Chapter 36
1813mots
2022-09-14 14:53
Le temps passait et les évènements s’enchainaient. Dès qu’une personne avait des informations à me fournis, il venait directement à la maison parce que au téléphone c’était risqué et j’avais arrêté de me préoccupé des deux grands présent à la maison. Deux ce sont écroulé comme du sable dans la main, et ce soir-là ou j’attendais que père viennent dans ma chambre terminer son histoire, il n’est pas venu ; et je ne lui avais pas vu de toute la semaine.
Trois semaines sont passées et je n’avais pas toujours vu père et lors du diner mère n’a pas elle-même pu me donner une réponse claire et nette.
Wolf : dit mère ?
Wendy : qu’est ce qu’il y’a mon fils ?
Wolf : ça fait trois semaines que même l’ombre de papa je n’ai pas vu
Rico : tiens moi non plus !
Wendy : la première semaine même je l’entendais entrée et sortir de la chambre sans souci mais depuis deux semaines je ne l’entends plus
C’est là que j’ai commencé à m’inquiéter. Tout ça n’était pas clair ; et la disparition de papa commençait sérieusement à poser un sacré problème. Après le déjeuner, Rico et moi sommes allés dans ma chambre pour en discuter.
Wolf : tu ne trouves pas ça bizarre ?
Rico : quoi ?
Wolf : les deux grands qui ne font comme si de rien était à la maison, la disparition de papa et tout le reste
Rico : si tout ça devient vraiment louche
Je n’avais pas encore fini de me poser des questions lorsque Naomi, une employée de la maison est venue m’apporter une lettre.
Wolf : qu’est ce qu’il y’a ? Naomi
Naomi : une femme m’a donné sa à l’entrée pour vous monsieur !
Wolf : pour moi ?
Naomi : oui monsieur
Le parfum qui provenait de cette lettre me rappelais quelque chose, mais je ne sais plus trop ou est-ce que l’avais déjà ressenti ce parfum
Wolf : et tu sais à quoi elle ressemblait cette femme ?
Naomi : non monsieur elle ne m’a pas laissé l’occasion de voir son visage
« Tiens c’est bizarre sa » (Pensais-je)
Wolf : d’accord merci
Naomi : je me retire de ce pas
J’ai ouvert la lettre. Elle me demandait de venir au centre Samedi ; lettre de la part du Pharaon à ce qui parait.
Rico : qu’est-ce que tu comptes fait ? Tu vas y aller ?
Wolf : bien sûr que je vais y aller
Rico : tu oublies que c’est à 48h de la fin de notre mission ?
Wolf : c’est bien ce qui m’inquiète
Rico : tu vas en parler à Etoile et Ronald ?
Wolf : bien sûr que non !
Rico : pourquoi pas ? Ils peuvent très bien t’accompagner
Wolf : je sais mais la lettre me demande de venir seul
Rico : tu oublis que c’est peut-être un piège !
Wolf : je sais mais si je n’y vais pas qui sait ce qui risque vous arrivez
Rico : tu as raison de t’inquiéter pour nous mais toi alors ?
Wolf : tant que rien ne t’arrive j’irais toujours bien. (Disais-je en le prenant dans mes bras) tu te souviens de la promesse que je t’avais fait ?
Rico : oui celle de toujours me protéger
Wolf : et je continuerais toujours de le fait
Rico : à quoi bon si c’est au péril de ta vie ?
Wolf : je vais bien tant que tu vas bien
C’était peut-être un piège de la part du Pharaon, mais je ne pouvais pas risquer de mettre mes compagnons en danger, encore plus maintenant que j’avais impliqué un innocent parmi. Moi qui pensais que Samedi était encore loin étant donné que nous étions dimanche, je me suis lourdement trompé étant donné que Samedi est vite arrivé. Etant donné que chacun avait son chauffeur personnel, ce matin avant de sortir, bizarrement il y’avait aucun enfant à la maison à part Rico et même Ronald et Etoile n’était pas là.
Rico : bonne chance et rentre en un morceau
Wolf : toi aussi
Je dois tout de même t’avouer que de Kribi à ici ce n’étais pas facile ; je n’avais aucun problème en route au contrôle routier car ma morphologie avait plus l’ère d’une personne de 21 ans, ce qui faisait donc en sorte qu’on ne pouvait pas imaginer que je n’avais que 15 ans.
Je n’étais pas encore venu ici du coup je ne connaissais pas ou sa se situait mais heureusement pour moi et je ne sais pas si c’est un coup de chance mais mon chauffeur Dominique connaissait biens les lieux. Arriver à l’entrée il m’a déposé
Dominique : je vous laisse là, je ne peux pas entrée cet endroit me donne la chair de poule
Wolf : aucun souci de toute façon je devais y aller seul
Dominique : d’accord je dois juste chercher un endroit ou me garer et aller visiter ma tante pas loin d’ici
Wolf : sans souci mais ne te gare pas trop loin
Dominique : lorsque vous aurez fini, appeler moi
Wolf : c’est compris
Puis il est parti à toute allure. Normal, l’entrée de cette demeure est vraiment glacial ; je me demande toujours pourquoi il y’a écrit orphelinat à l’entrée. Une jolie demoiselle, sortie de nulle part est venue m’accueilli ; au début j’ai d’abord cru que c’était Kelly, mais en se rapprochant de plus en plus, j’ai remarqué que ce n’étais pas elle. Celle-là s’appelait Suzy
Suzy : bienvenu Wolf on t’attendait !
Wolf : bonjour ! Vous me connaissez ?
Suzy : bien sûr !
Wolf : à qui ai-je l’honneur ?
Suzy : moi c’est Suzy !
Elle dégageait la même ora que Kelly
Wolf : c’est bizarre mais vous me faites penser à…
Suzy : Kelly !
Wolf : mais comment vous…
Suzy : on me le dit très souvent
« Suzy ? Ce nom me dis tout de même quelque chose » (Pensais-je). Elle avait le même parfum que sur la lettre.
Suzy : aller vient, il t’attend à l’intérieur
Wolf : qui ça ?
Suzy : tu verras !
Elle avançait tandis que je la suivais sans fait de bruit. Nous sommes passé et entrée dans des endroits que je ne pouvais même pas imaginer que sa existait dans cette orphelinat ; des endroits vraiment étrange et obscure. Lorsque nous sommes arrivées dans un couloir elle s’est arrêtée
Suzy : attends-moi là. Je te ferais signe au moment propice
Puis elle s’est avancée jusqu’à disparaitre au fond de ce couloir obscure. J’étais placé là à l’attendre tranquillement jusqu’à ce que quelqu’un ne me porte un coup sur la tête étant donné que je me suis réveillé ici. Avec ce bout de papier disant de montrer que je ne me suis pas ramolli en vous mettant une balle dans la tête ; la suite de l’histoire vous la connaissez.
Wolf : alors vous comprenez maintenant pourquoi je n’ai pas le choix que de vous tuer ?
Homme : je te l’ais dit tu n’es pas obligé de continuer à obéir les ordres !
Wolf : mais si je ne le fais pas je vais perdre toute ma famille adoptive
Homme : ils ne t’ont pas tout dit sur ta famille adoptive à ce que je vois !
Wolf : de quoi vous parlez ?
Homme : tu sais qui je suis ?
Wolf : non !
Homme : je m’appelle Valdez, Tsague Valdez
Wolf : quoi ? Le même Tsague dont ma mère parlait ?
Homme : oui !
Wolf était resté cloitré sur place sans rien dit, comme s’il venait de voir un fantôme.
Wolf : comment est-ce possible et qu’est-ce que vous faites là ?
Valdez : lorsque ton père adoptif a changé de région et tout le reste, son frère ne savait pas où il se trouvait et comme j’étais le seul ami de confiance de ton père, il est venu chez moi me chercher et j’ai nié savoir où se trouvait Frederick.
Wolf : et pourquoi vous êtes là ?
Valdez : par je ne sais quel miracle, il a appris que je lui avais mentir alors il a envoyé ses hommes chez moi. Heureusement que j’avais pris les devants et j’ai envoyé ma femme et mon fils à l’étranger chez mon frère au cas où tout se complique
Wolf : il serait capable de les tuer ?
Valdez : s’ils avaient trouvé ma famille à domicile, il les aurait exterminé un par par un comme des rats d’égouts car lui il ne donne qu’un seul ordre « pas de témoins »
Wolf : je comprends mieux pourquoi il voulait qu’on extermine tous les membres de ma famille
Valdez : et ils ont pris de l’avance sur toi !
Wolf : comment ça ?
Valdez : tu sais combien de temps tu à fait ici ? (dit-il en me regardant droit dans les yeux)
Wolf : je suis arrivé aujourd’hui !
Valdez : ils t’ont vraiment piégé
Wolf : de quoi vous parlez ?
Valdez : tu sais quand est ce que nous sommes ?
Wolf : Samedi !
Valdez : faux nous sommes lundi
Wolf : comment ça se fait ?
Valdez : je ne sais pas par quel miracle ils t’ont retenu aussi longtemps mais tu as fait 48 heures ici
Wolf : non ce n’est pas possible, il faut vite sorti d’ici, mes compagnons sont en danger
Valdez : ou peut-être déjà mort !
Wolf : pitié ne me parle pas de drame
Wolf s’est ensuite dépêcher de détacher Valdez pour s’en aller vite fait. Sur le chemin de la sortie, il a appelé Dominique pour qu’il vienne le chercher. L’absence d’obstacle sur son chemin le faisait de plus en plus peur et avec Valdez blessé ce n’était pas facile de vite se dépêcher. Il avait franchement été tabassé ; et les hommes du Pharaon l’avaient brisé quelques cotes et son corps était rempli de bleu. Fort heureusement à l’entrée, Dominique les attendait déjà
Dominique : mais monsieur qu’est ce qui c’est ^passé ?
Wolf : c’est une longue histoire ouvre vite la portière
Dominique : mais monsieur vous avez du sang sur vous !
Wolf : ce n’est pas le mien
Dominique ouvre la portière et fait entrée Valdez et Wolf
Wolf : s’il te plait accélère, tu me déposes à la maison et tu laisses ce monsieur au domicile des Alfred, dis bien à Hunter de bien s’occupé de lui
Dominique : c’est compris monsieur !
Il était vraiment préoccupé pour ses amies qu’il n’arrêtait pas de demander à Dominique de se dépêcher. Arriver à l’entrée, Dominique s’est arrêter, Wolf est descendu et il a continué avec Valdez. Wolf en se retournant pour entrer, il n’en croyait pas ses yeux…