Chapter 54
1390mots
2022-09-12 10:00
DU CÔTÉ DE COTONOU
PDV LUCAS
Ce matin je décide d’ouvrir le coffre fort pour voir ce qu’il y a dedans. Je sort le papier mémorise le code et le déchire pendant que Lorette était sous la douche.

Je vais ensuite ouvrir je tombe des nues. Il n’y avait que quelques bisous en or Ainsi que les papiers de la voiture dedans. Rien d’autres. Pas de papiers de maison, papiers de terrains, chéquier personnel…..
Fou de rage je ferme le coffre et descends au salon. Cette imbécile pense m’avoir ? Elle pense que j’ai investit tout ce temps pour ne rien avoir au final ?
Elle se trompe lourdement. Je faisait des aller-retour en réfléchissant quand lorette fit son apparition vêtu du short ras les fesses et un chemisier transparent sans manche en ne portant pas de soutif. Je la tire vers moi et mords ses tétons à travers le chemisier. Elle se cambre mais je la relâche. Chaque chose en son temps.
Je lui fit part de ma découverte .
Lorette : je ne serai pas surprise qu’elle ai tout confier à sa mère avant de voyager. Je te propose qu’on se rende à son bureau la nuit. J’ai le double des clés de la porte arrière qui mène aux escaliers externe. Cela donne directement sur le couloir menant à son bureau. Il y a un angle mort de la caméra que j’ai appris à maîtriser. On prendra les chéquiers du bureau et à son retour quand elle auras repris ses effets tu pourras y accéder vu que tu a déjà le code
Moi : tu a parfaitement raison. Faisons comme ça.

Humm bb dommage que je soit en retard sinon j’aurais fait la fête à cette paire de seins qui me lorgne.
Je pince et tire sur ses tétons. Je repense aux seins volumineux et aux gros tétons de la fille de la plage et je bande. Mais bon je me ressaisit et après un baiser rapide je prends le chemin du chantier.
Se soir ont va prendre les feuillets du chéquier comme convenu. Je dois dire que Lorette est efficace et a de la suite dans les idées. Partenaires de crimes parfaite mais je dois m’en débarrasser bientôt. Ainsi va la vie.
Une fois sur le chantier je travaille d’arrache-pied avec les ouvriers pour qu’on puisse livrée dans le temps imparti.

À la pause le peintre en chef annonce qu’il à commandé des plats de pâte rouge bien fait et pas cher à toute l’équipe et que c’est une dame qui fais du service traiteur. Donc il invite ses collègues à patienter en attendant que le livreur de la dame vienne.
Je décide d’aller me mettre au 1er étage du bâtiment histoire de me reposer loin du bruits des gars. Il y avait un matelas 1 place posé à même le sol que j’utilise de temps en temps. Je m’allonge et mis de la musique puis ferme les yeux.
Voix : comme ont se retrouve mon beau.
Moi : j’ouvre les yeux surpris.
Elle ici ? Comment cela se fait ?
Elle : tu n’est pas content qu’ont se recroise ?
Moi : bien sur que oui mais je suis étonnée. On est sur un chantier quand même
Elle : rires. En faite c’est à ma mère que le peintre à commander le repas. Les livreurs n’étant pas disponible ma mère m’a prier de l’aider. Je repartait quand j’ai vue ta voiture. J’ai fait le tour du bâtiment et me suis faufiler sans qu’on ne me voit ici pour voir si le Dieu de la baise ne serait pas de mon côté et que je puisse encore goûté à ton délicieux bâton.
Moi : humm. Il a entendu ta prière apparemment.
Elle portait un débardeur léger sans soutien et donc ses seins volumineux étaient pointé vers moi. Elle était accroupi à côté de moi pendant que je restais allongé. Sans réfléchir je relève la tête et mords le téton le plus proche de ma bouche. Elle a des tétons vraiment gros comme j’aime. Je pince l’autre téton et tire. Elle couine de plaisir.
Sans perdre de temps elle ouvre ma braguette et sort ma queue à moitié dressé qu’elle caresse sur la longueur. Je fais passé son débardeur par-dessus sa tête pour pouvoir bien empoigner ses seins. Elle gémit de plus en plus.
Moi : si tu veux prendre ma queue en toi tu va devoir être totalement silencieuse aujourd’hui.
Elle : je vais essayer.
Comme elle était en mini jupe elle m'enjambe et viens s’empaler sur ma queue. Elle met ses mains de chaque côté de mon corps et fais des monter descendre sur ma queue. Je tête ses seins en les mordants.
Un coup à la porte la fit s’arrêter. Mais je pris la chose en main décide de me lever. Je l’allonge sur le dos en entrepris de lui sucer sa chatte. Elle s’était épilée entièrement. La vache j’adore. Le peintre continuait de frappé pendant que j’introduis ma langue en elle et 2 doigts dans son anus. Elle à mis son débardeur dans la bouche pour étouffer ses cris de plaisir.
Je fini par répondre au peintre que je mangerai plus tard et il part.
Je la retourne sur le ventre et la sodomise gravement. Elle en redemandait et se caressait le minou. Cette fille adore le sexe il n’y a pas à dire. Après quelques coups je me déverse en elle et me retire.
Elle se retourne sur le dos jambe écarté et continue de se caresser le minou tout gonflé et rouge. Je viens l’aider avec ma langue et elle finit par jouir une fois de plus. Je pris un paquet de kleenex dans mon sac et entreprit de me nettoyer. Je bandais toujours mais je dois me remettre au travail.
Moi : je vais descendre en 1er. Je dois retourner travailler c’est mon chantier après tout.
Elle : je ne suis pas du tout rassasié cette fois mais j’espère qu’ont se reverras vite.
Je ne dis rien et sort. Je retrouve les autres finissais leur repas. Je mangeais rapidement le mien et le travail repris.
ELLIPSE DU RESTE DE LA JOURNÉE
Il est 21h. Comme convenu je suis garé dans le noir derrière non loin du supermarché. Ont descends et à pas feutrées on fini par atteindre les escaliers menant au bureau. Avec sa clé Lorette ouvrit.
Devant le bureau ont fit un instant surpris qu’il soit fermé à clé. Heureusement que j’ai mon petit outil pour crocheter les portes. Après quelques minutes ont entra. Je referme derrière nous avant d’allumer.
Lorette : je me rappelle de la pipe que je t’ai faite dans bureau le jour où elle à fait sa crise de jalousie à deux balles
Moi : si seulement elle savait qu’ont avait fait plus que parler le jour la. Rires
Bon cherchons d’abord le chéquier. Ont ne mis pas longtemps à trouver ce qu’ont voulais. Je retire 4 feuillets au hasard dedans. Je les mis en sûreté dans mon sac à dos et continue de fouiller un peu. Il n’y avait plus rien.
Lorette : ont peut partir alors bb.
Moi : pas encore. J’ai envi de finir ce que j’ai commencé se matin ici sur son bureau.
Je la tire vers moi. Elle portait toujours le chemisier du matin.
Je la fis asseoir sur le bureau et m’assit dans le fauteuil. Je relève le pieds du fauteuil de sorte à avoir ma tête au niveau de ses seins. Je les pinces et les triture à travers le chemisier.
Décidément c’est la journée mini jupe aujourd’hui. Je l’allonge sur la table met son minou à hauteur de ma bouche. Je la fit jouir avec ma langue avant de la descendre directement sur ma queue. Elle s’agrippe à mes épaules pendant que je la tiens par les hanches et la fit descendre sur ma queue. Après quelques minutes dans cette position je me lève et la retourne dans le Divan avant de la chevauchée intensément et profondément. Je ferme les yeux en imaginant les lourdes seins et la chatte dodue de ma nouvelle passion. Ont fini par jouir ensemble mais j’avais envie de l’autre.
Le trajet retour jusqu’à la voiture se fit en silence.
Une fois à la maison
Douche puis au lit. Demain est un autre jour.