Chapter 10
1554mots
2022-09-06 23:00
LE MARI DE MA SŒUR ME BAI-SE
#Épisode_10
Le premier string que la rayonniste a apporté était un string en dentelle au devant transparent comportant un grand motif de papillon destiné à cacher uniquement la chatte. Ça m'a plut à première vue alors j'ai décidé que Vicky essaie cela en première position.
La rayonniste lui a donc remis ça et elle l'a porté.
Vicky : Alors? Comment tu me trouves ? Demande t-elle en se tournant.
Je suis resté bouche bée à la vue de son beau derrière dans le string, son cul est juste magnifique et on peut voir sa chatte un peu débordée entre ses jambes.
Merde, c'est magnifique. Je n'ai même plus envie qu'elle l'enlève.
Vicky : Alors mon amour ? Comment tu trouves ? Redemande t-elle en secouant ses fesses toutes molles qui bougent dans tous les sens.
Oh mon Dieu, elle va me tuer cette fille.
Moi : J'adore, c'est juste magnifique, on va prendre ça. Essaie encore d'autres.
Vicky : D'accord mon amour.
Elle enlève le string qu'elle a porté et se courbe pour la faire glisser tout le long de ses pieds. Sa grosse chatte s'offre en spectacle devant moi, je bave.
Je me demande combien de temps encore je pourrai tenir face à ça, ma bite s'allonge déjà dans la culotte pourtant on vient à peine de bai-ser et à deux reprises.
Je ne sais pas ce que cette fille m'a fait, il suffit de la voir et hope, je bande. À cette allure, on risque de bai-ser n'importe quand et n'importe où.
La rayonniste lui a remis beaucoup d'autres string qu'elle a essayé et j'assistais à tout, les étoiles plein les yeux. Sur 30 string qu'elle a essayé, il n'y a que 05 qui ne lui allait pas. Les autres sont tout simplement top.
J'ai demandé à ce que le string qu'elle a essayé en dernière position reste à sa hanche, je veux qu'elle reste dans celui là.
La rayonniste est entrain de ramasser les autres string qu'elle a laissé trainer sur le sol pendant ce temps, Vicky se rapproche de moi et me fait face, elle appuie ses deux mains sur mes jambes et se cambre.
Vicky : Merci mon amour, je t'aime, dit-elle en m'embrassant.
Moi : Je t'en prie ma belle.
Je réponds salement à ses baisers, on s'embrasse langoureusement. J'introduis ma main entre ses jambes et commence à masser les lèvres de sa chatte qui ont débordé.
Je masse et elle couine dans ma bouche, je continue de masser en l'embrassant, elle ne tient plus sur place, elle commence à frotter ses pieds l'un contre l'autre.
Vicky : Anh...ouiiii....ssss...anh...
J'abandonne sa bouche et la fixe dans les yeux tout en matyrisant sa chatte en bas, elle respire la bouche ouverte.
Vicky : Ayiii...ayi....
Je masse avec insistance, cette fois, j'introduis un doigt en elle et commence à la doigter rapidement. Elle se tord dans tous les sens, on se regarde dans les yeux, elle suffoque.
Vicky : Anh bébé....oh oui...anh...maman....
Je la doigte à ne point vouloir m'arrêter mais un raclement de gorge nous interrompt. C'est la rayonniste qui s'est raclée la gorge pour nous signaler qu'elle est toujours là.
Ce que j'avais totalement oublié, ça m'était complètement sorti de la tête qu'elle était encore là.
Moi : Oh désolé, excusez-nous pour ce désagrément, dis-je en enlevant mon doigt du dedans de Vicky qui visiblement en voulait encore.
_Ce n'est rien, je comprends monsieur, dit la rayonniste avec un sourire aux lèvres. N'importe quel homme à votre place aurait fait pareille, c'est difficile de se contrôler devant une si belle créature qu'est votre copine, ajoute t-elle.
On peut dire ce qu'on veut mais une chose est sûre, notre moment de plaisir de tout à l'heure avait l'air de bien plaire à cette rayonniste autrement dit, elle nous aurait interrompu depuis le début.
Si elle ne l'a pas fait, c'est que sûrement elle aimait ce qu'elle voyait et tout ça vient de me donner une idée. J'ai bien envie de bai-ser Vicky devant elle, je veux qu'elle assiste à une partie de bai-se entre Vicky et moi.
Moi : Ça vous dirait de gagner de l'argent ? Lui demandai-je. Énormément d'argent ?
_Comment ça? dit-elle un peu perdue.
Moi : Eh bien c'est simple, j'aimerais que vous assistiez à une bonne partie de jambes en l'air entre ma copine et moi et en échange, je vous paierai une somme de 100.000 fcfa.
_Cent mille francs ? Demande t-elle ébahie. Juste pour vous regarder bai-ser ?
Moi : Oui ce n'est que ça et aussi je veux que tu la lèches devant moi alors qu'est ce que tu en dis ?
_Je...je...je suis d'accord, j'accepte bien évidemment dit-elle toute contente.
Moi : Parfait.
_Vous voulez faire ça au sol ou vous voulez sur un lit ?
Moi : Vous avez un lit ?
_Oui un immense lit se trouve derrière cette porte, fit-elle en pointant du doigt la porte au fond de la cabine dans laquelle on se trouve.
Moi : C'est cool, on va donc vous empruntez ce lit si vous voulez bien.
_Il n'y a pas de problème, dit-elle. Suivez-moi, c'est par ici.
Elle marche devant et je la suis en tenant la main de Vicky. Elle ouvre la porte qui donne sur une pièce équipée d'un grand lit. Nous entrons.
_Comment trouvez-vous ce lit m'interroge t-elle.
Moi : Rien à dire, c'est parfait.
La rayonniste me sourit, je regarde Victoria qui m'a l'air un peu tendue.
Moi : Qu'est ce qui t'arrive mon amour ? Lui demandai-je en l'embrassant tendrement.
Vicky : Tu es sûr de toi?
Moi : Oui ne t'en fais pas ok ? Elle ne va rien te faire de mal, elle veut juste te bouffer le minou mon cœur. Après ça, je vais te bai-ser devant elle. C'est tout mon cœur, tu ne veux pas ça ?
Vicky : Oui je veux, dit-elle d'une voix gémissante.
Moi : Alors déstresse bébé...
Je parle en lui enlevant sa robe par dessus sa tête, j'attaque ensuite son string que j'enlève en un rien de temps, elle est à présent toute nue. Je l'aide à se coucher sur le lit, les jambes bien écartées.
Je m'asseois ensuite sur le lit et me penche sur ses lèvres, je l'embrasse.
Moi : À vous de jouer, lançai-je à la rayonniste.
Elle n'attend pas que je me répète une seconde fois, elle avance vers le lit et positionne sa tête entre les jambes de Vicky, elle maintient ses pieds.
Très rapidement, elle passe sa langue dans la chatte de Vicky un peu comme pour vérifier le goût qu'elle a. J'ai senti le corps de Vicky vibrer après le passage de la langue de la rayonniste dans son minou.
Vicky : Anh...
Elle gémit et veut se redresser pour regarder ce qui se passe au niveau de son pays bas mais je l'en empêche en l'amenant à se recoucher.
Moi : Reste tranquille mon amour ok? Dis-je en chuchotant.
Je commence à lui manger les lèvres de la bouche au moment où la rayonniste lui mange ses lèvres vaginales. Elle gémit fortement, elle se tord dans tous les sens sur le lit, je retiens fermement ses bras plaqués contre le lit pendant que la rayonniste maintient ses jambes écartées.
Vicky : Boorrdeelll....annnnhhhh..... c'est trop bon...Ayiii....ayiii..... gémit-elle.
Visiblement, elle doit être une bonne suceuse cette rayonniste parce que ma Vicky a l'air de bien aimer ce qu'elle lui fait.
Vicky : Anh...oui...oui bébé....oh oui....
Moi : Tu aimes mon amour ?
Vicky : Oui j'aime dit-elle en criant de plaisir...OUIIIII...
Je baisse les yeux en direction de son minou et contemple comment la rayonniste lui mange la chatte, elle se débrouille comme une experte cette rayonniste. Le minou de Vicky est matyrisé dans sa bouche, elle ne lui fait aucune pitié.
Vicky : AAANNNHHH MAMAANNNN, crie t-elle en voulant pleurer de plaisir.
Je l'embrasse pour étouffer ses cris et descend sur sa poitrine. Je me mets à lui sucer les seins, je suce fort. Ses tétons sont rougis, elle pleure de plaisir.
Vicky : Anh maman, oh oui...anh...sssss....
Je vois la rayonniste qui frotte ses doigts contre son clitoris tout en la suçant sans arrêt, Vicky est prise entre deux respirations, elle suffoque, sa respiration est saccadée. J'aime tellement ça, j'aime la voir dans cet état, complètement submergée par le plaisir.
Je ne quitte pas ce que la rayonniste lui fait des yeux, tout à coup je vois un liquide gicler. Vous connaissez bien ce liquide, comme de l'urine mais ce n'est pas de l'urine. Eh oui, Vicky a jouit en mode fontaine. J'adore...
Moi : C'est bon comme ça, j'ai eu ce que je voulais, dis-je à la rayonniste.
Elle s'arrête de la su-cer. Je regarde Vicky qui est encore sous le choc de tout ce plaisir, elle respire éssouflée, mes yeux sont rivés sur son nombril qui monte et descend au rythme de chaque inspiration et expiration.
Je me lève du lit et la rayonniste a pris ma place pendant que de mon côté, j'ai pris la sienne c'est à dire entre les jambes de Vicky. Je fais descendre précipitamment mon short et ma bite toute tendue se retrouve à l'air libre. Ce qui veut s'en suivre promet d'être très hot...
#À_suivre