Chapter 11
862mots
2022-07-18 23:47
Après le départ des cinq grands, nous étions restés là, sans bouger, figer sur le sol comme si on avait ajouté de la colle à nos baskets. Des baskets complètement détruisent ou on pouvait observer plusieurs passage de fil à coudre que Rico nous avait rapporté une fois ; décidément on lui doit beaucoup. Quelques instants après avoir pensée à Rico, j’ai fait le constat de l’absence de quelqu’un d’autre dans nos rangs
Wolf : attendez une minute !
Wilfried : quoi ? Wolf qu’est ce qu’il y’a ?
Wolf : vous ne remarquez pas l’absence de d’autre de nos compagnons ?
Curtis : si Rico bien sûr !
Wolf : en dehors de Rico, vous n’oubliez pas quelqu’un ?
Curtis : non pas vraiment !
Kevin : imbécile ! Toi tu ne connais presque personne je te signal (dit-il en le frappant le dos)
Curtis : crétin tu étais vraiment obligé de me frapper ?
Kevin : oui parce que tu ne comprends rien à rien idiot !
Wolf : ça suffit ! Calmez-vous
Wilfried : maintenant je me souviens ! C’est vrai ce que Wolf dit, il y’a manque de deux personnes
Kevin : Albert et Blondel
Nous avons commencé à nous regarder entre nous. L’’expression sur nos visages montrait clairement que nous les avions oublié.
Queen : j’avais complètement oublié ces deux là 
Curtis : et mois donc !
Kevin : à part toi et ton ego tu ne connais presque personne je te signal !
Curtis : je te connais toi
Kevin : sa c’est parce que nous sommes toujours ensemble
Curtis : c’est vrai ça ? C’est drôle je m’en souvenais plus (dit-il en posant sa main sur son menton comme s’il réfléchissait)
Kevin : change même on te paye ?!
On me trouvait vraiment bizarre dans cette enceinte, mais Curtis l’étais encore plus. Il ne se souvient des gens uniquement lorsqu’il voit la personne ; au cas contraire, pour lui, cette personne n’a jamais existé. Il se souvenait tout de même de Kevin parce que ce sont des amis d’enfance.
Queen : j’espère au moins qu’ils ont survécu
Wilfried : et qu’ils ne font pas partir de ceux qui ont tenté de s’enfuir !
Wolf : on ferait mieux alors de se dépêcher de les trouver
Queen : tu as raison allons-y
Nous étions déjà prêts à reprendre le chemin lorsqu’Alfred annonça une autre préoccupation ; c’est drôle j’avais l’impression qu’il n’avait plus peur et qu’il devenait sûr de lui
Alfred : attendez un peu les gars…vous n’oubliez pas quelque chose encore plus important ?
Wolf : soit directe !
Alfred : la position des armes ! Il faudrait aussi qu’on la trouve. Si les premiers à qui on a passé l’info ont déjà trouvé leur part d’arme, on peut déjà fait nos prières
Wolf : tiens ! Je n’y avait pas pensée
Queen : et qu’est ce que tu as en tête ?
Alfred : vous vous souvenez, il a dit que les armes se trouvaient à trois cent mètre d’ici !
Queen : c’est exact !
Alfred : mais il n’a pas précisé la direction
Wolf : ou veut tu en venir ?
Alfred : étant donné que les armes sont placées à trois cent mètre de nous, cela voudrait par-là dire que peu importe la direction qu’on emprunte, à trois cent mètre on trouvera des armes
Curtis : hey ! Finalement tu n’es pas si bête que ça !
Alfred : la peur ne traduit pas la stupidité Curtis
Wilfried : c’est bien d’avoir pensée ainsi, mais tu oublis un détail !
Alfred : lequel ?
Wilfried : nous ne sommes plus dans un labyrinthe mais dans une forêt !
Queen : sans parler du fait qu’ici tous les arbres se ressemblent
Kevin : cet endroit donne vraiment la chair de poule ! On dirait une épisode de « Walking Dead » que Rico nous avait raconté une fois
Alfred : tu parles ! Moi je vois plutôt une version de « teen wolf » que Rico nous avait raconté une fois.
Wilfried : pareil que moi ! J’ai l’impression qu’un loup garou va bientôt surgir de nulle part et nous dévorer tout cru
Curtis : vous avez bientôt fini ? (dit-il furieux)
Wolf : moi je propose de marqué tous les arbres devant lesquels nous allons passer ; ainsi, on saura si on tourne en rond ou pas
Queen : ce n’est pas une mauvaise idée
Wolf : alors qui marche avec moi ?
Curtis : ce n’est pas comme si on avait le choix
Tous mes compagnons étaient partant pour marcher dans cette direction avec moi, bon ce n’est pas non plus comme si ils avaient tellement le choix. L’idée était là, la méthode aussi, il ne manquait plus que l’application de ceux-ci. A nous regarder parler, on aurait dit que tout était si facile, si simple, et pourtant cette affaire était plus facile à dire qu’à faire. Mais bon, nous étions sur les traces des armes et du reste de nos compagnons alors je disais dans mon cœur « Rico, me voilà ! J’arrive, tiens bon ! ».
À Suivre...