Je me suis réveillé des heures plus tard, j'avais mal sur presque tout le corps et les choses semblaient flou, lorsque je suis totalement revenu en moi j'ai voulu me lever mais j'ai constaté que j'étais ligotée et bâillonnée à une chaise, j'étais apeuré j'ai commencé à me dandiner dans tous les sens et à crier malgré le faite qu'aucun son ne sortait de ma bouche, j'ai remarqué que j'étais dans une cuisine alors j'ai essayé d'attraper n'importe qu'elle objet tranchant mais malheureusement pour moi j'ai fait tombé de la vaisselle ce qui attira l'attention de mes deux ravisseurs
–Mélanie: ohhh la belle au bois dormant c'est enfin réveillée, que c'est mignon, dit-il avec ironie
–hummmm…..hummmm...
–Mélanie: on dirait qu'elle veut nous dire quelque chose, attend je vais t'aider mais sois sage
–tu as vraiment l'esprit tordu, relâchez moi tout de suite où sinon…
–Mélanie: où sinon quoi??
–je vais crier et alerté le voisinage
–Mélanie: hahaha!!! Fais ce que tu veux, comme tu as dû le constater en arrivant ici, on a pas vraiment de voisin ici et si c'est pour le gardien ne t'inquiètes pas il a déjà été renvoyé nous sommes tous seuls
– tu dois avoir un sérieux problème dans ta tête, je n'y crois pas et toi ( m'adressant à Cédric) tu ne vas rien dire? Avec elle tu as l'air bien doux et calme
–Mélanie: c'est comme ça qu'on se comporte quand on aime vraiment quelqu'un ma chère
–Cedric s'il te plaît détache moi, je veux rentrer chez moi pense au bébé, à ton enfant, dis-je pour réveiller sa conscience
Lorsque j'ai prononcé ce mot, la mine de mélanie a complètement changé et elle a directement viré au rouge
–elle: attendez! De quel enfant vous parlez?
–ah je vois! Ton amant ne t'a pas dit que je suis enceinte c'est ça ?
–elle: enceinte!? Mais Cédric, comment ça se fait ?
–Cédric: bébé s'il te plaît calme toi, cette grossesse nous a tous surpris, dit-il pour la rassurer
–oui tu ne pensais pas, avoir un fruit de tes multiples viols
–Cédric: tais-toi!
– Mélanie : de toute les façons c'est pas bien grave, je vais immédiatement remédier à ce problème, dit-elle en se dirigeant vers la vaisselle où elle retira un couteau
–Cédric: mon amour, qu'est-ce que tu veux faire ?
– Mélanie : c'est simple je vais moi même retirer ce bébé de mes propres mains
– Cédric : non tu ne peux pas faire ça, réfléchit un peu si tu utilises ça tu vas la tuer
–Mélanie: c'est vrai tu as raison, je trouverais un autre moyen, ( se tournant vers moi) remercie le ciel que nous ayons encore besoin de toi vivante
–Cédric il te plaît aide moi, laisse moi m'en aller, pense à lui
J'essayais de le convaincre de me libéré pour le bien de son enfant, j'avais compris que c'était le seul alibi que je peux utiliser en ce moment, j'ai vraiment peur de ce qui peut se passer dans les têtes de ces deux là présentement, il faut que je trouve le moyen de m'en aller d'ici alors j'ai décidé de crier de toutes mes forces au cas où quelqu'un pourrait m'entendre
–AU SECOUR, À L'AIDE! … AIDE MOI
– Mélanie : tais- toi!, ferme ta bouche ne m'énerve pas, dit-elle en mettant sa mains sur ma bouche
Mais je continuais encore de plus belle
–AHHHHHHH…..
–Mélanie: très bien comme tu refuse la manière douce, on va employé là forte
Elle c'est place à ma hauteur et m'a donné un coup au ventre
–Aïe!
J'avais mal, ce coup est passé comme le choc électrique qui a parcouru tout mon corps en entier, j'espérais que rien ne soit arrivé à mon bébé
–Mélanie: comme ça tu vas la fermer et maintenant tu sauras ce qui t'attend si tu décidais de l'ouvrir à nouveau
–Cédric: mais qu'est-ce que tu fais ? Dit-il en arrêtant brusquement son bras
–Mélanie: ne me dis pas que tu t'inquiètes pour cet enfant ?
–Cédric: ce n'est pas ça mais que nous le voulions ou pas c'est mon enfant, je me dois de le protéger et de plus n'oublies pas ce que les médecins ont dit après ta fausse couche, il serait mieux pour nous de laisser cet enfant naître et on le récupérera, quant dis-tu?
Il était là entrain de parler de mon enfant comme s'il s'agissait d'un jouet, s'il pense que je pourrais le leur laisser c'est mal me connaître jamais je ne permettrais une chose pareille de mon vivant, jamais!
–Mélanie: très bien, je suis d'accord mais elle a intérêt à ne pas m'énerver
–Cédric: merci mon amour, dit-il en lui faisant un baisé sur le front
–si vous pensez me prendre mon enfant oublié ça dès maintenant parce que ça n'arrivera jamais
–Mélanie: tu sais ce que j'ai toujours eu en horreur chez toi? C'est cette façon de penser que tout est rose, ton papa n'est plus là pour te venir en aide dis moi sur qui vas tu encore compté?
– tu verras bien
–Mélanie: oulala je tremblais de peur on dirait que le chaton a sorti ses griffes... je me demande où étaient ces griffes lorsque tu te faisais frapper par ton mari? Ou encore lorsqu'il passaient des jours hors de la maison? Oh c'est vrai! Ton amour pour lui t'avais vraiment rendu aveugle ; tu ne peux savoir comment j'étais heureuse lorsque tu venais à chaque fois me parler de tes problème de couple, à chaque fois te voir pleurer comme une enfant c'était vraiment amusant
– tu es vraiment un démon
– oui un démon qui a sû te piquer ton mari sous tes yeux sans que tu ne t'en rende compte, toutes ces fois où on a coucher ensemble sous ton toit, dans toutes les pièces de ta maison et même sur ton lit c'était vraiment excitant, tu veux savoir ma scène préféré ? C'est quand nous faisions l'amour alors que tu étais coucher juste à quelque pas de nous, je dois t'avouer que j'ai aimé le faire
– que crois-tu avoir gagné en faisant tout ça? juste mon mépris
– Mélanie : crois tu vraiment que j'en ai quelques à faire de toi? J'ai de l'argent, une belle maison, un mari qui m'aime et un futur bébé à naître que demander de plus? D'ailleurs en parlant de la maison tu aimes ? Je l'ai acheté avec tes quinzes millions
Je n'en croyais pas mes oreilles, comment ont-ils pû? Donc l'histoire du projet était fausse? Et dire que j'ai mis l'entreprise de mon père en danger et sa santé mon Dieu pourquoi ??
–Snif... connards, fils de pute tu n'es qu'un animal, vous allez me le payer, je le jure!
– Mélanie : tu commences vraiment à m'agacer avec ta voix
Elle s'est avancé vers moi et m'a donné une gifle, j'avais tellement mal, près de quatre ans de ma vie aller en fumée, je n'en croyais pas mes oreilles
– Mélanie : tu es plus mignon, la bouche fermée, où en sommes-nous déjà? Oui je te racontais mes merveilleuses aventures sexuelles avec ton mari, il faut dire que tu as vraiment été une idiote, d'une naïveté incomparable, toujours en train de pleurer comme une petite gamine, pitoyable !
–depuis combien de temps ça dure? Dîtes moi depuis combien de temps vous vous payez ma tête ? Demandais-je avec indignation
– Mélanie : laisse moi réfléchir...disons aussi longtemps que votre relation, dit-elle avec fierté
Vraiment j'allais de surprise en surprise je ne pouvais même pas l'imaginer
–si tu me détestais vraiment jusqu'à ce point pourquoi rester à mes côtés? Qu'est-ce que ça t'a donné de bon?
–Mélanie: pour l'argent ma chérie, c'est la seule chose que j'ai toujours voulu de toi durant tout ce temps
J'en avais déjà assez entendu, je n'en pouvais plus, c'est vraiment trop pour moi, je voulais rester forte mais c'était au-dessus de moi. Après avoir fini de cracher son venin sur moi, il m'ont laissé là dans mes larmes et sont sortis, je me demande bien ce qu'il feront de moi, et je n'ai aucun moyen de me sortir de là, je ne sais même pas où se trouve mon téléphone.
Après quelques minutes ils sont revenus dans la cuisine, Cédric a commencé à me détacher les mains de la chaise j'étais heureuse parce que je croyais que cette histoire était terminé mais ce n'était pas le cas, une fois mes mains libres il les a attachées ensembles avant de faire pareille avec mes pieds et là j'ai eu vraiment peur
–Mais où m'amenez-vous ?
–Mélanie: tu vas très vite le savoir
–Cedric s'il te plaît pense à notre enfant
–Mélanie: au nôtre tu veux dire et ne t'inquiètes surtout pas je ne ferais rien qui pourrait causer du mal à mon bébé mais ça c'est seulement si tu restes bien sage, amène là ( s'adressant à son amant )
Il m'a porté sur ces épaules avant de commencer à marcher
–dépose moi s'il te plaît, au-secours!
Je me débattais mais rien à faire , j'essayais de m'agripper aux choses, aux murs mais mes poignets étaient beaucoup trop serré. Ils m'ont conduite au sous-sol de leurs maisons c'était tout sale et noir il n'y avait qu'une bougie pour éclairer la pièce, il y'avait déjà une natte sur le sol et des crochets au plafonds qui soutenait chacune une grosse corde c'était effrayant, arrivé il m'a déposer sur la natte, j'avais déjà très peur
–qu'est-ce qu'on fait ici?
–Mélanie: bienvenu dans ta nouvelle demeure princesse
–non ne me fait pas ça je t'en suppli, Mélanie
Les pieds et les mains jointes j'essayais bien que mal de m'agenouiller devant elle
–Mélanie: cet endroit est dégueulasse n'est-ce pas ? Je sais qu'il n'est pas à ton goût mais sache que c'est ce à quoi nous les pauvres nous sommes parfois réduit pour avoir un toit sur nos têtes alors tu devras t'en contenter
– Mélanie souviens- toi de tous les moments qu'on a passé ensemble, pourquoi me fais-tu ça ??
–Mélanie: assez de bavarder...attache là, dit-elle à Cédric
Celui-ci s'exécuta sans le moindre remords il détacha mes mains et les attacha aux cordes tu plafonds et déchata mes pieds
–pitié, laisse moi partir Cédric…
Sans un mot, sans un regard vers moi il se leva et sortit de la pièce, il suivait visiblement tout ce que lui disait sa pouffiasse
–Mélanie: bon, ce n'est pas tout mais on te laisse faire connaissance avec les rats et les cafards, dit-elle avec moquerie
–non, ne me laisse pas ici s'il te plaît
je me leva pour courir derrière la porte mais mes liens me permettaient à peine d'être près d'elle, elle ricanait de plus belle sans avoir une once de compassion envers moi, elle referma la porte à clé derrière elle et me laissa la entrain durlé comme une folle.