Ça faisait un moment que je ne m'étais plus réveiller enlacés par des bras aussi doux, quand je pense qu'on vient de faire l'amour en plein milieu de notre salon, je me demande si celà devait être possible si nous avions des enfants, en parlant d'eux j'ai vraiment hâte d'en avoir ça fait plus d'un mois que nous sommes mariés et je ne fais rien de mes journées alors je suis prête à recevoir ce petit bout de chou et je pense que Cédric aussi.
Nous sommes déjà frappé par les lueurs du jour alors je me lève et laisse Cédric couché sur le canapé, je monte prendre une douche rapide, enfile une mini culotte, un de ces t-shirt et je redescends vers la cuisine pour faire le petit déjeuner, je fais les oeufs à la poêle, passe le pain à griller et presses des fruits frais pour un bon jus naturelle, on se doit de reprendre des forces après une nuit pareille ( sourire ). Une fois terminé je retourne vers lui et décide je le réveiller cette marmotte toujours endormie d'une manière spéciale alors j'approche ma bouche délicatement vers lui et commence à faire plein de bisous partout jusqu'à ce qu'il ouvre délicatement ces yeux
– mon amour le petit déjeuner est servi dis-je en continuant mon travail
Il fait une mine de bébé avant d'ouvrir ces yeux, il est vraiment beau mon homme
– je pense avoir fait beaucoup de bien dans ma première vie, pour être réveillé le matin par la merveilleuse douceur de tes baisé ma reine, dit-il avec un sourire au coin des lèvres
Sourire
– tu le mérites et bien plus encore, aller va t'appreté le temps que je fasse la table
– d'accord, dit-il
Après son départ j'étais je suis aller dresser la table et quelque minutes après il descendit, il tire ma chaise comme un bon gentleman avant d'aller s'asseoir à son tour et on commence à déjeuner
– Cédric : bébé tu te souviens de notre conversation d'hier par rapport à ma nouvelle occupation ?
–oui oui et tu m'avais promis m'en parler aujourd'hui alors je t'écoute
–Cédric: oui en faite c'est un projet sur lequel je travaille depuis ces semaines avec des amis
–ah bon!? Et en quoi consiste ce projet ?
–Cédric: nous avons décidé de monter ensemble une entreprise de transformation de produit alimentaire
– intéressant mais se lancer dans un tel projet ne nécessite pas un énorme financement n'est-ce pas ?
–Cédric: c'est le cas et c'est là que j'aimerais que tu intervienne
–moi? Et comment !?
–Cédric: on va apporter un investissement commun alors j'aimerais que tu me prêtes ma part de financement s'il te plaît bébé
– tu sais bien que je t'aiderai avec plaisir, dis moi de combien as-tu besoin?
– Cédric : quinze millions de francs
–QUOI!? Mais si toi déjà tu donnes une sommes pareille, que donneront les autres ?
–Cédric: bébé nous ne voulons pas commencer dans des petits choses nous visons gros
– mais chérie ce n'est pas un peu risqué ? Et comment veux tu que je trouve une somme pareille ?
– Cédric : mais tu n'as qu'à effectuer un emprunt à la banque au nom de l'entreprise de ton père
– c'est pas facile, je ne peux pas faire une chose pareille sans en parler à mon père pour avoir sa permission
Après ces paroles c'est comme si j'avais invité le diable à notre table, l'atmosphère Convivial qui régnait autour de notre table disparu directement
–Cédric: je n'ai plus faim, dit-il en se levant de table
–chéri attend ! Dis-je en tenant son bras; ai-je dis quelque chose qu'il ne fallait pas?
–Cédric: non c'est juste que je me rends compte que j'ai fais une erreur en venant demandé ton aide
–mais comment peux tu dire une chose pareille, je suis ta femme si tu ne te tourne pas vers moi vers qui le feras-tu?
–Cédric: c'est aussi ce que moi je pensais mais à ce que je vois nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde
–mais bébé, ce n'est pas ce que tu penses! c'est juste que je ne peux pas retirer une telle somme sans l'accord du directeur général
–Cédric: SI TU PEUX, TU ES AUSSI ACTIONNAIRE DANS CETTE ENTREPRISE, TU AS AUSSI TON MOT À DIRE ET TES DÉCISIONS À PRENDRE ; C'EST JUSTE QUE TU VEUX TOUJOURS RESTER LÀ PETITE FILLE À PAPA ALORS L CHE-MOI! Dit-il avec colère
Je sentais mon cœur se resserrer jusqu'à la surface, mais qu'est-ce qui est arrivé à mon couple qui a jeté le mauvais d'oeil sur mon mariage, mon mari n'était pas comme ça avant il me comprenait et me soutenait , maintenant on dirait que chacunes de mes paroles sont mauvaises je ne comprends plus rien.
Cette histoire m'a coupé l'appétit, je suis resté là un moment à réfléchir avant de débarrasser la table et d'aller à la recherche de Cédric et je le retrouva dans la chambre en train de s'apprêter
– où vas-tu? Demandais-je en entrant dans la chambre
– Cédric : mendier le capital pour mon projet puisque tu n'es pas disposé à me venir en aide
Je m'avance vers lui, enveloppe son torse de mes bras
–mais chéri je n'ai jamais dis un truc pareil, je veux juste demander son avis afin de ne créer aucun déficits financier à l'entreprise
– Cédric : ne me touche plus dit-il en me propulsant en arrière avec force
En un temps record je m'étais retrouvé sur le plancher de notre chambre atterrissant ainsi sur mon genou gauche mes larmes faisaient déjà la course le long de mes joues c'était les deuxièmes fois s'il se montrait violent envers moi.
Mais qui est cet homme devant moi? Il n'avait même pas denier me dire un mot où même me jeter un regard de compassion tout au contraire il sortit de la chambre et me laissa là au sol je n'en revenait pas j'ai pleuré comme petite fille, j'avais mal au fond de moi, la douleur que je ressentais aux genoux n'était rien comparer à celle de mon cœur. Il fallait que je parle à quelqu'un alors comme d'habitude j'ai appelé ma sœur de cœur sans rien lui dire de la situation et elle promit de venir
Quelque minutes plus tard on sonne à la porte toujours étant dans ma chambre à pleurer, je sortis pour aller ouvrir la porte ; lorsque je vois mon ami sur le pas de la porte je n'ai pas pu me retenir que je me suis lancée sur elle oubliant même son état
–meli...SNIF
–Mélanie: doucement ma belle, calme toi; viens on va s'asseoir et tu m'expliques la situation d'accord ?
J'ai juste fait un oui de la tête, j'avais mal, nous étions allés nous installer sur le canapé
– Mélanie : ok je t'écoute, qu'à fait Cédric cette fois ci ?
Je lui ai tout raconter depuis ces derniers jours d'absence, en passant par notre belle nuit d'hier jusqu'à ce moment, après mon récit elle est restée calme un moment avant de prendre un air sérieux
–Mélanie: mais attends Diane, tu es sérieuse là?
J'étais surprise par sa question, je m'attendais à tout sauf à ça
– qu'est-ce que j'ai fait ?
–Mélanie: Tu demandes ce que tu as fait? Mais tu n'es plus une enfant madame est une femme et de plus une femme mariée, tu devrais d'abord pensé au bonheur de ton époux avant tout
– mais je n'ai pas dis le contraire c'est juste que la situation ici est différente, il s'agit d'offrir une somme que je n'ai pas, 15 millions n'est pas une petite sommes; il me faut donc avoir l'approbation du dirigeant de l'entreprise
– Mélanie : ton père n'acceptera jamais et tu le sais, il ne porte pas ton mari dans son cœur et tu le sais alors il faut faire un choix, c'est soit ton mari soit ton père
–mais je ne peux pas faire un choix pareil, je veux pouvoir aider mon mari sans toutefois créer de problème à mon père
– Mélanie : pour le bien de ton mariage tu devras le faire et le tôt sera le mieux
Je suis vraiment perdu, je ne sais plus quoi faire, d'un côté je savais qu'elle avait raison parce que ma famille n'aime pas vraiment Cédric mais d'un autre côté je savais que mon père ne pouvait pas me refuser son aide, j'étais vraiment confuse.
Nous avons continué à parler et elle me donnait de plus en plus de raisons d'aider mon mari , mais est-ce une bonne idée? Là je ne le sais pas.
Passé du temps avec ma sœur m'a beaucoup fait du bien, elle a réussi à me consoler et on a aussi beaucoup parlé du bébé, d'ailleurs elle me dit qu'elle accouche le mois prochain j'ai vraiment hâte d'être tantine de ce magnifique garçon
– mais je demande hein.. donc tu veux me dire qu'à un mois de ton accouchement tu ne m'as pas encore présenté au père de ton enfant, est-ce que c'est sérieux?
–mélanie: werr ma chérie je sais c'est juste qu'il n'est pas ici comme je te l'avais dis, mais le moment venu tu vas le rencontrer
–humm..si tu le dis, j'espère juste qu'il prend soin de vous
– Mélanie: pour ça ne t'inquiètes même pas, il subvient à mes moindre caprices
– d'accord, je suis très heureuse pour vous; mon neveu à déjà tout ce qu'il faut pour son arrivée?
–Mélanie: merci ma belle; bon pas vraiment mais ne t'inquiètes pas son père attend juste une virement de fonds pour un travail effectué et dès que c'est prêt on pourra aller faire ces achats ensemble d'accord ?
– bien-sûr que oui
–Mélanie: bon ce n'est pas tout ça mais j'ai déjà faim moi
– excuse-moi, je n'ai même pas penser t'offrir quelques choses
–mélanie: t'inquiètes ce n'est pas grave en plus c'est pas comme si j'étais une étrangère, je vais moi même voir ce que je peux me mettre sous la dent
– d'accord
Nous étions restés à parler de tout et de rien jusqu'à dans la soirée avant qu'elle ne rentre chez elle
# des semaines plus tard
– tu es tout beau mon amour, dis-je en embrassant mon époux
–Cédric: merci chéri, aujourd'hui je dois être vraiment présentable pour être à l'honneur de la femme que tu es, dit-il en répondant de plus belle à mon baisé
–c'est vraiment flatteur, es-tu sûr que je ne peux pas t'accompagner? Dis-je d'une mine de chien battu
–Cédric: moi même j'aurais beaucoup aimé que tu viennes mais c'est pas encore le moment on va juste visité le site qui abritera le projet, si ce n'était pas important c'est que je resterai ici pour profiter de ces merveilleuses lèvres toutes douces
–attention monsieur ne dîtes pas ces choses, mon mari pourrait les entendres
–Cédric: au contraire je le dirais encore plus fort pour que tout le monde sache que je suis fou de toi; ton mari à beaucoup de chance de t'avoir
–et moi aussi je suis très chanceuse
Long câlin...
– bon il faut que tu y aille, bonne chance à toi
– Cédric : merci et toi tu vas faire quoi de ta journée?
–j'irais chez mes parents, mon père à demander à me voir
–Cédric: crois-tu que c'est pour cette affaire?
–certainement mais quand j'en saurai plus , je te le dirais
– Cédric : d'accord à ce soir alors
–bisou je t'aime
–Cédric: moi aussi.