Chapter 60
1210mots
2022-09-14 10:00
MERCREDI MATIN
PDV LUCAS
Avec Shasha ont a passé une merveilleuse nuit bien débridé comme toujours.

Ça fait des jours que je n’ai pas parlé à Lorette et elle n’ont plus. Je vais passé la voir aujourd’hui. Après le départ de Shasha je me rends à la maison de Milly pour prendre le reste de mes affaires.
Sur place je suis surpris que la clé ne puisse pas entré dans la serrure. Je fini par sonné et ceux sont les visiteurs de l’autre jour qui viennent m’ouvrir et m’annonce qu’ils ont déjà payé la maison.
Heureusement qu’ils ont eu la gentillesse de mettre le reste de mes habits dans un sac qu’ils me remette.
Je repars furieux. En route j’appelle ce Dine.
Tout ce qu’il trouve à me dire c’est « Va relire ton contrat de mariage et ne m’appelle plus idiot. Je t’ai assez supporté » et il raccroche.
Qu’est-ce qu’il veut dire par la ? Je retourne donc à l’hôtel chercher le contrat dans ma valise.

Si je n’étais pas assis en lisant le contrat je serai tombé.
Je ne comprends pas, j’ai signé séparation de bien quand ?
J’ai bien lu avant de signer, je n’aurai pas signé sans lire.
Lucas calme toi et réfléchit. Je me lève puis me rassis à nouveau. Quelque chose m’échappe mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus ou plutôt j’ai peur de comprendre.

Eh oui, pour une fois moi FOLLY LUCIEN LUCAS A. J’ai peur que la situation ne m’ai échappée.
Je me rappelle du jour où Milly a ramené le contrat à la maison et j’ai lu.
Mais le lendemain à la signature je n’ai plus lu. Aurait-elle échangé le contrat ?
Si oui pourquoi ? Connais t’elle la vérité ? Je ne pense pas. Non non non.
Je devient fou. Il doit y avoir une autre explication. Je tourne en rond comme un lion en cage. J’ai peur d’appeler Milly. Je finis par m’assoupir dans le fauteuil.
Je sursaute quand mon phone sonne. J’ai dormir des heures mine de rien. C’est Lorette
Moi : oui ?
Lorette : enfin du décroche. rapplique immédiatement à la maison avant que je n’aille voir le papa de Milly pour tout lui raconter. Crois moi je me ferai passer pour la victime qui travaille sous contrainte.
Moi : qu’est de qui te prends ?
Lorette : il me prends que ta femme est venue me narguer ici avec des photos de toi et ta nouvelle conquête. Elle sait tout ou du moins elle sait beaucoup de choses. Tu a 30 min pour rappliquer.
Moi : attends…
Elle a déjà raccroché. Mince alors qu’est ce qui se passe ?
C’est pas possible. Milly se serait-elle foutue de moi ?
Même si elle sait la vérité elle ne sait pas pour les chèques. L’argent est toujours sur mon compte.
Lucas réfléchit à ce que tu dois faire.
Je suis pressée par le temps.
Il est temps de faire mes adieux à Lorette. Je respire un grand coup et me met en route.
Une fois de plus mon phone sonne et c’est mon oncle. J’ai presque peur de décrocher.
Moi : oui tonton, comment tu va ?
Oncle : moi bien. Mais le neveu de ma femme s’est fait arrêté hier. Ta femme à porté plainte pour faux, falsification et d’autres chose. L’enquête était en cours depuis longtemps apparemment car ils ont eus le temps de trouvé d’autres délires contre lui et il est au arrêt. Je ne sais pas comment ta femme à sue mais elle sait. J’espère que mon neveu par alliance ne va pas parlé de moi ni de ma femme. Si je t’appelle c’est pour te dire de faire attention et aussi qu’il faudrait que Lorette parte à Lomé le temps que tu voie clair dans les intentions de ta femme.
Moi : merde, merde, merde…
D’accord. Je vais appeler Lorette de suite. Au revoir.
Je ne voulais pas qu’il sache que j’étais déjà en route pour aller voir Lorette.
Putain de merde, à quel moment est-ce que j’ai cessé d’être le maître du jeu ?
Me suis-je fais avoir par Milly ?
Non non non.
Je ne peux pas perdre si près du but.
JAMAIS !
Je viens d’arriver chez mon oncle. Je sonne et Lorette vient m’ouvrir.
C’est une gifle qui m’accueille. Je suis plus que surprise
Moi : comment tu oses porter la main sur moi ? Tu est folle ou Quoi ?
Elle : oui, je suis folle. Folle de rage et de douleur.
Comment tu a pu me faire ça Lucien ? Je t’ai tout donner. Je t’aime plus que ma vie. C’est comme ça que tu me remercie ?en planifiant ton futur avec une pute rencontrer depuis quelques jours ?
Moi : je ne comprends toujours pas.
Elle : ah bon ?
Elle me jette une enveloppe en pleine figure.
Je rattrape au vol et regarde à l’intérieur.
Je suis choqué de me voir en plein ébat avec Shasha.
Mince alors
Moi : d’où tu sort ça ?
Elle : cadeau de ta femme. Elle m’a tout dit.
Moi : hein. Elle t’a dit quoi au juste ?
Elle fini par me raconté tout ce qui s’est passé avec Milly. Je suis de plus en plus sur que je me suis fait avoir. Mon plan est entrain de se retourner contre moi.
Écoute moi bien Lorette ( je lui relate les derniers événements).
Il est temps que chacun prenne sa route. Notre histoire a durée le temps qu’il fallait mais si nous voulons vraiment commencer une nouvelle vie il va falloir que chacun trace sa route. Tu iras aujourd’hui même acheté une carte visa et je vais te donner 20 millions que tu va mettre sur ça.
Je ne pense pas qu’ont se reverras un jour.
Elle : rires, mon amour n’a pas de prix. Je ne veux pas de ton argent mais de toi et tu le sait. Si tu sort d’ici sans moi je vais immédiatement aller tout raconter aux parents de Milly. Si je ne t’ai pas alors plus rien ne m’importe.
Moi : hum
Tu l’auras voulu.
Je lui donne 2 gifles puis je commence à serrer son cou. Au début elle essayait de se défendre mais elle ne fait pas le poids contre moi. Après quelques minutes de lutte je gagne la partie car elle cesse de lutter et je me lève.
Erreur, elle avait fait semblant. Dès que je lui tourne le dos elle me pousse du pieds. Je manque de tomber et me rattraper au fauteuil à côté de moi. Elle essaie de se lever et prit de Colère je la pousse de toutes mes forces et elle tombe avec grand bruit sur la table basse. Sa tête cogne contre le bout pointu de la table et je vois le sans sortir par jet puissant. Je suis tétanisé. Après quelques instants je m’abaisse et l’embrasse une dernière fois sur la bouche.
« JE NE VOULAIS PAS QUE ÇA FINISSE COMME ÇA LORETTE. CROIS-MOI JE T’AI AIMÉ UN JOUR. OUI JE T’AI AIMÉ. REPOSE EN PAIX ET PARDONNE-MOI »
Je sort et ferme la porte du salon derrière moi.
Je monte dans ma voiture et roule sans but.