Chapter 23
2201mots
2022-08-20 03:31
# le lendemain
***** Du côté d' Alec****
Nous avons retracer l'appel comme prévu, la cabine utilisé est à plusieurs kilomètres hors de la ville, la police a déjà commencé les recherches dans cette zone, son père à demander qu'on médiatise l'affaire, alors nous avons affiché des photos d'elle dans presque toutes la villes, dans les journaux et même aux informations ; certe ce choix ne peux pas plaire aux ravisseurs et ça pourrait être dangereux pour elle, mais puisque l'argent semble être important pour eux, nous espérons que ça soit le cas et qu'ils reprennent contact avec la famille. Depuis ce jour-là nous avons reçu beaucoup d'appels d'encouragement et de soutien, c'est en ce moment que j'ai compris pourquoi ils en veulent en leur argent, cet homme à le bras très long, et il est très riche.

Je reste actuellement chez ces parents, vous allez surement trouver ça bizarre, mais c'est une doléance que j'ai faite auprès de son père, pour être au courant de tout ce qui se passe et sans trop d'efforts il a accepté, elle a vraiment de la chance d'avoir des parents aussi aimant, ils me rappellent tellement les miens. J'aurais tellement voulu qu'ils soient là, maman aurait sûrement adoré Diane et en ce peu de temps, j'ai l'impression de les avoir retrouvés.
La mère de Cédric est actuellement avec nous pour apporter son soutien, c'est une personne tellement douce et gentille, je me demande comment elle a fait pour avoir un fils aussi pourri, comme on dit chez nous: << on accouche l'enfant mais pas son coeur>>. Elle dit n'avoir aucune nouvelle de son fils, elle pensait qu'il était avec sa femme mais maintenant elle est inquiète pour lui; elle pense qu'il pourrait aussi avoir été kidnappé en même temps qu'elle
– mère de Cédric : vraiment aidez moi à retrouver également mon fils, mon cœur de mère sent qu'il est dans de grands ennuis
– papa : ne t'inquiètes pas, nous sommes également à sa recherche, parce que comme tu le dis, il devait être actuellement ici, s'il n'avait rien à y voir dedans
– mère de Cédric : qu'est-ce que vous voulez dire par là ?
– papa : pour le moment rien mais très bientôt, excusez-moi, dit-il en quittant la pièce

– mère de Cédric : mon fils aime tellement votre fille, je le sais. Alors, il ne peut pas lui faire du mal ou même passé tout ce temps sans faire signe de vie et sans prendre mes appels, je suis quand même ça mère, dit-elle avec tristesse
–maman : désolée, nous comprenons ta douleur mais nous avons aussi la nôtre alors, excuses-le
– mère de Cédric : d'accord je comprends et je vous laisse, mais Alice s'il te plaît parle à ton mari pour moi; tu es mère et tu es la mieux placée pour me comprendre
– maman: d'accord, fait bonne route

–mère de Cédric : merci
Pauvre femme, je ne sais pas ce qu'elle fera lorsqu'elle apprendra toutes les accrocités qu'a commit son unique enfant, ces malheureux.
*****
Nous sommes tous assis au salon principal, nous attendons avec impatience l'appel des ravisseurs, ils sont censés appeler demain pour savoir où nous devons déposer l'argent, mais nous espérons qu'ils nous appel plus tôt que prévu pour avoir leur emplacement actuel puisque le téléphone a déjà été mis sur écoute permanente
…brin...brin…
En parlant du loup on voit sa queue comme on dit
–l'enquêteur : vous pouvez décrocher et mettre sur haut parleur si ce sont eux
– papa: d'accord
# au téléphone
–Allô
– très belle photo, malheureusement je trouve que son sourire a changé
Haut parleur
– comment ça a changé ? J'espère que vous n'avez rien fait à ma fille
– calmez-vous, la princesse est encore en vie, pas en très bonne état mais ce n'est pas grave
– je vous jure, que si vous avez fait le moindre mal à mon enfant, vous allez le payer de votre sang
– c'est ce que j'ai toujours détesté dans votre famille, pensez vous être le meilleur père du monde ? Néanmoins, puisque vous aimez tant votre fille, vous viendrez ce soir avec le montant convenu à l'adresse que je vais vous envoyer
– ce soir??? Mais je ne peux pas avoir une telle somme en si peu de temps
– ce n'est pas mon problème, j'avais pourtant dis pas de police, mais vous avez quand même désobéi alors vous ne devez vous en prendre qu'à vous même
– s'il vous plaît soyez raisonnable, je vous en prie
– hahaha !! Qui l'aurait cru, le grand Alfred Bel qui me supplie, c'est merveilleux
– donnez-moi encore quelques jours, pitié ! Je ne peux pas avoir cette somme aujourd'hui
– où est passé ce grand homme de décision ? Demande t-il avec ironie ; c'est d'accord, je vous donne deux jours et pas une heure de plus
– merci, beaucoup
# fin d'appel
– je suis sûr que c'était cet imbécile, malgré que sa voix avait changé
– papa: je suis du même avis, après cet histoire je me rassurerait personnellement que ce bâtards pourrisse dernier les barreaux d'une prison
– enquêteur : ça c'est le rôle de la police monsieur, calmez-vous, vous avez été parfait, il ne nous reste qu'à attendre pour retrouver le lieu
– papa : combien de temps ça pourrait prendre ?
– enquêteur : juste quelques minutes ne vous inquiétez pas
– agent : c'est bon monsieur nous l'avons, cet appel à été passé dans cette ville
– enquêteur : avez-vous l'adresse exacte ?
– agent : oui monsieur, c'est à ekier rue 1004, carrefour de l'amitié
– mais c'est absurde, comment ça se fait ?
– enquêteur : ces gens sont plus intelligents que nous le pensions, ils essaient de brouiller les pistes; mais soyez sûr qu'ils commettrons une erreur et elle leur sera fatal
– papa: c'est quoi la suite, que faisons-nous maintenant ?
– enquêteur : je vais passer l'alerte de ce côté et déployer mes hommes pour les recherches, mais vous ne faites rien et vous attendez
– d'accord
**** Du côté de Cédric****
Nous serons bientôt riche, je n'en reviens pas, qu'il ait accepté aussi facilement de déposer une telle somme, voir cet homme me supplier m'a rendu heureux, lui qui n'hésitait pas à me rabaisser en n'importe quel moment est celui qui est rabaisser aujourd'hui, vraiment quel ironie. Je viens de rentrer de la ville, il ne pourra jamais avoir la position parfaite de notre emplacement parce que nous appelons dans différents lieux, tout ça est une idée de Mélanie, elle est tellement intelligente et dangereuse à la fois, heureusement qu'elle est trop concentrée sur Diane pour s'occuper de moi.
– Mélanie : salut chéri, alors raconte, comment ça c'est passé
– salut, peux-tu imaginer que son père m'a supplié pour la vie de sa fille ?
– Mélanie : hahaha!!! Qui l'aurait cru; mais et pour l'argent ?
– je leurs ai donné deux jours de plus pour récolter, la totalité de la somme
– Mélanie : mais pourquoi ? ce n'est pas ce qu'on avait convenu
– je sais, mais il m'a demandé un peu plus de temps et j'ai accepté
– Mélanie : comment peux-tu être aussi naïf ? Il veut juste gagner du temps
– je ne pense pas, mais de toute les façons, nous savons déjà qu'il va payer
– Mélanie : j'espère que tu as raison
– ne t'inquiètes pas, l'infirmière est-elle déjà venue ?
– Mélanie : oui elle vient d'arriver et je les ai laissé seules
– tu crois que c'est prudent ?
– Mélanie : t'inquiètes pas, nous pouvons la faire confiance et de plus cette sauvageonne ne cessait de crier en ma présence
– pour quand est prévu l'opération ?
– Mélanie : si ça ne tenait qu'à moi, aujourd'hui même, mais nous devons attendre l'avis du médecin
–okay
****
# quelque minutes après
**** Du côté de Mélanie****
– infirmière : j'en ai terminé avec la première consultation
– Mélanie : et selon vous, comment va-t-elle ?
– infirmière : à première vue elle paraît être en bonne état et l'enfant aussi, malgré que sa tension soit élevé et qu'elle manque de sang
– Cédric : l'opération est-elle faisable malgré cela ?
– infirmière : oui, nous le pouvons, il suffit juste de bien l'alimenter ces jours ci et vous devez veiller à ce qu'elle mange normalement et équilibré ; je vais également prescrire des vitamines et autres médicaments pour le bien de l'enfant et elle doit à tout pris les prendres
– Cédric : d'accord docteur, j'y veillerais personnellement
– autre chose ?
– infirmière : euh...oui, faite un effort de ne pas élevé sa tension d'avantage, mettez la dans un environnement plus sain, vu la situation, c'est presque impossible, mais essayez quand-même, au risque que de perdre l'enfant ; j'ai pris un peu de son sang pour des examens plus approfondis donc je reviendrai vers vous dès demain, même heure
– d'accord, à demain
Mince! Cette fille a le chic de me mettre dans mes états, je n'ai qu'une seule envie celle de les tués sont bâtards et elle, moi être à ces petits soins, pourquoi ne pas me tué tant qu'on y est?
– Cédric : je sais que cette nouvelle ne te ravit pas, mais nous n'avons pas le choix, n'oublie pas que c'est avant tout ton idée, et j'y tient à mon enfant
– je le sais très bien, pas la peine de remuer le couteau dans la plaie
– Cédric: vient là ( en me prenant dans ces bras) dans quatres petits jours ce cauchemar sera terminé et on pourra être heureux pour toujours toi et moi
– Tu me le promets ?
– Cédric : bien-sûr, aller vient on doit la changer de pièce
– vas-y toi, moi je ne pourrai pas supporter de voir ce sourire sur son visage
– Cédric: très bien comme tu veux
****
**** Du côté de Diane****
Depuis que Mélanie est venu tout à l'heure avec cette infirmière, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai une peur qui m'a envahit, je ne peux pas expliquer pourquoi je le ressens, c'est juste comme ça surtout quand je repense à notre conversation
#Flash-back
– qu'est-ce que vous me voulez?
– infirmière : calmez-vous, je suis là pour t'examiner, à ce stade de ta grossesse tu dois savoir si tout se passe bien
– en quoi ma grossesse vous regarde?
– infirmière : écoutez, je ne fais que mon travail alors restez calme, plus vite on commencera et mieux ça sera pour nous tous
– jamais, foutez-moi la paix et ne me touchez pas!
– infirmière : j'ai reçu le feu vert avec vous, je pourrais faire ce que je veux plus que vous êtes enchaîné alors voyez raisonnable, sinon je serais obligé de vous injectés des calmants
– s'il vous plaît, aidez moi, je vous payerais le double de ce qu'ils vous offre, pitié
– infirmière : désolé mais je ne peux rien pour vous, alors essayer de rester calme et de ne parler que lorsque je vous le demande
#fin du flash-back
Je n'avais pas d'autre choix qu'obéir, elle a pris mon poids, ma tension, ma température, elle me posait des questions sur ce que je mange et si j'ai l'appétit, elle a pris mon sang pour effectuer certains tests et bien d'autres choses. À un moment donné son téléphone a sonné et elle est partie décrocher hors de la salle, ce qui m'a mis la puce à l'oreille; si seulement je pouvais un seul instant mettre la main sur son téléphone ça me serait très utile. Notre consultation a duré quelques heures puis elle est partie en me donnant rendez-vous pour le lendemain.

J'étais encore troubler par la visite de cette femme, que Cedric est venu me voir pour en rajouter certainement
–lui : aller, viens avec moi, dit-il en détachant mes liens
– où allons-nous, qu'est-ce que tu vas faire de moi?
– lui: rien pour le moment tu es très chanceuse de porter mon enfant ; disons juste que c'est ton jour de chance
Je ne comprenais rien à ce qu'il voulait dire par là, nous sommes sortis du sous-sol et il m'a amené dans l'une des chambres d'amis au bout du couloir, elle avait une fenêtre qui donnait directement à l'arrière cour de la maison, après des semaines passées dans le noir, revoir la lumière du jour m'a éblouit, je n'arrivais pas à ouvrir les yeux, j'ai cru devenir aveugle
– Cédric : c'est ici que tu vas résidé pour le reste de ton séjour ici
– pourquoi ça ?
– Cédric : tu n'es pas permise de poser des questions, contente-toi d'obéir; repose-toi, je viendrai avec ton repas
Il a noué mes mains avant de partir ; être dans une meilleure pièce que la précédente devait normalement me faire du bien mais ce n'étais pas du tout le cas, ces gens ne pouvaient pas devenir humain en l'espace de quelques heures, l'infirmière a dû leur dire quelque chose mais quoi alors ? J'ai peur, très peur même pour nos vies.