LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_33
Après cette question, il y a eu un long moment d'inaction de sa part. Cinq minutes se sont écoulés avant qu'il ne réponde..
Éric : «Non...non je ne l'ai jamais soupçonné de m'être infidèle... jamais»
Moi : «Vraiment?, tu lui fais confiance à 100%?»
Éric : Oui. Je fais pleinement confiance à Emmanuella. Ce n'est pas son genre de femme. Elle est incapable de me tromper. Au fait, pourquoi cette question ?»
Moi : «Euh non pour rien...juste une question»
Éric : «Tu es sûre?»
Moi : «Absolument!»
Éric : «D'accord»
Moi : «Mais supposons que c'est le cas, supposons qu'elle te trompe, comment tu réagirais ?»
Éric : «Je ne veux même pas imaginer une chose pareille mais pourquoi toutes ses questions au juste?»
Moi : «Rien, rien...oublie. Bon, tu viens me chercher à quelle heure ?»
Éric : «Aux environs de 15h»
Moi : «D'accord, à plus»
Éric : «À tout à l'heure..»
Il s'est déconnecté par la suite, j'ai quitté la discussion et éteint le téléphone. Éric a une confiance aveugle en ma sœur et ça ne fait aucun doute.
Je n'ose pas imaginer sa réaction quand il apprendra que ma sœur le trompe avec le chauffeur. Une chose est sûre, il n'en reviendra pas mais en attendant patiemment ce jour, je vais garder cette vidéo pour moi.
******Éric Golden
Victoria a finalement accepté de faire le test de grossesse ou du moins elle l'a déjà fait. Et c'est ce que je craignais le plus, elle est enceinte. Vous n'êtes pas sans savoir que cette nouvelle ne me réjouit en rien.
C'est la dernière chose que je souhaite.
Je ne désire pas de ce bébé et s'il y a bien une chose qui me rassure c'est que Victoria non plus ne le veut pas. Nous nous sommes donc mis d'accord pour qu'elle avorte. J'ai décidé de l'amener à l'hôpital cet aprèm pour cela..
D'ailleurs c'est déjà l'heure. Je récupère ma veste et ma malette de bureau puisque je ne compte plus revenir au cabinet. Ça fait à demain !
Je laisse des recommandations à ma secrétaire et regagne ma voiture...
Je démarre par la suite et prend la direction de la maison. J'espère que Vicky est déjà prête..
******Victoria Bruner
J'enfile ma longue robe queue de poisson cousue en pagne puis glisse mes pieds dans mes sandales de maison. Maintenant quand j'y pense, c'est la seule robe qui m'arrive aux orteils....je suis déjà prête pour l'hôpital.
Je n'attend plus que Éric, j'ai si hâte. D'ici quelques heures, cette grossesse fera définitivement partie du passé.
[BIP, BIP, BIP]
De ma chambre, j'entends une voiture klaxonner. C'est sûrement Éric. J'avance vers ma fenêtre et jette un coup d'œil à l'extérieur pour vérifier... c'est Éric !
Je me saisis de mon petit sac et mon téléphone puis descend le rejoindre dans la voiture. Je referme la portière après m'être installée...
Éric : C'est bon? Me demande t-il pour s'assurer que je suis à mes aises.
Moi : Oui on peut y aller !
Éric : Ok c'est parti.
Il met le contact et nous partons pour l'hôpital. Je ne vais pas nier que j'ai un peu le trac, je stresse à mort. J'espère que tout se passera bien, je prie pour que tout se passe bien...
Nous avons mis environ une demi-heure pour arriver dans ledit hôpital. Je ne sais pas le nombre de kilomètres exactement mais je peux dire que c'est très éloigné de notre maison, même de notre quartier.
J'ai fait mon entrée la première suivie de Éric. C'est un gigantesque hôpital et très modernisé. J'en entends beaucoup parler mais c'est la première fois que j'y mets pieds. On a pris les ascenseurs pour nous rendre là haut. Éric m'amène dans le bureau de son docteur.
Éric : Tu stresses? Me demande t-il après avoir remarqué mon état.
Moi : Un peu.
Éric : Ça va aller, tu as dû remarquer que l'hôpital est un peu éloigné de notre résidence...si je t'ai conduit ici c'est pour ne pas prendre de risque. Emmanuella est un membre du corps médical et elle a beaucoup de collègues qui me connaissent dans les hôpitaux de notre quartier, c'est pourquoi je t'ai conduit dans celui-ci. Elle n'a pas trop de connaissances ici..
Moi : Je comprends.
L'ascenseur s'arrête, Éric l'ouvre et nous sortons. Nous nous sommes rendus par la suite dans le bureau du médecin qui s'occupera de moi. Ce dernier nous a bien reçu et ne nous a pas posé des questions à croire que Éric a déjà pris la peine de tout lui expliquer avant notre arrivée.
Docteur : C'est elle ? Demande t-il à Éric en faisant allusion à moi.
Éric : Oui docteur, c'est elle. On peut le faire ?
Docteur : Oui évidemment. Je suppose que la grossesse est récente n'est-ce pas ?
Éric : Oui tout récemment, je doute même que ça ait déjà fait une semaine.
Docteur : D'accord c'est très bien. Ça sera rapide. Ni vu, ni connu...dit-il dans un éclat de rire.
Éric : Je savais que je pouvais compter sur vous docteur, fit-il satisfait.
Docteur : Bien!, dit-il en se levant. On va y aller, vous pouvez nous attendre ici. Fit-il à Éric.
Éric : D'accord docteur. Tout va bien se passer Vicky, dit-il pour me rassurer. Ne t'inquiète pas. C'est un excellent docteur spécialisé dans ce domaine.
Il parle avec une telle certitude que j'aimerais bien le croire mais la vérité est que j'ai très peur. Je sais énormément de choses sur l'avortement et notamment des risques qu'il peut engendrer. Je flippe grave.
Et si je mourais?
Docteur : Mademoiselle ? Tonne la voix du docteur qui me sort de mes pensées.
Je hausse les sourcils en guise d'un oui.
Docteur : On y va, venez!
Il me laisse passer devant et nous sortons du bureau. Mon cœur bât à cents à l'heure...pourvu que tout se passe bien.
******Le soir
******Emmanuella Golden Bruner
J'ai fini plus tôt au travail aujourd'hui et la raison principale est que Charles me l'a demandé. Il m'a demandé de m'arranger de sorte à finir tôt aujourd'hui parce qu'il aurait besoin de moi dans un hôtel.
C'est peut-être fou mais j'obéis à mon chauffeur désormais, je suis en quelque sorte son objet sexuel et j'aime ça. Je sais que si je vais le rejoindre dans cet hôtel c'est pour qu'on baise et je suis excitée rien qu'à l'idée qu'il me baise.
Il m'a envoyé l'adresse de l'hôtel ainsi que le numéro de la chambre par texto et je m'y suis rendue. C'est quand même incroyable ce que le sexe nous amène à faire...me voilà, moi une femme mariée à l'hôtel pour baiser avec mon chauffeur.
«Toc, toc, toc» Je frappe à trois reprises contre la porte. Il vient m'ouvrir.
Charles : Tu es en retard de cinq minutes...dit-il de sa voix rauque et grondante.
J'ignore ce qui m'a pris à cet instant mais je n'ai eu qu'une seule envie c'est de m'agenouer et m'excuser auprès de lui. J'adore cet effet de domination qu'il exerce sur moi...
Moi : Désolée c'est les embouteillages...
Charles : Ça mérite une petite punition tu ne crois pas ? Me chuchote t-il à l'oreille..
Un frisson me parcourt tout mon corps..je vibre.
Il me saisit par le cou et me traine à l'intérieur puis pousse sur la porte avec le pied pour la refermer. C'est une fois à l'intérieur de la chambre que j'ai remarqué les menottes, le vibromasseur et la cravache qui se trouvent sur le lit.
Moi : Qu'est ce que c'est ?
Aucune réponse de sa part, il est préoccupé à me faire des succions dans le cou et à enlever mes vêtements. Je me suis retrouvée nue en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.
Moi : Charles, je te parle... qu'est ce que c'est ?
Toujours le même scénario. Il ne me répond pas et à la place me fait coucher sur le lit. Il prend deux des menottes et me les passe au poignet. J'ai à présent les mains menottés au lit...
Il fait de même pour mes pieds. Le pire c'est que je sais ce qu'il compte faire mais je le laisse faire...il finit de menotter mes pieds au lit également.
Mes jambes sont contraints de rester grandement écartées à cause des menottes.
Charles : C'est ainsi que j'aime te voir...sage et soumise comme j'aime...
Il a dit cela en récupérant le vibromasseur et se penche entre mes jambes. Il se sert de l'appareil pour me frotter le clitoris...
Des petits gémissements s'échappent de ma bouche..
Moi : Non s'il vous plaît pas ça... fis-je dans un soupire de plaisir... s'il te plaît...
Il n'accorde guère la moindre importance à mes supplications. Il introduit le vibromasseur en moi et le met en marche...
Moi : AHHHHH!
J'emets un grand cri de douleur. Oh mon Dieu, c'est encore plus douloureux et plus rapide que la première fois dans la voiture..
Je ne me retiens pas de crier...je pleure presque..
Moi : S'IL TE PLAÎT CHARLES.... AAAH !
Je m'agite dans le lit et essaie de dégager mes mains ainsi que mes pieds des menottes mais c'est peine perdue. On dirait que plus j'essaie de me libérer, plus le vibromasseur devient deux fois plus rapide. Je ferme les yeux et hurle..
Moi : S'IL TE PLAÎT, JE...
Je n'ai pas eu le temps de terminer ma phrase que je pousse un cri assourdissant. C'est le cri le plus fort que je n'ai jamais poussé de toute ma vie tant la douleur de ce qui m'a fait poussé ce cri est immense.
J'ouvre les yeux et vois Charles avec une cravache en main...il m'a frappé sur les cuisses avec la cravache...je peux sentir la partie rougir, laissant la marque de la cravache au passage...
Je digère à peine cette douleur immense qu'il lève à nouveau la cravache, prêt à m'assener un autre coup...
Moi : NON! Dis-je en hurlant de toute mes forces...NON! NON, NE FAIS PAS ÇA CHARLES S'IL TE PLAÎT....
[KPIAF]
Il me frappe à nouveau avec la cravache, cette fois c'est sur le ventre... j'ai hurlé et au même moment, les larmes ont coulé de mes yeux... J'ai attrapé la couverture du lit entre mes dents et ai tiré dessus en hurlant de douleur....
Il me frappe une troisième fois, une quatrième, une cinquième, une sixième...il me roue de coups de cravache...
Je hurle de douleur. Une douleur qui vient se mélanger au plaisir que me procure le vibromasseur qui tourne dans ma chatte. Je n'ai jamais vécu une telle expérience de sexe de toute ma vie...
#À_suivre.