Chapter 17
1666mots
2022-10-03 19:18
LE MARI DE MA SŒUR ME BAISE
#Épisode_17
Nos regards sont rivés vers la porte d'entrée. Mon cœur a commencé à battre moins rapidement quand j'ai vu que c'est la domestique qui est là et non ma sœur.
Je regarde Éric qui semble aussi soulagé, ouf faut dire qu'on a eu chaud mais qu'est ce que cette domestique vient chercher là ? Elle a l'air nerveuse et tremble comme une feuille.
Prisca : Dé...dé...dé... désolée monsieur...je...je...
Elle ne parvient même pas à s'exprimer correctement tellement elle a peur.
Éric : Qu'est ce que tu cherches ? Et qui t'a donné la permission d'entrer ?
Prisca : C'est... c'est... désolée monsieur je ne voulais pas vous interrompre. C'est le chauffeur qui m'a dit de vous apporter la clé de votre voiture parce que vous l'avez oublié dans la voiture.....je...je...je ne voulais pas vraiment....excusez-moi.
Elle a la tête baissée et tremble de partout.
Éric : Combien de temps tu es là ? Et qu'est ce que tu as vu?
Prisca : Non monsieur, je n'ai rien vu. Croyez-moi...
Éric : Tu m'as surpris entrain de baiser la sœur de ma femme et tu veux me faire croire que tu n'as rien vu c'est ça ? Si cette clé n'était pas tombée, on allait jamais savoir que tu étais là.
Prisca : Je suis désolée monsieur, ça ne se reproduira plus dit-elle presqu'à genou. Ne me renvoyez pas s'il vous plaît.
Éric : Si tu veux garder ton travail, tu vas devoir la fermer. Tu n'as rien vu de tout ce qui vient de se passer, tu ne dis pas un mot de tout ceci à ma femme est-ce que c'est clair ?
Prisca : Oui oui monsieur, comptez sur moi, je n'ai absolument rien vu et je ne dirai rien. C'est promis, fit-elle nerveuse.
Éric : C'est bon, maintenant tu peux t'en aller.
Prisca : Oui oui, excusez-moi.
Elle ressort toute tremblante, Éric se lève et va verouiller la porte cette fois. Il la verouille à double tours puis reviens sur le lit.
Je suis un peu dégoûtée parce que notre moment de plaisir a été interrompu. Éric commence à m'embrasser, sa bite est toujours aussi tendue et on peut voir les veines se dessiner dessus.
Éric : Et si on reprenait où on s'était arrêté ? Chuchote t-il à mes oreilles, il mord mes oreilles entre ses lèvres et descend dans mon cou.
Il me fait des succions.
Moi : La domestique a tout gâché, je n'ai plus envie mon amour.
Éric : T'es sûre ?
Il prend ma main qu'il guide entre ses jambes, il entoure sa bite de ma main. Comme un réflexe, je commence à lui masser la bite.
Sa main à lui me masse la chatte, on fait tout ça en s'embrassant. Je gémis sous l'effet de ses doigts.
Moi : Hummm...hummm..
Éric : Tu es sûre que tu n'as plus envie comme tu l'as dit ? Hein chérie ?
Moi : J'ai envie bébé... baise-moi, finis-je par hurler tant le plaisir me submerge.
Éric : Vos désirs sont des ordres ma reine.
Il me fait me retourner brusquement dans le lit et j'atterris sur le ventre. Il m'aide ensuite à reprendre ma position initiale qui n'est rien d'autre que la levrette.
J'ai les jambes et les fesses écartées, je peux sentir mon anus un peu plus ouvert que d'habitude, il glisse sa bite dans mon anus, j'émets un cri, je dois avouer que j'ai encore mal.
Il commence à me pilonner, il me baise l'anus et malaxent mes fesses dans ses mains...
Éric : Oh ouiiii.... grogne t-il de plaisir.
Moi : Yeah....yeah...annnnhhhh....
Je crache dans ma main et utilise la salive pour frotter mon clitoris. Oh yeah...oh ouiiii....
Éric : Oooohhhh! Merde.....
KPA, KPA, il m'administre de violentes fessées et me pilonne rapidement. Je frotte mon clitoris avec insistance, je crie....oh c'est boooooonnnn...
Moi : Ouiiiii bébééééé....je hurle de plaisir, oh fuck, je vais jouiiiirrrr...
******Yopougon, Côte d'Ivoire
******Jeannette Kouamé
J'ai pris la peine de raconter à Jacques tous les problèmes auxquels est confronté le foyer de ma fille en ce moment sans oublier ce que Vicky m'a avoué et tout ce qu'il trouve à dire c'est :
Jacques : Elles sont des sœurs, ne t'en fais pas pour ça. Elles finiront bien par se comprendre.
Je suis juste choquée de sa réaction. Non mais sérieux, ma fille cadette couche avec le mari de ma fille aînée et c'est tout ce que mon fiancé qui est censé être un père pour elles trouve à dire?
Moi : Comment tu peux dire une chose pareille ? Elles sont des sœurs et c'est une raison pour laquelle elles vont coucher avec le même homme qui de surcroît est le mari de l'une d'entre elle? De plus Manu n'est même pas au courant de tout ce qui se passe derrière son dos. Tu trouves ça normal toi? Comment tu peux penser comme ça Jacques ?
Jacques : Bon maintenant, tu veux que je pense comment ? On voulait être débarrassée de Vicky et c'est ce qui est arrivé alors de quoi te plains-tu? Arrête de t'en faire, elle finira bien par arrêter, concentrons nous sur notre relation à nous.
Fhuumm, je pousse un profond soupire en l'écoutant parler...je me sens tellement responsable de tout ça.
******Cocody, Côte d'Ivoire.
******Victoria Bruner
Je me suis bien réveillée ce matin mais je dois quand même admettre que j'ai ressenti une petite douleur au niveau de l'anus. La sodomie est délicieuse c'est vrai mais il ne faut pas en abuser non plus.
En tout cas, j'ai adoré ma première sodomie. Éric m'a fait découvrir ce plaisir et je ne suis pas déçue. J'ai fini de m'habiller, je suis prête pour l'école.
Je descends et vois deux valises dans le salon. Quelqu'un voyage ? Éric et ma sœur débarquent.
Manu : Tu vas me manquer chéri, fit-elle à Éric.
Elle l'enlace.
Éric : Tu vas me manquer aussi.
Moi : Hi qu'est ce qui se passe ? Manu tu voyages ?
Manu : Non ma puce, c'est Éric qui voyage, on l'a appelé ce matin pour un procès au Nigéria. Du coup il se rend là bas.
Moi : Ah bon, tu vas nous manquer beau-frère. Tu vas faire combien de jours là-bas ?
Éric : Je ne sais pas trop, tout dépend du déroulement de l'affaire mais je crois qu'une semaine est largement suffisant.
Moi : Une semaine ? Est-ce que ma sœur pourra supporter ton absence pendant tout ce temps ?
On éclate tous de rire.
Manu : Je vais essayer...
On rigole encore une fois puis le chauffeur vient aider Éric avec ses valises. Avant de s'en aller, il me fait un câlin, je suis un peu triste parce qu'il va me manquer surtout sa grosse bite. Vivement qu'il revienne vite.
Moi : Reviens vite mon amour, je lui chuchote ces quelques mots à l'oreille dans la plus grande discrétion.
Je me détache ensuite de lui et ma sœur le raccompagne à la voiture. De mon côté, je me dirige dans la salle à manger, je meurs de faim. Il y a des sandwiches, je vais me régaler. Je m'asseois et commence à manger.
Après avoir pris le petit déjeuner, le chauffeur m'a conduit à l'école, on a fait une interrogation en philosophie, j'aurai une bonne note parce que je gère grave en philo.
******Le soir
La maison est vide et triste sans Éric, je ne suis pas dans mon assiette. Depuis mon retour de l'école, je me suis enfermée dans ma chambre, ce n'est que quand l'heure du dîner a sonné que je suis descendue et je suis remontée dans ma chambre immédiatement après.
J'ai envie de baiser mais Éric n'est pas là, qu'est ce qu'il peut me manquer. Je me masturbe en regardant des vidéos pornos.
Je suis à ma énième vidéo regardée. J'ai matté pour tous les goûts que ce soit du sexe lent, sexe brutal, première fois... j'ai tout matté. Je défile les vidéos et sans le savoir, mon doigt clique sur une vidéo.
C'est une porno de lesbienne, ce qu'elles font me donne envie tout à coup. Je sens mes tétons s'endurcir et mon clitoris gonfler. J'ai pensé à quelque chose sur l'instant et je sais exactement qui sera parfait pour ça.
Je me lève du lit et ressors de ma chambre, je descends les escaliers et arrive au premier étage. La chambre de la domestique se trouve là, j'entre et referme derrière moi.
Elle est encore en éveil.
Prisca : Mademoiselle Victoria ? Vous avez besoin de quelque chose ? Demande t-elle en me voyant.
Moi : Oui.
Prisca : Quoi donc ?
Moi : J'ai besoin de bouffer ta chatte.
Prisca : Quoi...com...
Je monte sur son lit à quatre pattes et ôte la couverture qui lui recouvre le corps. Elle est dans une petite robe toute nue, je mets ma main entre ses jambes et commence à masser son clitoris, elle se débât.
Prisca : Mais lâchez-moi, qu'est ce que vous faites ?
Je continue de masser son clitoris avec insistance, elle laisse entendre de petits gémissements. Elle a l'air d'aimer.
Au départ, elle resserait ses jambes l'une contre l'autre mais elle a finit par écarter grandement ses jambes pour me permettre de bien masser son minou.
Prisca : Anh... mademoiselle...oh c'est trop bon....oui...
Je glisse une main sous sa robe et remonte au niveau de ses seins, je presse un de ses gros nichons dans ma main tout en frottant son clitoris avec mes doigts.
Prisca : Assshhh...hummm...ouiii...anh...anh...
Elle se tord dans tous les sens sur le lit, je mets ensuite ma tête entre ses jambes et colle ma langue contre sa chatte, je la lèche sans pitié.
Elle a un arrière goût acidulé, je suis entrain de la lécher tout en pressant son sein sous la robe et en massant son clitoris. Elle est en extase...
Prisca : Anh...ssss...oh ouui... c'est trop bon putain....oh ouiii....
#À_suivre