J’étais resté figé sur place, « non c’est impossible » (pensais-je). Ça ne pouvait et ne devais pas être celui à qui je pense car si le maitre l’avait envoyé lui et son frère sur le terrain, on pouvait déjà commencer à creuser nos tombes.
Wolf : c’est impossible que ce soit…
Inconnu 1: et oui c’est bien moi !
Je ne savais plus quoi dit à cet instant précis, tellement j’étais surpris de le revoir.
Inconnu 1: hum c’est quel jolie demoiselle ici ? (dit-il en avançant vers Queen)
Wolf : ne la touche pas !
Inconnu 1: pourquoi pas ? Le loup risque sorti ses griffes
Wolf : non mais…
Inconnu 1: je suis ton ainé et tu me dois le respect ! (dit-il en me regardant droit dans les yeux)
Ce qui me fit m’asseoir une fois. J’avais l’impression que l’air était devenu plus lourd ou c’était mon corps qui me dépassait à porter ? Je n’en savais trop rien. Ce que je savais par contre à cet instant-là, était qu’il imposait toujours le respect partout où il passe.
Wilfried : Wolf est ce que tu le connais ? (dit Wilfried en me relevant)
Wolf : oui ! Et je comprends mieux pourquoi Alfred avait autant peur
Jetant un coup d’œil dans les bras de Queen, il vit Alfred
Inconnu 1 : voyez-vous sa, ne serais ce pas mon ami Alfred ! Or comment peut tu me fuis autant ? (dit-il en s’approchant tout doucement vers lui)
Queen, Wilfried et Alfred étaient apeurés. Une voix provenant de l’ombre du coté ou Alfred provenait répondit
Inconnu 2 : arrête de lui faire peur et viens on y va !
Là nous étions mal ; c’était son frère.
Inconnu 2: vient là mon minou (dit-il en appelant le chat)
Ce dernier couru dans ses bras
Inconnu 1 : toujours là pour me gâcher le plaisir
Inconnu 2 : tu sais très bien que le maitre ne serait pas content de nous trouver ici ! (dit-il en caressant le chat)
Inconnu 1 : dit plutôt que cet endroit te répugne
Inconnu 2 : moins on reste ici et mieux je me porte !
Inconnu 1 : ça va allons-y
Il se retourna pour s’en aller. Nous étions soulager, jusqu’à ce qu’il se retourne de nouveau pour nous dire au revoir ; son frère avait déjà pris les devants. Il était toujours comme sa ; un homme mystérieux qu’on ne comprenait jamais
Inconnu 1 : on se revoir très bientôt…Wolf…
Puis, il disparut dans l’ombre, nous laissant planter là. Curtis et Kevin qui n’était pas loin et qui avaient assisté à toute la scène sans toutefois agir, ce sont décidés à se montrer après leur départ
Curtis : c’était qui ceux-là ? (me demanda Curtis)
Kevin : ils fou la chair de poule
Curtis : tu parles !
Wolf : avec raison
Quelques instants d’étonnement se firent entre mes compagnons
Wilfried : le premier à l’ère inoffensif
Wolf : ne vous fiez pas aux apparences
Curtis : il te connait à ce que j’ai pu voir !
Wolf : en fait ils nous connaissent tous
Kevin : comment ça ?
Wolf : ils ont été nos ainés autrefois sauf que ceux qui les connaissent le plus sont moi, Rico et Alfred
Curtis : explique-nous un peu qui ils sont
Wolf : le premier c’est Bianca et le deuxième Etoile son frère
Queen : ce « Etoile » m’avait plutôt l’ère plus calme et compréhensive que son frère !
Wilfried : moi aussi j’ai fait ce constat
Wolf : c’est ce qu’il semble montrer
Wilfried : comment ça ?
Curtis : corrige-moi si je me trompe Wolf ; ce « Etoile »est plus dangereux que son frère n’est-ce pas ?
Cette remarque surprenait tous mes compagnons et mon affirmation encore plus
Kevin : tu veux par-là dire que Bianca malgré sa férocité est moins dangereuse que son frère ?
Wolf : oui ! C’est exactement sa
Queen : comme quoi les apparences sont vraiment trompeuses
Curtis : dis-nous plus sur ces deux-là s’il te plait!
Bianca un homme au prénom de fille qui cache bien son jeu. Sorti de la dynastie des yakuza au Japon, Bianca fais son entrée à mi-chemin de la compétition. Un de ces tueurs qui avait été appelé par le couverveur pour tuer l’empereur du Japon. Aussi petit de taille que son âge, Bianca est l’un des combattants le plus craint du Japon mais sou estimé dès le premier regard et son frère encore plus.
Curtis : si j’ai bien compris ce « Etoile » est un pilier dont on doit s’en méfier
Wolf : c’est pire que vous ne le pensez
Wilfried : comment ça ?
Wolf : Etoile lui est un mec que mieux vaut pas souvent croiser son chemin
Kevin : pour quel raison ?
Wolf : tout le répugne et les humains encore plus
Queen : en résumé, il faudrait se méfier de ces deux individus alors
Wolf : c’est un peu ça !
Le danger était plus grave que ça mais je ne pouvais pas me permettre de le dire à mes compagnons. J’avais encore le visage de ces deux-là en tête ; « Bianca ! Etoile ! Qu’est-ce que ces deux-là étaient venus fais là ? » (Pensais-je). Si le maitre les avait envoyés pour qu’ils se chargent de faire en sorte qu’il ne reste que 10 survivants comme prévu, on pouvait déjà commencer à faire nos prières.
La marche pour retrouver nos compagnons continuait toujours. Ou est-ce que nous étions ? Je n’en savais rien. J’avais presque du mal à croire que c’était toujours dans la cour que nous étions ; c’est vrai, cette demeure est une vrai forteresse et le maitre pouvait le transformer en ce qu’il veut ; ce mécanisme, je ne l’avais jamais compris. Je pensais que cette affaire de cour me dérangeait seul jusqu’à ce que Kevin ne l’évoque
Kevin : mince ! Depuis que nous cheminons là nous sommes toujours dans la cour ?
Wilfried : tu parles !
Curtis : oui nous y sommes toujours
Kevin : qu’est ce qui te fait dire ça ?
Curtis : suffit juste de regarder le sol pour le savoir
Wilfried : oui mais tu ne vois pas que ce labyrinthe est plutôt long ?
Curtis : c’est ce qu’ils veulent nous faire croire
Kevin : comment ça ?
Curtis : en fait ce labyrinthe n’est pas si long que sa
Wilfried : soit plus clair s’il te plait
Curtis : observe attentivement autour de toi et tu comprendras
Wolf : explique-nous dit donc, tu ne vois que nous n’avons pas le temps de penser ? (disais-je furieux)
Curtis : la patience, ça te dis quelque chose ?
Wolf : je préfère qu’on soit direct que de tourner autour du pot
Curtis : doucement mais surement
Wolf : plus vite tu nous fais le bilan et plus on avance !
Curtis éclata de rire un moment « bizarre il ne rire jamais » (pensais-je en ce moment-là). Lui qui un simple sourire on n’enregistrait pas sur son visage, il se met subitement à rire !bizarre nor ?
Alfred : Curtis ?
Dit Alfred après avoir subitement repris ses esprits
Alfred : c’est bien toi ?
Wilfried : tu n’es pas sûr d’être malade ? (dit-il en posant sa main sur son front)
Kevin : non ça ne peut pas être lui ! (dit-il étonner)
Curtis : tsuip donc comme j’ai lancé un petit rire là vous voulez m’envoyé à l’hôpital ?
Wolf : c’est juste surprenant venant de toi !
Curtis : tu ne penses pas que tu es plutôt mal placé pour souligner cette expression ?
Kevin : sur ce point il n’a pas tord
Et c’était vrai ! Rire n’entrait pas dans mon dictionnaire. Et c’était plutôt normal vu les conditions dans lesquelles je vivais ; Curtis aussi n’avait pas trop l’habitude de rire donc c’était plutôt surprenant.
Queen : bref passons ! Curtis explique nous !
Curtis : comme je le disais il suffit juste d’observer attentivement pour comprendre. Et si vous observer bien, vous allez comprendre que ces murs n’ont plus la même couleur et si vous avez prêté attention à vos pas marqué sur tout le trajet que vous avez parcouru, vous allez aussi comprendre que le labyrinthe à changer de forme
Queen : à un moment j’ai eu cette impression ; mais après je me suis dire que c’était peut-être la peur qui faisait cette effet
« Elle a abattu trois hommes à sang froid et là elle parle de peur ? Elle se fou de ma gueule ou quoi ? » (Telle était ma pensée en cet instant-là)
Curtis : le labyrinthe a déjà changé trois fois pour être exact
Après avoir entendu ces paroles venant de Curtis, c’est là que tout s’éclaircir dans ma tête. En fait il avait raison ! Le labyrinthe avait déjà changé trois fois de suite, et les trois fois c’était après un même intervalle de temps ; mais je ne me suis pas rendu compte à cause de la pression.
Wolf : j’ai compris ! En fait le labyrinthe à changer sa forme plusieurs fois et dans un intervalle de temps bien précis
Curtis : une heure pour être plus précis
Wilfried : tu voudrais par-là dire que nous avons seulement faire trois heures dans cette immense demeure ?
Alfred : on aurait dire que nous y avons faire des jours
Curtis : de plus comme je l’ai déjà dit tout à l’heure cet endroit n’est pas immense c’est juste…
Wolf : c’est juste que depuis on tourne en rond
Curtis : c’est exact !
Queen : comment ça se fait ? (dit-elle très étonnées)
Curtis : normal ils changent tout, même la couleur des murs
Queen : tu voudrais par-là dire que ces murs ont aussi changé de couleur ?
Curtis : c’est exact !
Wilfried : mais comment tout ça peut être possible ?
Curtis : tout ça est due à l’avancer de la technologie
Wolf : ne nous embrouille pas avec ton histoire de technologie et va droit au but !
Curtis : Wolf toujours aussi aimable…enfin bref ce que vous voyez là c’est juste un hologramme
Alfred : un quoi ?
Curtis : un hologramme
Wilfried : explication
Curtis : c’est un peu long à expliquer mais en résumé sa consiste à te montrer des choses qui n’existe pas, mais le plus réel possible
Alfred : donc tu voudrais par-là dire que ce mur (dit-il en le touchant) n’est pas réel ?
Curtis : en gros oui ! Mais, dans les normes un hologramme n’est pas autant vrai et la main peut passer à travers du cout je me demande encore comment ils ont pu faire une aussi parfaite représentation
Wolf : si on se résume à ce que tu as dit en dehors de l’histoire d’hologramme, le labyrinthe va bientôt changer alors !
Curtis : dans quinze minutes exactement !
Wolf : comment le sais-tu ?
Curtis : grâce à la vielle montre casser que Rico m’avait offert une fois lorsqu’il est rentré de l’une de ses aventures; j’ai pu la réparer
Waouh, il n’avait pas volé sa réputation de génie informatique ; c’est ainsi que Rico l’appelait. Et je commençais déjà à comprendre le pourquoi, bon je semblais comprendre.
Queen : on ferait mieux de se dépêcher de terminer cette mission ; plus vite on aura fini et mieux nous allons nous porter
Alfred : tu parles, cet endroit me donne la chair de poule
Curtis : au début de cette mission, nous avions six heures pour l’achever et si mes calculs sont exact il en reste deux et quinze minutes
« On avait donné le temps ? Et merde je n’ai vraiment rien pigé de ce que cette fille a dit sur les modalités du combat ! Ou avais-je la tête bordel ? » (Pensais-je). Puis je me suis souvenu que je devais à tout prix retrouver Rico
Wolf : retrouvons d’abord Rico, ensuite on verra le reste
Queen : tu as raison
Après avoir dit cela, trois voix sorties de l’ombre présent devant nous se proclama
Voix 1 : Rico…Rico…sa me dit quelque chose
Voix 2 : ce n’est pas celui qu’on a croisé tout à l’heure ?
Voix 3 : si c’était bien lui !
Mon cœur se mit à battre très fort, et encore plus lorsqu’ils ajoutèrent
Voix 3 : nous nous sommes bien amusés avec lui
Voix 1 : parle pour vous !
Voix 2 : fait pas cette tète, tu n’aimes pas la vue du sang de toute façon
À Suivre...