Le point de vue de Leigh
Alex a secoué la tête en me souriant d'un air malicieux. "Tu dois me dire ce que tu veux, Leigh, sinon je vais devoir arrêter tout ça."
Comment pouvais-je le laisser s'arrêter alors que sa main descendait jusqu'à mon centre de plaisir et que ses doigts touchaient doucement ma baie ? D'ailleurs, je ne voulais pas qu'il s'arrête. Ce qu'il faisait était pour moi si addictif que j'en voulais plus.

Il a léché mon téton, ce qui m'a fait gémir.
"Tu devrais arrêter maintenant, Alex", ai-je crié, mais j'ai bombé ma poitrine vers son visage.
"D'accord", a-t-il dit, tandis que son long doigt s'enfonçait dans mes entrailles. J'ai haleté et gémi sous l'effet de cette sensation délicieuse. "Je devrais arrêter maintenant", il a retiré son doigt lentement et a ajouté un autre doigt en poussant à nouveau à l'intérieur de ma fente.
Je me suis agrippée aux draps du lit et j'ai crié de plaisir lorsque ses doigts ont progressé lentement en moi, atteignant mon point G, ce qui m'a fait frissonner. Il a mis mon mamelon dans sa bouche et l'a sucé pendant que ses doigts entraient et sortaient.
Mes mains se sont agrippées à ses cheveux et j'ai senti un plaisir intense s'échapper de mon corps. J'ai gémi bruyamment jusqu'à ce que je l'entende me poser une question.
"Dois-je arrêter, Leigh ?"

"Mon Dieu, non ! Ne t'arrête pas... s'il te plaît !" Mes yeux se sont révulsés pendant que mon corps vibrait et que j'atteignais l'orgasme. Mon fier mari n'a pas su s'arrêter, il a écarté mes jambes, faisant tournoyer sa langue sur mon clito, puis plongeant dans ma fente. Il n'a pas cessé de faire des merveilles avec sa langue et ses doigts, rendant le plaisir irrésistible au point que j'ai fini par pleurer.
J'ai refermé mes jambes, mais Alex les a écartées à nouveau, saisissant mes jambes avec sa main comme s'il savait que j'atteignais à nouveau l'orgasme. Il n'a pas cessé de lécher et de sucer mon centre de plaisir jusqu'à ce que mon corps tressaille, fermant mes yeux, gémissant devant la satisfaction et les émotions indescriptibles.
"Alex..." ai-je crié son nom au moment où j'atteignais un nouvel orgasme.
J'étais encore dans les nuages quand j'ai senti qu'il embrassait mon nombril, en remontant cette fois jusqu'à mes lèvres.

"Je veux que tu me pénètres, dis-le, Leigh", a-t-il chuchoté.
Mes yeux, toujours mi-clos, ma respiration toujours haletante, l'ont dit : "Je veux que tu me pénètres."
"Es-tu sûre ?" a-t-il demandé. "Regarde-moi, Leigh."
J'ai ouvert les yeux et j'ai acquiescé, mais il a hoché la tête.
"Dis-le", a-t-il touché ma peau, là où se trouvait mon sexe. "Dis ce qu'il y a là-dedans. Dis-moi ce que tu aimes vraiment."
Qu'y a-t-il dans mon cœur ? Qu'est-ce que mon cœur aime vraiment ? J'ai fermé les yeux, j'ai écouté ce que mon cœur et mon corps voulaient, et ils disaient la même chose.
J'ai ouvert mes yeux et j'ai croisé son regard. "Je veux que tu me pénètres, Alex."
Il a souri et m'a embrassée passionnément. "Tu viens de me rendre très heureux, Leigh", a-t-il dit à voix basse en installant le bas de son corps entre mes cuisses. Il ne m'a pas quittée du regard tandis qu'il guidait son membre dur jusqu'à l'entrée de mon sexe.
"Je sais qu'on ne devrait pas dire ça, mais est-ce que je peux te dire que je t'aime, Leigh ?" a-t-il gloussé, mais je pouvais sentir la sincérité de sa question.
J'ai ri brièvement. "Je t'aime déjà, Alex", ai-je admis, haletant tandis que sa virilité me pénétrait lentement. Il s'est arrêté lorsque j'ai serré mes mains dans les siennes.
"T'ai-je fait mal ?" m'a-t-il demandé, inquiet, mais j'ai secoué la tête, lui mentant.
Comment pouvais-je savoir si c'était une douleur ou non alors que cela me procurait de la douleur et du plaisir en même temps ?
"Tu me serres très fort, Leigh. J'adore ça", a-t-il dit en glissant sa tige au fond de moi.
J'ai gémi lorsqu'il a enfoncé sa tige vibrante en moi et j'ai sursauté lorsque celui-ci a retiré sa bite lentement. J'ai presque pleuré quand il a progressé doucement, plus profondément cette fois, puis il a ensuite reculé lentement. Il avait un rythme qui me rendait folle.
Ma bouche est restée entrouverte, inspirant l'air quand il a commencé le mouvement de va-et-vient à l'intérieur de moi. J'ai gémi de plaisir, pleuré en perdant la raison à chaque poussée. Je suis devenue folle, criant et gémissant tandis qu'il entrait et sortait plus rapidement de mon vagin, et lorsqu'il a touché mon point G, je l'ai rejoint dans le rythme qu'il avait créé.
J'ai enroulé mes jambes autour de sa taille, cambrant mon corps vers lui. Je pense que ce que j'ai fait l'a aussi rendu fou, au point où il pilonnait sur moi plus vite, en disant mon nom et je ne parvenais plus à me retenir.
"Leigh", a-t-il gémi en s'enfonçant plus profondément et plus fort dans mes entrailles.
"Alex", ai-je crié en gémissant son nom plusieurs fois. Je savais qu'à ce moment-là, j'avais allumé le plus grand sapin de Noël du monde, pendant que nous atteignions ensemble le neuvième nuage.
Il a embrassé mes lèvres et j'ai fermé mes yeux lorsqu'il a murmuré : "Je t'aime, Kayleigh Hearst !"
"Je t'aime aussi, Alexander Hearst !" ai-je murmuré dans la foulée, les larmes perlaient le long de mes joues.
Il s'est allongé sur le lit et m'a tirée vers lui, enroulant ses bras autour de mon corps et me donnant de petits baisers sur le visage. Il attendait patiemment que je respire de façon régulière.
"Essayons d'en tirer les conclusions maintenant, Leigh", a-t-il dit en écartant la tête de la mienne pour voir mon visage.
Je me suis léchée les lèvres et j'ai dégluti difficilement la salive. Je pense que le mot "je t'aime" sortait volontairement de notre bouche ? Je devais décider si c'était mon cœur ou mon corps qui aimait Alexander Hearst.
Il a ri aux éclats et m'a embrassée sur le front. "Tu n'as pas de dysfonctionnement sexuel, Leigh. Tu as simplement peur de tout."
J'ai pincé mes lèvres. Ce qui s'est passé aujourd'hui était la preuve que j'étais capable de faire l'amour, donc Alex avait raison.
"Et tu es vraiment délectable, Leigh", a-t-il dit, me faisant rougir.
"Tu te trompes dans ta conclusion, Alex", ai-je dit en lui souriant d'un air penaud. Il a haussé les sourcils.
"Quelle est ta conclusion alors ?"
"Je suis dépendante de mon mari", ai-je dit en me mordant la lèvre inférieure et en battant des cils devant lui.
"Et ta recommandation ?" Il a plissé ses yeux sur moi et a serré ses lèvres, réprimant un sourire.
"J'en veux encore, Alex", ai-je murmuré en déglutissant difficilement la salive, mon cœur battant la chamade dans ma poitrine, craignant que mon séduisant mari ne dise non, mais il n'a pas répondu. Il m'a plutôt murmuré tout ce qu'il voulait faire avec moi. Mes joues ont rougi et mon cœur s'est mis à vouloir qu'il me pénètre à nouveau.