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Je lui fais son câlin, il m'a embrassé et a commençait à me toucher d'une façon bizarre que je n'aimais pas, je l'ai recalé gentillement, pour moi il rigolait juste. Sauf qu'il a commencé d'aller plus loin. Il commençait à enlever mes boutons de chemise.
Moi : casse-toi, tu fous quoi là ?

Rayan : ça fait bientôt deux ans qu'on est ensemble, donc tranquille, c'est comme si t'étais déjà ma femme.
Moi : va te faire foutre Rayan - en lui mettant une grosse gifle - je suis pas Sarah grosse merde. Tu m'as pris pour qui? Essaye encore une fois de me toucher et je te castre, sous merde!
Rayan : attend!
J'ai ouvert la portière et je suis partie en courant. Je suis rentrée chez moi. Il a essayé de m'appeler plusieurs fois sauf que j'ai pas décroché.
Mes parents étaient partis en weekend-end chez de la famille. Il n'y avait que mes frères et moi.
Mes frères étaient grave bizarre aujourd'hui, ils n'étaient pas sortis. Et vers les coups de 22h, j'ai vu arrivé leur bande de pote. J'ai trouvé ça encore plus bizarre.. Un truc se préparait, j'avais un mauvais pressentiment.

____ DANS LA PEAU DE RAYAN__
La veille de la descente, je l'ai appelé pour la voir, une dernière fois avant de devoir l'oublier.
Sana : t'es sûr que tu vas bien, t'as une voix bizarre!
Moi : ouais, il fallait que je te vois avant demain!

( J'ai répondu que ouais mais non, je savais que demain les choses allaient changé, que ce sera le jour de la vengeance, et qu'elle me détesterait pour ce que je lui ai fais, mais surtout pour ce que j'aurai fais à son frère. )
Elle : il va y avoir quoi demain?
Moi : rien, mais sache que si il se passe un truc, tout ce que je t'ai dis je le pensais, l'oublie jamais.
Elle : tu me fais peur. Y'a quoi?
Moi : t'inquiètes ça va le faire.
Elle : arrête de mentir, je le vois à ta tête que t'es dans le mal.
Moi : non t'inquiètes, je te kiffe vraiment retiens ça et fais-moi un câlin maintenant.
Elle m'a fait un câlin, je l'ai embrassé. C'était maintenant où jamais, pour la réussite de mon plan, je dois couché avec elle maintenant. J'ai essayé des approches mais elle m'a recalé du coup j'y suis allé cash, j'ai commencé à retirer ses boutons de chemise.
Elle : casse-toi, tu fous quoi là ?
Moi : ça fait bientôt deux ans qu'on est ensemble, donc tranquille, c'est comme si t'étais déjà ma femme.
Elle : va te faire foutre Rayan - en me mettant une grosse gifle - je suis pas Sarah grosse merde. Tu m'as pris pour qui? Essaye encore une fois de me toucher et je te castre, sous merde!
Elle est partie en courant, je savais que c'était la dernière fois que je l'a voyais avant que tout ne change!
J'étais fière d'elle, qu'elle m'aies repoussé, je savais qu'elle n'était pas comme ça. Mais pour mon plan, ça a foiré, j'allais devoir faire sans.
Moi: attend!
J'ai essayé de l'appeler mais elle répondait pas!
_____________________________________________
AUJOURD'HUI C'EST LE JOUR DE LA DESCENTE!
Il est 17h30, on a pris les voitures pour se rendre chez elle, j'espérais qu'une chose : qu'elle ne soit pas dehors pour voir ce qu'il allait se passé.
On est arrivé et j'étais choqué : les fdp étaient armés jusqu'au cou, couteau, batte de base-ball, batôn , ils ont eu vent de notre descente, il y a une balance dans la bande.
Rien à foutre, il faut que ça cogne, on est descendu, et là Je lui fais son câlin, il m'a embrassé et a commençait à me toucher d'une façon bizarre que je n'aimais pas, je l'ai recalé gentillement, pour moi il rigolait juste. Sauf qu'il a commencé d'aller plus loin. Il commençait à enlever mes boutons de chemise.
Moi : casse-toi, tu fous quoi là ?
Rayan : ça fait bientôt deux ans qu'on est ensemble, donc tranquille, c'est comme si t'étais déjà ma femme.
Moi : va te faire foutre Rayan - en lui mettant une grosse gifle - je suis pas Sarah grosse merde. Tu m'as pris pour qui? Essaye encore une fois de me toucher et je te castre, sous merde!
Rayan : attend!
J'ai ouvert la portière et je suis partie en courant. Je suis rentrée chez moi. Il a essayé de m'appeler plusieurs fois sauf que j'ai pas décroché.
Mes parents étaient partis en weekend-end chez de la famille. Il n'y avait que mes frères et moi.
Mes frères étaient grave bizarre aujourd'hui, ils n'étaient pas sortis. Et vers les coups de 22h, j'ai vu arrivé leur bande de pote. J'ai trouvé ça encore plus bizarre.. Un truc se préparait, j'avais un mauvais pressentiment.
____ DANS LA PEAU DE RAYAN__
La veille de la descente, je l'ai appelé pour la voir, une dernière fois avant de devoir l'oublier.
Sana : t'es sûr que tu vas bien, t'as une voix bizarre!
Moi : ouais, il fallait que je te vois avant demain!
( J'ai répondu que ouais mais non, je savais que demain les choses allaient changé, que ce sera le jour de la vengeance, et qu'elle me détesterait pour ce que je lui ai fais, mais surtout pour ce que j'aurai fais à son frère. )
Elle : il va y avoir quoi demain?
Moi : rien, mais sache que si il se passe un truc, tout ce que je t'ai dis je le pensais, l'oublie jamais.
Elle : tu me fais peur. Y'a quoi?
Moi : t'inquiètes ça va le faire.
Elle : arrête de mentir, je le vois à ta tête que t'es dans le mal.
Moi : non t'inquiètes, je te kiffe vraiment retiens ça et fais-moi un câlin maintenant.
Elle m'a fait un câlin, je l'ai embrassé. C'était maintenant où jamais, pour la réussite de mon plan, je dois couché avec elle maintenant. J'ai essayé des approches mais elle m'a recalé du coup j'y suis allé cash, j'ai commencé à retirer ses boutons de chemise.
Elle : casse-toi, tu fous quoi là ?
Moi : ça fait bientôt deux ans qu'on est ensemble, donc tranquille, c'est comme si t'étais déjà ma femme.
Elle : va te faire foutre Rayan - en me mettant une grosse gifle - je suis pas Sarah grosse merde. Tu m'as pris pour qui? Essaye encore une fois de me toucher et je te castre, sous merde!
Elle est partie en courant, je savais que c'était la dernière fois que je l'a voyais avant que tout ne change!
J'étais fière d'elle, qu'elle m'aies repoussé, je savais qu'elle n'était pas comme ça. Mais pour mon plan, ça a foiré, j'allais devoir faire sans.
Moi: attend!
J'ai essayé de l'appeler mais elle répondait pas!
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AUJOURD'HUI C'EST LE JOUR DE LA DESCENTE!
Il est 17h30, on a pris les voitures pour se rendre chez elle, j'espérais qu'une chose : qu'elle ne soit pas dehors pour voir ce qu'il allait se passé.
On est arrivé et j'étais choqué : les fdp étaient armés jusqu'au cou, couteau, batte de base-ball, batôn , ils ont eu vent de notre descente, il y a une balance dans la bande.
Rien à foutre, il faut que ça cogne, on est descendu, et là
Finalement, j'étais restée chez moi le soir. Avec mon père on a eu une grande et longue discussion, il m'a fait une leçon de morale et m'a bien mis un coup de pression. Que c'était pas bien de se battre, que j'étais une fille, il m'a même fait peur en me disant que si il apprenait encore que je me suis battue il allait me marier avec un cousin du bled. Et quand mon frère dit un truc, il le fait donc je lui ai dis que j'allais plus me battre.
Sofiane et Samir sont arrivés avec leurs valises en mode normal. Ils partaient en Espagne et avaient prévenus personne ces deux bêtes. J'étais dégoûtée, je voulais trop bouger aussi mais je travaillais et il y allait avec leurs potes. Ils m'ont donnés leur dernière consigne.
- On apprends quoi que ce soit, t'es morte.
- Crois pas que parce qu'on est pas là qu'on te surveille pas.
Pleins de délires du genre, je disais oui-oui, juste pour les faire partir. J'allais soufflé un peu même si ils allaient grave me manquer. Je serais toute seule à la maison.
On en a profité pour faire le ménage et ranger leur chambre, c'était le bordel. J'avais trouvé des cigarettes mais je les ai caché pour pas que ma mère les voit, elles les auraient tués.
On a mangé et je suis partie me poser dans ma chambre. J'avais reçu un message de Mehdi.