudissant). Alors tu sais ce qui arrive lorsqu’ils sont tous réunir !
Wolf : je pense savoir
Pharaon : je ne voulais pas les déplacés mais il y’a eu un problème avec certains de vos camarades
L’étonnement avait envahir nos visages
Pharaon : dit moi Alfred, quel est la règle majeure de notre communauté ?
Alfred : toute tentative d’évasion est vouer à une sanction allant de la salle aux cauchemars à la mort du supposé coupable (dit-il très apeuré)
Pharaon : vous savez, je n’aime pas souvent faire appel à la violence pour réglé certains problèmes, mais là, vous ne me laisser pas tellement le choix !
Wolf : dites Pharaon !
Pharaon : qu’est ce qu’il y’a Wolf ?
Wolf : tout le reste de nos camarades ont fugués ?
Pharaon : sa je ne sais pas ! Pour l’instant nous avons juste deux nom enregistré Alex et un autre dont le prénom débute par la lettre ‘’R’’ je pense bien
« R comme Rico ? Non ce n’est pas possible » (pensais-je). Je ne pouvais et ne voulais pas imaginé que l’un d’eux pouvait être Rico. Je me suis fait la promesse de le protéger et je comptais bien la tenir. Mais ces mots du Pharaon me faisaient tout de même doutés de sa survie.
Pharaon : qu’est ce qu’il y’a Wolf ? Tu as l’ère perdu dans tes pensées !
« comment fait-il pour connaitre à chaque fois les réactions des gens sans même se retourner » (pensais-je). Et c’est là que tout s’éclaircir dans ma tête. Cette fameuse légende sur une personne qui pouvait rien qu’en écoutant les battements du cœur prévoir ta réaction ; oui c’était bien lui, l’homme capable de sentir ton ora et de déterminer ton niveau de puissance ; sans même avoir à regarder, il pouvait deviner qui est là et qui n’est pas présent dans la pièce. Cet homme-là, avec d’énorme potentiel ; c’était lui l’ombre en personne et notre maitre.
Wolf : ce n’est rien
Pharaon : si tu le dis !
Ronald : tu n’oublies pas quelque chose ? Pharaon
Pharaon : non j’y arrivais c’est tout !
« Tiens ! Il y’a encore autre chose ? Ce n’est pas bientôt fini ? Je vais craqué-moi si sa continu » (pensais-je)
Pharaon : comme vous avez pu le constaté, nous sommes passé du labyrinthe à la foret mais les règles du jeu restent inchangés. Ronald, Etoile expliquez leur la chose
Quand il eut dit cela, il disparut comme il avait apparu
Ronald : des armes à feu ont été déposé à trois cents mètre de chacun de vous notamment le Beretta 92, un revolver 9mm, un revolver 8mm type Bulldog, plusieurs autres double action et bien d’autre ! Dans quelle direction ? À vous de trouver !
Etoile : et aussi, la prochaine mission se fera sous forme de guerre ; d’où la foret.
Ronald : sa sera surtout une chasse à l’homme
Wolf : pourquoi dites-vous cela ?
Ronald : parce que vous allez vous chasser entre vous (dit-il en souriant)
C’était évident, nous allions tous crever dans ce jeu. Dans une chasse à l’homme, ce sont les survivants qui compte et moins vous survivez, mieux ces gens-là se porte. La situation devenait un peu plus sérieuse et dangereuse à la fois ; là ça devenait carrément une mission suicide.
Etoile : et ne vous inquiétez pas, on veut dix survivants mais même si à la fin il n’en reste que deux ça ne nous dérange en rien (dit-il en souriant)
« Il sourire ? Cette histoire n’est pas claire. Etoile ne sourit jamais » (pensais-je)
Puis il dit en s’en allant avec les autres
Ronald : bon bon, c’est déjà le dernier tournant les jeunes !
Etoile : moi à votre place je me dépêcherais de trouver mon arme
Vinci : les autres ont peut-être déjà trouvé les leur
Bianca : ne vous faites surtout pas tuer avant que je ne le fasse ! (dit-il en souriant bien que s’en allant)
Berynuy : faites surtout preuve de bon sens
Ronald : et bonne chance ! Vous en aurez besoin
Etoile fit la pause et rajouta avant de s’en aller
Etoile : rendez-vous au lieu du sacrifice, ou on sacrifiera vos camarades qui ont tenté de s’échapper ! Pour les survivants bien-sur
La situation devenait compliquée. On ne savait même pas par où commencer à chercher ces fameuses armes à feu. Et vue leur façon de faire, nous étions surement les dernier à qui on passait l’info ; ce qui voulais par-là dire que les premiers à l’apprendre on due surement déjà avoir trouvés leur part d’arme. Nous étions dans l’embarra, comment allions nous faire pour se sortir de cette situation ?
À Suivre...