Cette phrase nous avait tous figés sur place. « Rico était-il mort ? Non ce n’est pas possible. De plus qui sont ces hommes cachés dans l’ombre ? Leur voix m’a l’ère familier ». Les voix masculine que j’écoutais de l’autre côté de ce nuage noir qui faisait un effet d’ombre me faisait réfléchir…d’un coup je me suis souvenu d’eux « non ce n’est pas possible, ça ne pouvait pas être vrai, ces trois-là ne me dite pas que c’est…
…Non ça ne pouvait pas être eux » (pensais-je). Ces trois personne dans l’ombre, pour moi je ne pouvais pas l’accepter ; leurs ora étaient clair et net, c’était bien eux, oui ! C’était bien eux, les chevaliers de l’ombre.
Voix 1 : tiens tiens qui vois là ? Ne serais ce pas notre cher et tendre ami Wolf ?
Tous mes compagnons présents à cet instant-là, se retournèrent vers moi pour me fixer du regard et à les regarder, l’expression de leur visage traduisait clairement leur étonnement.
Voix 3 : hé oui ! C’est bien lui on dirait
Voix 1: ça faisait longtemps Wolf !
Quand il eut dit cela, mon cœur se mit à battre très fort. Je transpirais sur place comme quelqu’un qui venait de faire du marathon. Qu’est-ce que ces trois-là faisait ici ? Après un long moment dans le silence, ils se mirent à parler en sortant de l’ombre
Voix 1 : qu’est ce qu’il y’a Wolf ? Tu ne nous reconnais plus ?
Wolf : non ce n’est pas possible
Voix 3 : quoi donc mon cher ? (dit-il en m’arrêtant comme un frère)
Voix 2 : laissé le respirer voyons, tu l’étouffe Vinci
Vinci, était un des trois chevaliers de l’ombre. Ses passe-temps favoris était jouer à des jeux vidéo dans lesquels on arrachait les têtes des gens à l’intérieur, fait des dessins ensanglanté ou alors s’amuser à tirer sur des animaux même juste pour le plaisir
Voix 1 : fait pas ton timide, Wolf tu étais plus bavard que sa avant
Lui c’est Berynuy l’homme de la logique. Aussi fiers qu’il parait être, il est capable de te déstabiliser sans avoir à utiliser une arme à feu ; un simple mot suffit.
Voix 2 : vous avez fini de le dérangé c’est bon on peut y aller ?
Et le dernier, Ronald ; lui il n’a pas besoin de motif pour tuer les gens. Il a l’ère calme et attentionnée et pourtant au fond, il est plus dangereux que tous ces gens réunir ; une simple désobéissance peut te couter la mort avec lui.
Wolf : Ronald, Berynuy et Vinci qu’est-ce que vous faites là ?
Vinci : voilà enfin il se décide à parler !
Berynuy : il pourrait au moins nous dire bonjour c’est la moindre des choses
Wolf : vous êtes mieux placés pour savoir que la politesse n’est pas mon fort !
Vinci : c’est vrai ça ? Tiens je ne m’en souviens plus !
Ronald : tu es sérieux là ? Et pourtant tu as été son ainé pendant longtemps
Curtis : au final il a eu combien d’ainé ? (dit-il en chuchotant à voix basse de tel sorte que personne ne pouvait l’entendre)
Ronald : en fait il en a eu cinq
« comment a-t-il fait pour… »
Ronald : tu te demandes surement comment j’ai fait pour entendre ce que tu disais ! Je me trompe ? Curtis
« Comment connais-t-il mon nom ? »
Curtis avait l’air très surpris
Ronald : l’expression sur ton visage montre que j’ai raison
Ronald avait cette faculté-là à entendre les mots à n’importe quelle fréquence ; à l’époque, on appelait ses oreilles les antennes paraboliques. Il est sensible au moindre petit bruit ou un simple geste ; ce type est un monstre de la chasse à l’homme et je continuais de me demander ce qu’ils étaient venu faire là.
Ronald : bref passons vous vous demandez surement ce qu’on fait là et qui nous somme ! Je me trompe ?
Kevin : non… (dit-il tremblant de peur)
Ronald : et bien le but de notre présence ici vous sera dévoilé plus tard. Ce qui est important pour vous de savoir maintenant est de savoir que nous sommes les chevaliers de l’ombre. Laisser moi me présenter, moi c’est Ronald
Vinci : et moi Vinci ! Enchanté
Berynuy : toujours aussi aimable Vinci !
Vinci : c’est important (dit-il en souriant)
Berynuy : et moi Berynuy
« Il se présente ? Ça ne sent pas bon » (pensais-je)
Ronald : bon bon en attendant que le Pharaon arrive, voyons voir ce que nos jeunes cadet ont dans le ventre
« Qu’est ce qu’il veut par-là dire ? Ils sont là pour se débarrasser de nous ou quoi ? » (Pensais-je en cet instant-là). Ronald se mit à tourner autour de nous comme une ombre sous la lumière tandis que les deux autres sont restés cloitrés là à ne rien faire
Ronald : voyez-vous ça ! Ne serais ce pas notre cher ami Alfred ?
Vinci : il était là lui ?
Berynuy : tiens je n’avais même pas remarqué sa présence
Ronald : normal il est toujours aussi peureux et froussard comme à notre rencontre
Alfred était resté cloitré sur place, sans rien dire. A le regarder, on pouvait facilement lire la peur dans ses yeux. Ronald continuait de roder autour de nous, nous observant un par un
Ronald : tiens ! Il y’a encore une fille vivante. Décidément cette génération m’impressionne de plus en plus.
Je me demandais bien ce qu’il cherchait à tourner autour de nous comme ça, mais personne ne pouvais réagir tellement ils avaient tous peur. La peur s’est encore plus intensifiée lorsqu’il a aperçu l’arme à feu que Wilfried tenait dans sa main
Ronald : tiens tiens mais c’est une arme à feu que tu tiens là ! Intéressant
Ronald prit l’arme à feu des mains de Wilfried ce qui nous faisait encore plus trembler de peur…
Ronald : mais c’est une arme de poing ça ! Plus précisément un Stey M-A1. Les pistolets Steyr des séries M et série S forme une gamme de pistolets semi-automatique fonctionnant en double action.
En plus d’être un expert en chasse, c’est aussi un expert en arme à feu
Ronald : je me demande jusqu’à quel distance sa peut tirer (dit-il en pointant l’arme vers Alfred). Dit moi un peu Al ! Quel partie de ton corps tu déteste pour qu’on s’en débarrasse !
Nous étions tous devenu nerveux et Alfred encore plus. Ronald n’avait pas l’habitude de plaisanter lorsqu’il s’agissait de tuer une personne ce qui nous compliquait encore plus la tâche. Alfred ne lui donnant aucune réponse, il s’apprêtait déjà à tirer sur son épaule lorsqu’une quatrième voix sorti de nulle part le stoppa
Voix 4 : ça suffit !
Ronald baissa son arme et le rendit à Wilfried avant de se prosterner comme ses deux compagnons regardant vers ce nuage sans visage. Puis Ronald dit
Ronald : bienvenue Pharaon
Pharaon : Ronald mon cher levez-vous !
Puis il se leva tous. Nous étions placé là, à se demander qui était ce Pharaon et pourquoi se cachait-il derrière ce nuage.
Pharaon : je vois que tu es toujours aussi accueillant mon cher Ronald
Ronald : ce n’est pas intentionnel mon Pharaon
Pharaon : je sais mon cher c’est dans ta nature
Ronald : ce n’est pas de ma faute si à chaque fois que j’ai une arme en main, il faut toujours que je tire, de préférence sur des êtres humains (dit-il avec un de ces regards qu’on n’en voyait pas tous les jours et un sourire aux lèvres
Pharaon : ne t’inquiète pas et de toute façon c’est ceux pourquoi je vous ai faire venir jusqu’ici !
Vinci : génial on va tuer des gens ? (dit-il surexciter)
Berynuy : on ne va pas que tuer des gens on va tuer des animaux ?
Vinci : l’homme est un animal
Berynuy : alors tu as la réponse à tes questions !
Pharaon : Vinci un homme sanguinaire et Berynuy l’homme de la logique, moi aussi je suis ravi de vous revoir !
Vinci et Berynuy : nous aussi Pharaon
Pharaon : et pour répondre à la question de Vinci, oui vous allez tuer des gens !
Tous nos yeux étaient dehors, comme si on venait tous de voir un fantôme ; bien que nous vivions dans un cauchemar. « Sont-ils alors là pour nous éliminer ? il parle de tuer comme si de rien était » (Pensais-je). Tout d’un coup, le nuage qui le cachait disparu tout à coup. « Est-ce qu’on doit pouvoir enfin voir son visage ? » (Tel était la question que je me posais). Hélas non ! Lorsque le nuage c’est dissipé, il était assis sur une chaise et son visage détourner du notre.
Pharaon : et si on passait aux choses sérieuses !
Quand il eut dit cela, le labyrinthe disparu pour faire place à des arbres, comme si nous étions en forêt. C’était très sombre on aurait dit que nous venions d’entrée dans notre pire cauchemar et à voir les réactions de mes compagnons, on pouvait vite deviner qu’ils avaient vraiment peur, et Alfred le premier ; lui qui ne supporte pas le simple labyrinthe en forêt c’est sûr il va y laisser des traces. « Et moi qui pensait que notre situation ne pouvait pas être pire, me voilà bien déçu ».
Pharaon : mais avant cela, attendons que les autres nous rejoigne
« Les autres ? Quels autres ? » (Pensais-je) et c’est là que Bianca et Etoile ont débarqué de nouveau. Nous étions tous sous nos gardes, tremblant tout de même de peur ; même moi, pour une fois de l’histoire j’avais peur devant mes compagnons. Mais on ne pouvait rien dire et rien faire à part les observer ; et c’était plus que normal, avec ces cinq-là réunir, on pouvait déjà observer un « rest in peace » sur nos tombes.
Pharaon : enfin ils sont là !
« Comment a-t-il faire pour savoir qu’ils étaient là ? Et pourtant ils sont venus dans un sens détourner de son regard ! Qui est vraiment cet homme ? » (Pensais-je)
Pharaon : vous en avez mis du temps
Etoile : désolé Pharaon, on a juste eu un petit contre temps
Pharaon : vous n’avez encore tué personne j’espère !
Etoile : difficile à dire
Accélération des battements de nos cœurs
Pharaon : je m’adresse surtout à toi Bianca
Bianca : pourquoi moi ?
Pharaon : on se connait entre nous !
Bianca : hum…
Etoile : je sais que la patience n’est pas son fort mais il n’a encore tué personne mon Pharaon
Bianca : attends et c’est toi qui dit ça ! On croirait rêver
Pharaon : vraiment surprenant cette phrase venant de toi Etoile !
Ronald : je n’aurais jamais cru t’entendre dit sa
Vinci : moi non plus (dit-il en souriant)
Berynuy : c’est une première
Etoile : ça va ! Vous n’allez pas tout de même en fait tout un plat !
Pharaon : il a raison passons aux choses sérieuses
« C’est la deuxième fois qu’il dit ça. Quand est ce qu’ils vont enfin arrêter de faire battre nos cœurs ? » (Pensais-je). Cette fois si lorsqu’il eut dit cela, le visage de ces cinq maitre de la mort changea tout à coup. Voilà, on allait enfin pouvoir passer aux choses sérieuses.
À Suivre...