Chapter 67
1503mots
2022-09-15 10:00
Moi : tu est folle ? Tu me voit sortir avec des vieilles de ton âge ? Il est temps que tu ailles travailler. Si tu veux je vends la villa et on trouve une petite maison à louer et tu lance un commerce avec le reste de l’argent .
Elle : (gifles). Bâtard. Tu n’a été qu’une gêne pour moi toute ta vie. Il est temps de me rembourser et en contrepartie je te dirai qui est ton vrai père.
Moi : elle savait que mon plus grand désir était de connaître mon vrai père.

Malgré moi j’ai promis réfléchir à sa proposition.
Après maintes relance de sa part j’ai fini par cédé. Ma première cliente (puis ce que j’étais devenu un gigolo) était une grande commerçante marié et mère de famille. Notre première fois elle me remit une enveloppe de 500.000fcfa que je remis en intégralité à ma génitrice. Je ne voulais pas de cet argent.
Je deviens le chouchou de ma mère car je pouvais lui rapporter de l’argent. Elle se voulait aimante et gentille mais je ne la considérait plus du tout. La relation avec cette dame dura 6 mois et au total je reçu 5 millions d’elle car j’étais bon au lit. Mon dégoût pour ce genre de femme à réveillé en moi l’envie d’être violent lors des rapports. Je fus surpris de voir quelles aimaient ça.
Après elle, je me suis mise en relation avec la femme d’un ministre. Elle était plus jeune que la commerçante et plus soignée. Elle me couvrait également de cadeaux et ont allaient en week-end hors de la ville. L’université devient mon terrain de chasse. Entre les professeure femme et les mères de famille qui viennent parfois récupérer leur enfants mon carnet d’adresse était rempli.
La vie a continué ainsi. Pendant mes vacances de la 1ere année je fis la connaissance de Lorette un soir où je suis allé prendre un verre pour noyé ma solitude. Entre oiseaux de même Plumage ont se reconnaît. Moi je pensais avoir trouvé mon âme sœur et arrêté cette vie de débauche. Notre idyllique à duré toute les vacances jusqu’au soir où elle croise ma génitrice en sortant de chez moi.
Cette dernière entra dans une grande colère car selon elle je ne devais pas avoir de copine pour qu’elle ne fasse pas d’histoire à mes conquêtes. Ayant déjà raconter mon histoire à lorette je pensais qu’elle allait défendre notre amour comme moi mais elle rassure ma génitrice sur le faite qu’elle comprends sa motivation et qu’elle m’aime assez pour faire la différence entre les activités extrascolaires et notre relation.

A partir de se jour lorette épluchait les lieux où les filles de riches fréquemment et ont y allaient elle et moi. Je compris que l’amour que je voulais je ne l’obtiendrais pas de Lorette. J’ai arrêté de lutter et me suis jeté complètement dans mon rôle d’arnaqueur. Je suis devenu insensible, hautain, arrogant et suffisant. Pour moi les femmes sont toutes pareille. Après l’obtention de mon diplôme en architecture j’ai commencé des stages grâce à mes « relations ». Je sous traitait de petit chantier. Je mettais l’intégralité de l’argent gagné sur mon compte. A la maison on vivait de l’argent soutiré à mes victime. Cela à continuer ainsi jusqu’à ce que j’ai failli me faire prendre quand ma dernière victime à publié une photo de nous dans le journal. Heureusement que la photo était floue. Je menace ma mère de me dire qui est mon père sinon je disparaît pour toujours et elle devra mendier pour vivre. Elle finit par me donner son nom et le lieu où il travaillait dans le temps. Apparemment il est togolais mais de mère béninoise donc il est né et à vécu toute sa vie au BÉNIN.
Avec Lorette ont a décidé qu’après que j’ai retrouver mon père ont partirais définitivement ailleurs faire notre vie. C’est dans cette même période que j’ai postuler pour le projet de DUBAÏ.
Lorette était d’accord. Mais quelques jours après elle me montre un journal avec la photo de Milly qui avait été nommé jeune entrepreneur à succès de l’année. Lorette voulais qu’on fasse un dernier coup avant de « prendre nôtre retraite » je n’ai pas compris pourquoi elle a autant détesté Milly rien qu’en voyant sa photo. J’ai fini par accepter car elle en avait déjà parlé à ma mère. J’ai compris à ce moment là que je ne pourrai jamais prendre un nouveau départ avec lorette. Sa rage et sa haine envers la vie la consume. J’ai donc décidé en mon fort intérieur de disparaitre de sa vie et de celle de ma génitrice à jamais après le BENIN.
La suite vous la connaissez.

Maintenant vous savez qui je suis. Je ne veux de la pitié de personnes. Je reconnais mes tords et l’assume. Je porterai à jamais le fardeau d’avoir tué.
Je me rappelle de la tronche de ma génitrice la dernière fois qu’elle ma vue.
FLASHBACK
Une fois à Lomé je vais à l’aéroport prendre mon billet aller simple pour Dubaï. Après cela, je pris un Petit motel qui ne nécessite pas que je présente de pièce. De toute façon je ne compte pas passer la nuit la. A 21h, je pris mon sac à dos contenant ma fortune et mon ordinateur et mon mini sac. Je vais prendre un taxi car depuis 3 jours j’avais déjà contacter un ami, le seul vrai ami que j’ai eu, et ai mis ma voiture en vente ainsi que la villa où vit ma génitrice. C’est en mon nom donc j’en fait ce que je veux. après avoir acheté mon billet je vais lui laisser la voiture et les papiers de la maison. Je lui demande de me faire un western quand il aura vendu. À 21h40 le taxi me dépose devant la villa. Habillé de noire dans la nuit avec un chapeau j’étais sur que personne n’allais faire attention à moi. Je sonne et elle vient ouvrir. Elle est surprise de me voir la mais je la pousse et entre.
Elle: qu’est ce qui te prends de me pousser de le sorte ?
Moi : je lui assène 2 paires de gifles. Depuis le temps où j’en rêvait. Elle tombe dans le fauteuil derrière elle.
Tu va te taire et m’écouter vieille peau.
« Je te hais comme je n’ai jamais haï de toute ma vie. Tu a gâché ma jeunesse. Par ta faute Lorette est morte. Ton plan parfait avec elle pour dépouiller Milly n’a pas marché. Elle a tout découvert depuis longtemps et nous tendais des pièges dans lesquels nous sommes tombés. J’ai du enterré lorette hier tout seul. Si je suis venu se soir c’est pour te dire à DIEU. Plus jamais de ta vie tu ne me verras. La police me cherche. Donc je quitte définitivement l’Afrique pour la France car le projet de DUBAÏ n’a de marché. Si jamais la police vient ici et que tu leur dit que j’étais là tu deviens complice.
Au faite j’ai retrouver mon géniteur. Mais je n’ai pas voulu lui parlé. Je préfère gardé l’image du seul homme qui m’a considéré comme son fils et que tu a tué.
A Dieu. Aah une chose encore j’ai mis la maison en vente car c’est en mon nom. Donc fait tes bagages. Je prends la porte et elle attrape ma main
Elle : pardonne moi fils. Ne me laisse pas. Que vais-je devenir seule sans ton aide et en plus sans maison ?
Moi : je m’en fiche. Je la repousse et sort de la maison. Direction l’aéroport.
Je préfère patienter sur place jusqu’à l’heure de départ.
Une fois dans l’avion je respire un grand coup. Enfin, j’ai une seconde chance de tout refaire dans les règles de l’art.
FIN DU FLASHBACK
Une semaine après mon arrivé je reçu un western de la part de mon ami. C’est à cause de lui que j’ai gardé mon numéro du Bénin. Après réception de l’argent j’ai cassé la Sim et ai acheté une nouvelle Sim puis j’ai appelé mon bb.
Elle n’y croyais plus. Elle était heureuse de savoir que j’ai tenu parole. Deux semaines après elle me fis la plus belle surprise de ma vie en m’annonçant qu’elle allait venir me rejoindre. Elle a dit à ces parents qu’elle a trouvé une bourse de formation sur DUBAÏ en cosmétique avec possibilité de travail après la formation. Les pauvres y ont crus. Une semaine plus tard c’est avec émotion et joie qu’elle était dans mes bras.
Dans mon contrat le logement est inclus donc ont a un toit.
Cela fait 2 mois que je lui ai payé une formation dans un institut de beauté haut de gamme. Je peut dire que pour la première fois j’envisage un avenir pour moi. Je n’espère pas de réponse de Milly. Juste qu’elle arrive à me pardonner et surtout qu’elle aille de l’avant.
J’ai assez parlé de moi.
Je vous laisse, je vais aller chercher mon bb.