Fabiola
Le nuit est vite arrivée, après la réunion, je suis allée dans mon orphelinat, rendre visite aux enfants , c'est toujours un plaisir pour moi d'aller, les voir s'amuser, s'émerveiller des cadeaux que je leur apporte est toujours réconfortant .
Je me demande comment des personnes peuvent porter une grossesse pendant neuf mois pour ensuite abandonner l'enfant à la naissance.
Avec les enfants nous avons joué, chanté , après deux heures à jouer, je suis rentrée à la maison épuisée .
j'ai pris une douche, j'ai mangé un peu, puis je me suis permis un repos bien mérité .
À mon réveil, je suis allée dans mon bureau, Jorgi m'annonce qu'il a installé les nouveaux arrivants dans leur chambre . J'ai décidé d'aller vérifier les installations, c'est juste un prétexte pour aller voir mon Bel inconnu.
J'arrive au pas de sa porte, je toque, et attends, il vient m'ouvrir.
Il porte un débardeur qui ne cache rien de ses magnifiques muscles. j'avale ma salive. Il est magnifique .
- Alors, tu es bien installé ?
- Bonsoir boss, oui je suis bien installé .
Il s'écarte de la porte pour me laisser entrer .
Je connais cette maison comme ma poche , car je connais toutes les constructions de cette forteresse .
- Je t'offre un verre ?
- Oui donne-moi une bonne bouteille.
Il passe à côté de moi et frôle, j'ai des sur tout le corps. Jamais aucun homme ne m'a fait autant d'effets.
Il ouvre son frigo et sort une bouteille bien glacée . Je m'installe dans son petit salon , pour discuter , si on peut appeler ça comme ça.
- J'ai envie de toi.
je lui sors cette phrase sans comprendre pourquoi c'est sorti, moi qui pensais qu'il ferait le premier pas, puisqu'il ne le fais pas, je le ferai à sa place.
Il s'arrête et me regarde,
- Où veux-tu qu'on le fasse ? Chez toi ou chez moi ?
- Pourquoi pas maintenant ? Ici, tout de suite.
- Oui pourquoi pas ?
On se jette dans les bras l'un de l'autre, on s'embrasse avec passion, il boit mes lèvres comme un chameau .
Nos vêtements se retrouve par terre en un claquement de doigts. il me soulève et mes jambes s'enroulent automatiquement autour de ses hanches
Il me colle violemment contre le mur, mes doigts entre en contact avec ses cheveux pour approfondir plus le baisé.
Je gémis sous son doigté magique.
Ses lèvres se posent sur ma poitrine, il les sucent avidement, j'appuie sur sa tête pour qu'il plus accès à mes seins .
Dans notre précipitation, on ne fait plus attention, ses doigts vont chercher mon sexe, il joue à les torturer délicieusement
je fond sous ses caresses, quant-il voit que je suis bien humide, prête pour le prendre, il se redresse et l'empalle brusquement, je pousse un cri de plaisir et de douleurs, il est tellement immense.
Mais, j'adore cette fougue, il commence à bouger, lentement puis progressivement, prend de la vitesse, ses coups de reins sont puissants et précis
Je suis aux anges, ses doigts empoigne mon postérieure, sur lequel il prend appuie pour s'enfoncer plus profondément en moi .
- Merde, je n'ai pas mis de préservatif , on doit arrêter.
Il essaie de de retirer , mais je l'en empêche .
- Non, ne le fais pas, je suis cline et je prends des contraceptifs, S'il te plaît continu, ne s'arrête pas.
Il continue à cogner sans répit.