**Point de vue d'Alina***
“Aaaa,” j'ai gémi tandis que tous les trois léchaient ma peau avec leurs langues. Je me tordais de plaisir sur le lit pendant qu'ils léchaient mes épaules, mes bras et mes jambes. Juste à ce moment-là, Clark, qui était près de mes jambes, s'est inséré entre elles et a lentement retiré ma culotte.
“Non…” j'ai commencé.
"Non ? Nous savons que tu le veux. ta culotte est trempée," dit Clark en montrant ma culotte mouillée.
“Laisse-moi l'avoir,” a demandé Alfred. Dès qu'il l'a eue, il a porté ma culotte à son nez et a inspiré profondément.
“J'aime l'odeur de ton excitation,” a-t-il murmuré.
Je me sentais si gênée et en même temps, je me trouvais encore plus mouillée.
“Laissez-moi partir,” ai-je supplié, même si j'étais en train de mourir de désir. Mon corps entier brûlait littéralement.
“Nous ne pouvons pas te laisser partir. Nous savons exactement ce que tu veux,” Clark s'est brusquement penché entre mes jambes. J'ai senti quelque chose d'humide et de doux effleurer mon clitoris et cela m'a fait sursauter instantanément.
“Non, pas là…" ai-je supplié, mais il a plutôt effleuré mon clitoris plus encore. La prochaine chose que je savais c'est qu'il a commencé à parcourir la surface avec sa langue et cela m'a fait libérer plus de liquides. À la vitesse à laquelle ils allaient, j’allais perdre le contrôle.
En même temps, Alfred et Juan se sont jetés sur mes seins, et je me suis retrouvée à gémir de tous les plaisirs que je recevais.
"S'il vous plaît, faites le doucement. Vous allez me faire perdre le contrôle !" J'ai crié, ce qui semblait seulement attiser le feu.
Ils m'ont sucé et léché avec une abandon totale. Quand ils ont remarqué que j'approchais de ma limite, ils se sont immédiatement écartés.
"Ce n'est pas encore le moment, mon trésor. Nous voulons que tu réalisés à quel point nous pouvons te faire ressentir du mal.
Ils ont tous commencé à enlever leurs chemises et je les regardais tout en haletant fortement.
Qu'est-ce qu'ils essaient de faire maintenant ?
C'était la première fois que je les voyais de si près sans vêtements, et je dois avouer que j'ai été grandement surprise par ce que j'ai vu. Ils étaient tous bien membrés. Je détourne mon regard chaque fois que je les vois nus, surtout quand je les surprends avec Beth.
Juste après, Juan s'est approché de moi, caressant son sexe.
"Dis-moi que tu le veux," a-t-il murmuré en se caressant. Chaque action qu'ils entreprenaient m'embrasait de plaisir. J'étais complètement sans voix et je me contentais plutôt de le regarder en avalant laborieusement.
"Je peux dire que tu le veux, Alina," dit-il et a dirigé son énorme sexe vers le coin de mes lèvres. Pourquoi n'en gouttes-tu pas un peu et me dis pas comment ça a goût ?
J'étais à court de mots pour parler actuellement.
Voyant que je ne faisais aucune tentative, il m'a soudainement tenue doucement par la tête et a poussé son sexe dans ma bouche. Je me suis trouvée à m'ouvrir à lui sans défense, et c'est ainsi que tout a commencé. Je l'ai sucé avec tant de plaisir. Pendant ce temps, Alfred et Clark, se caressant, ont commencé à me doigter.
Le plaisir était si intense que je me suis trouvée à m'ouvrir à eux.
"Bordel ! Tu es tellement serrée, Alina," Clark a murmuré alors qu'il poussait son doigt plus profondément en moi, ce qui m'a fait sursauter.
"Ah désolé, on va y aller doucement. Ouvre-toi," Alfred a dit calmement.
Juste comme ça, ils ont pris des tours à baiser ma gorge et à jouir dans ma bouche. Quand ils ont fini, je sentais leur jus.
"C'est maintenant l'heure de te préparer," a dit Alfred, alors qu'il s'approchait de moi.
Je n'ai jamais eu la chance de relâcher, et il semble que je vais partir pour un long voyage.
"Tu es chaude, n'est-ce pas ?" Il a demandé. Même si je n'ai pas prononcé un mot, au fond de moi, j'avais hâte d'être étirée. Je voulais savoir comment c'est d'être baisée.
Il est venu près du lit et s'est allongé dessus.
« Mets-la au-dessus de moi », a-t-il instruit. Bien avant que je réalise ce qui se passait, Juan et Clark m'ont soulevée et m'ont placée sur Alfred.
"Merde ! Elle est si mouillée," a dit Clark.
« Sois toujours prudent pour ne pas lui faire mal, » a conseillé Juan.
« Tu sais que je suis toujours doux », a répondu Alfred, en essayant de m'ajuster à son niveau.
« Nous le savons, c'est pourquoi nous avons convenu que tu prennes les devants. »
« Hé, regarde-moi », a dit Alfred en tournant mon regard vers lui. Il a tenu mes deux joues et a regardé dans mes yeux.
« Je sais que cela fera mal, mais fais-moi confiance, je serai aussi doux que possible », a-t-il murmuré à mon oreille, mais je n'ai pas osé dire un mot.
Juste après, il a tiré mon visage vers lui et a commencé à m'embrasser.
Le baiser était si torride que j'ai commencé à gémir dans sa bouche. Je pensais qu'il allait me pénétrer, comment se fait-il qu'il m'embrasse ainsi.
Soudain, j'ai commencé à sentir son sexe bouger sous moi. Il a posé ses deux mains sur mes fesses en continuant à m'embrasser avec passion. Il a frotté mon dos et puis mes fesses.
J'étais tellement dans l'ambiance que je me suis laissée aller et en une poussée, il s'est enfoncé en moi, brisant mes parois tout en continuant à m'embrasser passionnément.
J'ai essayé de crier à cause de la douleur vive que je ressentais, mais tous mes cris ont été étouffés par ce baiser. Il a continué à bouger lentement en moi, rendant impossible toute résistance. Pendant qu'il me faisait l'amour doucement, Juan et Clark ont caressé mon dos et ont déposé des baisers légers sur ma nuque, mes épaules, et mes fesses.
En un rien de temps, la douleur intense que je ressentais a commencé à être progressivement remplacée par du plaisir, et à présent, Alfred a commencé à bouger de plus en plus vite en moi. Putain !
Je n'avais aucune idée que je ressentirais cela après la douleur.
Il a relâché mes lèvres et a entouré ma taille de ses bras.
« Merde ! » Tu es si serrée, Alina. Je ne pense pas pouvoir arrêter de baiser ta chatte serrée. Il s'exclama et continua à me baiser de plus en plus fort.
« Aaaa », je gémis mais rapidement je recouvris ma bouche avec mes mains. Je ne peux pas croire que cela se passait.
« Alina, je ne pense pas que je puisse le supporter, » juste à ce moment, il me bascula sur le dos, et lentement il entra dans ma chatte serrée et commença à me baiser comme un fou. Si je ne me trompe pas, c'est comme ça qu'ils l'ont fait avec Beth, et j'avais secrètement souhaité être celle qui se faisait baiser de cette façon. Qui aurait pensé que, effectivement, je serais baisée aujourd'hui.
« Argh…" gémit Alfred.
« Je n'en peux plus ! » s'exclama-t-il, et la prochaine chose que je sus, je sentis un liquide chaud se répandre en moi, en même temps, il augmenta sa cadence, me martelant sans pitié.
« Doucement Alfred, tu vas l'épuiser, » prononça Clark.
Quand Alfred eut fini, il se retira lentement de moi. Immédiatement, je poussai un gros soupir de soulagement.
Soudain, je fus de nouveau retournée avec mon dos contre le lit.
« À mon tour, » dit Clark, me regardant avec un regard rempli de luxure.
Oh, non !