Mère était restait silencieuse et mes sœurettes aussi. Dans leur regard tu pouvais lis la peine que cette histoire leur infligeait. Mais j’étais tout du moins curieux de savoir ce qui c'était passé par la suite.
Wolf : qu’est-ce que c’était ?
Lysa : un désastre !
Ludivine : du sang ! Le long des murs
Rico : comment ça ?
Wendy : pratiquement toute sa maison avait été noyée dans un bain de sang
Wolf : le sang de qui ?
Wendy : tous ses employés avaient été laminés. Il s’est empressé d’aller vérifier dans sa chambre, mais avant d’y arrivé, il vit sa femme, assise au couloir sur une chaise ou on l’avait ligoté et frapper à mort
Wolf : oh mon Dieu ! C’est terrible
Lysa : lorsqu’il est entré dans sa chambre, la fenêtre était ouverte ; mais aucune nouvelle de son petit de 4 ans.
Rico : pour dit qu’il y’aurait une possibilité que son enfant soit en vie alors ?
Ludivine : c’est probable, mais sa on ne le saura peut-être jamais
Wendy : c’est la raison pour laquelle nous vous avons adopté, parce qu’il dit que vous avez pratiquement le même âge que son fils aurait aujourd’hui. C’est vrai au début on voulait juste un seul mais deux ça passe toujours
Wolf : sa expliquerait pourquoi il nous aime tant
Rico : et on sait qui a pu fait une telle chose ?
Wendy : il ne veut pas l’avouer mais je sais que c’est son frère !
Wolf : pourquoi dites-vous cela mère ?
Wendy : parce que cet homme est un véritable monstre. Il joue sur la psychologie des gens et peut te faire t’asseoir à ses pieds sans que tu ne le sache et juste le temps de t’en rendre compte qu’il n’est plus là !
Rico : il est cruel à ce point ?
Wendy : oh oui !
Lysa : c’est en cherchant son fils pendant une année entière qu’il a pu faire la rencontre de maman
Wendy : et depuis ce jour-là, mon mariage je ne le jure que par le nom de son fils parce que sans lui, je n’aurais jamais eu un homme aussi affectueux dans ma vie.
Lysa : après ça, père a vendu sa maison de Limbe et est venu s’installer ici, à l’abri de tous.
Wendy : c’est pour ça qu’il se cache beaucoup de tout et de tous et le seul à être au courant de sa position sur ses ancienne connaissance c’est un de ses amies Valdez Tsague je crois bien. C’est le seul aussi à être au courant de ce qui c’était passé.
Ludivine : mais à ce que nous a dit mère, père est devenu beaucoup plus calme sa fait déjà 15 ans et nul ne sait pourquoi !
« 15 ans ? » (Pensais-je)
Lysa : c’est aussi en ce moment-là qu’il a commencé à se comporté comme une ombre
Wendy : et lorsque tu lui demandes pourquoi ? Il te répond toujours « pour piéger quelqu’un, il faut être comme lui » mais sa je ne l’ai jamais compris.
Moi non plus je ne comprenais pas ce que cela signifiait ; mais les 15 ans prononcés par Ludivine me faisais réfléchir. Il y’avait déjà beaucoup trop de coïncidence dans cette affaire et je comptais bien attendre les deux semaines que père m’avait imposé pour pouvoir lui poser mes questions.
Wendy : bref c’est un peu sa la tragique histoire de notre famille
Rico : c’est vraiment triste pour papa !
Wendy : ce sont les étapes de la vie à traverser mes chéris
Lysa : bon nous on a fini notre repas
Ludivine : on part jouer avec oncle Etoile et oncle Ronald
Wolf : oncle qui et oncle quoi ? (disais-je très surpris)
Lysa : oncle Ronald et oncle Etoile !
Rico et moi après avoir entendu sa, avons commencé à nous regarder dans les yeux comme si on venait de voir un fantôme.
Ludivine : ne faites pas cette tête ! Ils sont venus hier
Wolf : et pourquoi ne sont-ils pas à table ?
Etoile : parce qu’on préfère nettement mieux la cuisine ! (Dit-il subitement)
J’avais l’impression de nager en plein cauchemar en les voyant arrivés, mais leur entré était plutôt magnifique je dois l’avouer car il apportait des glaces faites par eux même et moi j’avais eu droit à mon parfum préféré ; celui à la mangue. J’étais tellement occupé à savourer ce moment de délice que j’avais presqu’oublié le fait que mes sœurs les avaient appelé oncle.
Wolf : dites ?
Lysa : qu’est ce qu’il y’a ?
Wolf : pourquoi les avoir appelés oncle ?
Etoile : la bouche qui mange ne parle pas Wolf
Ronald : il a raison mon cher, tu ferais mieux de savourer ton dessert au lieu de poser des questions dont les réponses pourrait te surprendre (dit-il à voix basse à mon oreille)
Etoile : alors qui veut un gâteau?
Il avait dit sa pour changer de sujet, et sa avait bien marché car les filles s’étaient empressé de prendre. Sa me rongeais tout de même de vouloir savoir. Après le petit déjeuner, hunter, Curtis et Alfred ont débarqué, puis nous sommes montés dans ma chambre pour ne pas être déranger.
Wolf : bonjour les gars !
Hunter : bonjour
Curtis : la politesse ce n’est pas mon fort
Rico : à qui le dis-tu ? On le sait déjà
Wolf : sinon Hunter on dit quoi ?
Rico : ouais que me vaut l’honneur de cette visite imprévu ?
Hunter : étant donné que vous êtes très pressé et que…
Curtis : il n’aime pas les gens qui contourne les choses, nous sommes là parce que nous avons trouvé une solution pour les puces
Wolf : vraiment ?
Hunter : oui
Rico : ce n’est pas un peu tôt ?
Alfred : c’est vrai que nous en n’avons parlé qu’hier mais cette nuit, nous avons passé une nuit blanche à faire des recherches
Curtis : en fait moi je travaillais dessus depuis longtemps grâce aux équipements que Rico me fournissait
Wolf : petit salaud donc c’était sa que tu trafiquais depuis !
Rico : si je t’en avais parlé ça n’aurais plus été pareil
Alfred : enfin bref nous avons tout de même fini par trouver une solution
Wolf : et qu’est-ce que c’est ?
Hunter : nous voulons mettre sur pied un appareil capable de désactiver ces puces
Wolf : comment vous comptez opérer un tel miracle ?
Hunter : pourquoi parles tu de miracle ?
Rico : parce qu’ici au pays il y’a pas les équipements pour faire une tel chose
Alfred : sa nous le savons déjà
Hunter : le génie de Curtis me surprend ; il a pu trouver un autre moyen d’en fabriquer
Wolf : comment ça ?
Curtis a étalé un format A0 sur la table de ma chambre ; un format sur lequel il y’avait le plan et le mode d’emploi d’une autre machine ; c’était un détecteur de métaux.
Wolf : un détecteur de métaux ?
Rico : c’est quoi le projet ?
Curtis : en fait j’ai trouvé un moyen de trafiqué cet appareil pour pouvoir désactivé nos puces
Wolf : mais c’est génial ça !
Alfred : tu parles !
Le plan de Curtis était génial. Il a pris la peine de nous expliquer sa de fond en comble, le matériel dont il avait besoin, nous avons calculé la somme que sa pouvait couter tout sa et nous lui avons donné étant donné que chacun de nous présent à la maison avait aussi une somme d’argent dans une carte de crédit offerte par père. Après sa, il nous on dit au revoir et ont prit la route
Curtis : maintenant nous devons vous laissé !
Wolf : combien de temps sa va prendre ?
Curtis : une semaine tout au plus je pense
Rico : dans ce cas rendez-vous ici dans une semaine
Alfred : j’informerais les autres
Hunter : et si ça ne marche pas nous avons déjà mis sur pied un plan b
Wolf : ça va marcher, du moins ça doit marcher
Rico : on croise les doigts pour sa
Ils ont fini de nous déballer leur plan et ont repris la route comme ils étaient venus. Malgré la proposition de mère de rester un peu plus, ils n’étaient pas d’accord car le temps pressait. Nous avions mis le rendez-vous dans une semaine et il ne nous restait plus qu’à attendre.