LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_29
Qu'est ce qu'elle vient de dire? Je n'en crois toujours pas mes oreilles, je la regarde toute étonnée. Quand je pense à tous les sermons et toutes les leçons de morale qu'elle a l'habitude de me faire lorsque je parle du sexe, j'ai du mal à croire que c'est Marlène qui vient de parler.
Marlène : Je suis sérieuse, arrête de me regarder aussi bizarrement, comme si j'étais une bête de foire ou quelque chose du genre...j'ai envie de faire l'amour...
Moi : De baiser tu veux dire..
Marlène : Je n'aime pas employer ce mot mais c'est ça, je veux baiser...
Je la regarde encore pendant un bon moment, je plisse les yeux, est-ce une blague? Je lance un rapide coup d'œil au tableau pour voir la date qui y est écrite.
Je veux me rassurer si on est pas le 1er avril par hasard, ce qui pourrait justifier un poisson d'avril de sa part. D'après ce que je peux voir, on est pas en avril mais en mars. Ce n'est donc pas un poisson d'avril, cependant je suis quand même un peu sur mes gardes.
C'est sûrement une blague, Marlène ne peut pas dire une chose pareille, du moins la Marlène que j'ai toujours connu.
Je ne reconnais pas celle en face de moi...
Marlène : Allez arrête maintenant, je suis sérieuse, tu peux me croire. Ce film adulte que j'ai regardé hier m'a donné envie, je t'assure..
Moi : Je préfère que tu dises une "porno", dis-je en riant. La petite sainte de l'école a envie de baiser, mdr...
Marlène : Arrête de te moquer et aides-moi plutôt, tu dois connaître quelqu'un qui pourra me dévierger, je veux surtout quelqu'un de doux qui ne me fera pas de mal et qui...
Moi : Oh, oh, molo, on se calme...je n'ai pas encore dit oui, je te signale...tu es encore une mineure à ce que je sache...tu as 17ans n'est ce pas ?
Marlène : Oui mais j'aurai 18ans bientôt, c'est dans quelques jours...
Moi : Alors, attendons simplement. Je ne veux pas de problème avec la justice moi. On dira après que c'est Victoria qui t'a amené chez un homme pour que tu te fasses dévierger et c'est la prison assurée...non merci..
Marlène : Ok on va attendre, fit-elle un peu déçue. Mais promets-moi que tu vas m'aider à le faire s'il te plaît...
Moi : T'aider ? Je n'ai pas une bite à ce que je sache...dis-je dans un éclat de rire.
Marlène : Tu sais de quoi je parle alors c'est d'accord ?
Moi : Ok c'est d'accord... finis-je par accepter.
Marlène : Merci Vicky, dit-elle toute contente en s'aggrippant à mon cou.
Moi : Donc comme ça, tu t'es masturbée hier pour la première fois..
Marlène : Oui je l'ai fait..
Moi : Raconte-moi en détails... comment tu t'y es prise ? Tu as ressenti quoi?
Marlène : Ce n'était pas compliqué, j'ai juste regardé ce que le mec faisait à la fille dans la vidéo porno et j'ai reproduit ça sur moi...je me suis massé les seins et le clitoris...
Moi : Waouh, et qu'est ce que tu as ressenti en faisant cela ?
Marlène : C'était tellement bon mon Dieu, au bout d'un moment quand je me massais le clitoris, j'ai ressenti un grand plaisir parcourir mon corps, mes jambes tremblaient d'elles mêmes et j'ai poussé un grand cri muet pour éviter que mes parents ne m'entende... c'était incroyable...
Elle me décrivait sa première masturbation et ça m'amusait. Elle a l'air d'avoir adoré et je n'imagine pas sa réaction quand elle va goûter à une bonne bite... elle sera aux anges...
Ça me rappelle ma première fois à moi. Inutile de vous dire que c'était avec Jacques. Je ne vais pas vous raconter ça tout de suite... Pour l'instant, reprenons le flashback où je m'étais arrêtée la dernière fois...
******Flashback
Alors, je disais que lorsque j'avais sucé la bite de Jacques croyant que c'était un bonbon, j'avais trouvé ça fade, ça n'avait pas de goût contrairement aux autres bonbons.
Et donc pour ça, je ne voulais plus continuer à sucer ça.
Jacques : Pourquoi tu t'arrêtes ma princesse ? M'avait-il demandé.
Moi : Beurk, ce n'est pas bon papa, ça n'a pas de goût ton bonbon...
Jacques : C'est parce que tu viens de commencer ma chérie, à force de sucer, tu verras que c'est délicieux, fais-moi confiance...
Moi : Non pa....
Il avait rapidement glissé sa bite dans ma bite. Ça m'ettouffait presque..
Jacques : Allez ma chérie, suce... s'il te plaît..
Je m'étais remise à sucer sa bite à contrecoeur. Au fur et à mesure que je le faisais, je sentais un liquide gluant me pénétrer la bouche. À cette époque, je ne savais pas qu'on appelait ça le «sperme».
Jacques : Oh oui ma chérie, tu le fais si bien, vas-y...ohhhh! Grognait-il de plaisir au moment où je sucais sa bite.
J'avais levé les yeux pour remarquer son expression faciale, il avait les yeux fermés et respirait éssouflé. Je me demandais si c'était le fait de sucer son "bonbon" qui le mettait dans cet état...
J'étais émerveillée par le plaisir que ça lui procurait. De mon côté, c'est vrai qu'au départ je n'aimais pas cela mais plus je sucais, plus je commençais à adorer.
Ça m'etonnait! Ce "bonbon" n'était pas délicieux comme les autres mais j'adorais le sucer et j'avalais le sperme au passage...
C'est ainsi qu'innocemment, j'avais taillé la pipe à mon beau-père pour la première fois. Une fois qu'on a finit, il m'a nettoyé parce que j'avais du sperme sur moi et il m'avait aussi donné les sucettes comme promis.
Bien évidemment, il m'avait interdit de raconter ça à ma mère sous prétexte qu'elle allait me gronder si elle apprenait que j'ai sucé son "bonbon".
Le lendemain matin, ma mère était rentrée et comme il me l'avait dit je ne lui ai rien raconté de tout ça et maintenant que j'y pense, j'aurais dû tout raconter à ma mère.
Ça aurait évité beaucoup de choses qui se passent en ce moment. Bref....laissez-moi vous raconter la suite. Vous allez peut-être moins me juger et comprendre que je ne suis qu'une victime dans toute cette histoire.
******Fin du flashback
Marlène : Victoria ? Hé oh? Tu es là ?..
La voix de Marlène me sort brusquement de mes pensées. Je crois que ce sera pour une autre fois la suite de l'histoire.
Marlène : Tu es sûre que tout va bien ?
Moi : Oui pourquoi ?
Marlène : Ça fait au moins dix minutes que j'essaie de te ramener à la réalité, tu étais tellement absorbée dans tes pensées. Tu penses à quoi comme ça ?
Moi : Rien de spécial, ne t'inquiète pas..
Marlène : Ok je voulais te...
Elle ne finit pas sa phrase lorsque je l'interrompt avec une folle envie de vomir. J'ai porté la main à la bouche et me suis rapidement levée pour me diriger dans les toilettes. .
L'odeur de la nourriture que j'ai apporté m'a retourné le ventre. Après avoir longé un couloir, je suis arrivée dans les toilettes.
Sans perdre une seconde, j'ai commencé à faire ressortir tout ce que j'ai mangé dans la matinée d'aujourd'hui dans le lavabo des toilettes. Je vomissais comme pas possible...
******Emmanuella Golden Bruner
Qu'est ce que je suis devenue ? Une pute pour mon chauffeur ? Sans poser la moindre résistance, il fait glisser le vibromasseur dans ma chatte. C'est un vibromasseur vraiment long.
Je ne sais pas précisément mais ça peut faire 20cm de longueur. Je le sens en profondeur de ma chatte.
Charles : Tu es prête ? On va débuter par le petit niveau puis ainsi de suite...
Il appuie sur la touche d'allumage et le met en marche. Après cela, il a appuyé sur une touche où il y avait marqué le chiffre "1" et le vibromasseur s'est mis à vibrer...
Moi : Ahhhh! Hummm....ahhhhh! Criai-je sous l'effet du vibromasseur.
C'est à la fois agréable et douloureux. C'est comme si quelque chose est entrain de vous broyer l'intérieur de la chatte..
Moi : S'il te plaît arrête...Anhhh...oh mon Dieu...
Jacques : Quoi? Ne me dis pas que tu as mal pourtant je n'ai encore rien fait...
Il parle en appuyant sur un autre bouton, c'est le bouton du chiffre "2", les vibrations ont augmenté... j'ai si mal..
Moi : AAAAAHHH ! S'il te plaît...
Il m'ignore et appuie sur un autre bouton. Cette fois c'est celui du chiffre "5", la douleur est insupportable, ce truc va me détruire la chatte....je me tords dans tous les sens...
Moi : S'il te plaît, dis-je en larmes.. j'ai trop mal..
Charles : Non ma belle, supporte...
Je dirige mes mains sur le vibromasseur pour le retirer mais mes doigts l'ont à peine frôler qu'il a arrêté mes mains.
Charles : Hey, qu'est ce que tu voulais faire ? Tu n'as pas le droit d'enlever.
Moi : Mais j'ai mal s'il te plaît...
Charles : Non, non...
Malgré toutes mes supplications, il refuse de l'enlever. Je sens les vibrations de l'appareil en profondeur de moi... très bientôt, je me suis mise à gémir. Cette fois ce n'est pas de douleur mais de plaisir..
Charles : On dirait que tu as commencé à aimer... j'adore...
Moi : Anh...oui...hum..Humm... gémis-je doucement.
Il s'est brusquement emparé de mes lèvres dans sa bouche et on a commencé à s'embrasser. On s'embrassait langoureusement...
Charles : On dirait que le travail va devoir attendre, fit-il en deboutonnant mon chemisier pour se mettre à presser ses mains.
Au bout d'un moment, il a retiré le vibromasseur qui s'est retrouvé tout mouillé par mon liquide vaginal. Il m'a ensuite aidé à me lever de mon siège et à m'asseoir sur lui.
J'ai poussé un grand cri quand il m'a pénétré avec sa grosse bite, il fait monter et descendre son bassin et son pénis va et vient dans mon minou.
Moi : Ouiiii...ouiii..anh...oh ouiiii...
Je gémis comme jamais, il titille mes tétons et me donne des fessées. Je couine....une fois encore mon chauffeur me baise comme une chienne...
******Le soir
******Victoria Bruner
Cette journée est loin d'être la meilleure de ma vie. J'ai passé le plus clair de mon temps à vomir, je n'arrive toujours pas à me souvenir de ce que j'ai bien pu manger qui pourrait être à la base de ça.
Heureusement qu'à mon retour de l'école, Prisca m'a fait une citronnelle qui a réussi à stopper les vomissements. Je me trouve à table en compagnie des autres en ce moment. Nous nous apprêtons à dîner.
Je meurs de faim d'autant plus que je n'ai rien mangé aujourd'hui et j'ai encore vomi le peu que j'ai mangé. Il me tarde de manger...
Prisca a préparé du riz accompagné de sauce tomate de poisson tilapia... elle a déjà apporté le riz à table, on attend la sauce.
Manu : Vous vous êtes bien amusés à la piscine hier?
Moi : Oui à propos, où est-ce que tu étais Manu?
Manu : C'est une longue histoire...
Moi : Raconte...
Junior : On s'est bien amusés maman, c'était trop génial...
Manu : Je suis ravie que ça t'ait plu mon chéri...
Prisca : Voilà, dit Prisca en débarquant.
Elle tient un grand bol en verre rempli de sauce. Elle le pose sur la table...waouh, ça a l'air délicieux et les poissons sont si gros...On peut voir les piments verts et les oignons découpés en fine tranche qui flottent au dessus de la sauce...
Ne parlons plus de la vapeur qu'elle dégage, on peut dire qu'elle vient tout juste d'être retiré du feu.
Prisca : Bon appétit, nous souhaite-t-elle.
Nous : Merci.... nous répondons en chœur.
Manu se lève de sa chaise et commence à nous servir la sauce sur le riz.
Tout à coup, l'envie de vomir me prend brusquement. Oh non, ça recommence. Je quitte la table à la quatrième vitesse et entre dans la première salle de bain que j'ai trouvé.
Une fois de plus, j'ai vomi jusqu'à mes intestins. Après avoir fini, j'ai relevé la tête et mon regard a croisé le miroir en face de moi, je me regarde dans la glace en respirant éssouflée...
Je me sens si faible...
Pourquoi je vomis de la sorte? Qu'est ce qui m'arrive?
#À_suivre.