Chapter 48
1496mots
2022-08-25 10:00
CHAPITRE 49
PDV LUCAS
Quand j’entre dans la chambre, elle était déjà complètement nue et à 4 pattes le regard droit devant elle. Je la contourne et me dirige vers un tiroir pour prendre quelques accessoires indispensables pour ce dont j’ai envie. Ensuite je lui demande de se lever et lui met un bandeau sur les yeux. Je la guide vers le pieds du lit. Il est a noté que mon lit dispose de 4 colonnes très solide fait sur commande avec des anneaux à chaque sommet des colonnes.

Au pieds du lit, il y a deux chaînes, un de chaque côté.
Je lui passe une menotte au poignet gauche que j’accroche à l’anneau prévu pour ça. J’en fait de même avec le poignet droit. Ensuite j’enchaîne chaque pieds.
Le résultat est qu’elle se retrouve bras et jambe bien écartés et bien entravé et complètement à ma merci.
Moi : dit moi ma biche, tu aime ?
Elle : j’adore être à tes ordres et je suis impatiente de te voir user de moi pour ton plaisir mon roi.
Moi : bonne réponse ma salope. Tu seras servit. Je lui pince durement les tétons et tire sans douceur. Elle gémit de douleur. Je pince encore plus de fort et elle crie encore plus fort. Mais plus je pince et plus je vois sa mouille qui commence à couler le long de ses jambes.

Je vois que tu aime ça.
Je monte sur le lit et de la main je fais pression sur sa tête pour que sa bouche soit à la hauteur de mon engin. Elle comprend automatiquement ce que j’attends d’elle quand ses lèvres touche mon engin. Elle commence à laper mais rate parfois ca cible vu qu’elle a les yeux bandés. Je presse sa tête et lui ordonne de sucer à fond. Je lui baise littéralement la bouche car j’en voulais plus et surtout je voulais lui faire mal.
Après quelques minutes je me déverse dans sa bouche et en bonne chienne elle avale tout.
Je m’éloigne d’elle un moment pour aller chercher une cravache. Les bonnes choses se prépare. Je reviens vers elle doucement pour qu’elle ne s’en rende pas compte. Cette fois-ci je vais m’allonger sur le lit et attire son bassin vers moi pour que son minou soit au niveau de ma bouche.

C’est mon point faible. J’adore le goût, l’odeur de sa chatte. Elle le sait. Je commence à laper ses lèvres puis à sucer son petit bouton avec tellement de plaisir et d’entrain. J’insère ma langue au fond d’elle et entame une ronde avec la langue. Elle gémit et se tortille. Je serre très fort ses hanche et j’aspire encore et encore. Je mords doucement, chatouille en soufflant puis recommence à aspirer. Après quelques minutes de se traitement elle se cambre et jouit en criant. J’avale tout, j’en redemande même. Je l’a nettoie avec ma langue. Après avoir fini je me lève et l’embrasse à pleine bouche pour qu’ont puisse mélanger nos goûts.
Moi : maintenant bb je vais te faire mal comme tu aime.
Elle : tu a mon accord. Fais moi pleurer de désir.
Moi : ne t’en fais pas. Je prends ensuite un torchon que j’utilise pour lui attaché la bouche, juste ce qu’il faut pour étouffer ses cris.
Sans perdre plus de temps le premier coup tombe sur sa fesse gauche, ensuite la droite. J’y vais avec force. Elle crie et se tortille dans tout les sens. Les coups pleuvent sans pitié partout. Son dos , son ventre, ses fesses, ses seins. je bande à en avoir mal.
Je passe de temps en temps une main entre ces cuisses et elle mouille de dingue la salope. Je prends une pause après 20 coups.
Elle : pitié ne t’arrête pas s’il te plaît. J’étais sur le point de jouir.
Moi : je sais et c’est Pourquoi j’ai arrêté. Je ne voulais pas que tu jouisse maintenant.
Je vais chercher un gode qui a la même taille que mon engin et reviens vers elle. Je me met à genou la tête entre ses jambes. Je lèche goulûment tout ce liquide. Tellement elle est mouillé que j’insère3 doigts d’un coup. Je tourne les doigts tout en suçant mon bonbon préféré. Lorsque que je sent qu’elle va jouir je m’arrête. J’insère le gode en elle et met le vibreur au niveau 4. Je caresse ses seins d’une main et me branle de l’autre.
Ont étaient en nage tout les deux. J’adore ces moments là. Je monte le niveau à 6 d’un coup et elle recommence à hurler de douleur parce qu’à partir du 5 le plaisir et la douleur sont mélangés. Après quelques instants je ramène au niveau 4.
Ensuite je vais lui enlever les menottes et les chaînes. Et la met à 4 pattes sur le lit le gode toujours en elle. Je veux accélérer le mouvement pour pouvoir me libérer moi-même . Je n’en peut plus de cette torture.
Je recommence mes coups de cravaches. Entre les coups et le gode elle ne sait plus où donner de la tête. Je m’approche de son petit trou et y insère 2 doigts. Je n’ai même pas besoin de gel. Sa mouille suffit amplement. Je prends quelques minutes pour préparer mon arrivé et d’un coup je plonge en elle jusqu’à je garde elle crie non stop. Heureusement qu’il je a le bâillon que je lui ai mis sinon le quartier serait là.
Je m’agrippe à ses hanches et la besogne férocement. Mon pénis touche le gode et ce dernier me transmet également les vibrations. Je ferme les yeux pour savourer pleinement se moment de pur délice. Je la sodomise pendant de longue minutes. Elle n’arrête plus de jouir. Elle pleure de plaisir et de douleur. Après 15min à cogner je me retire et éjacule sur ses fesses elle en prend sur le dos. Je la retourne et finit ma semence sur ses seins.
Le gode étant toujours en elle. Je m’agenouille ma tête au niveau de sa source et le lèche tout autour du gode. Elle se contracte automatiquement. Elle essaie de s’éloigner car après avoir jouir autant il y a plus de douleur que de plaisir.
Cependant je la maintiens fermement par les jambes. Je suce ses lèvres en tournant le gode en elle. Après quelques moments de se jeu je retire finalement le gode et elle jouit une dernière fois directement dans ma bouche pour mon plus grand bonheur. Je suis accro à cette chatte.
Enfin repus je m’écroule sur le lit et m’endors en un rien de temps.
A mon réveil il était déjà 15h. Lorette n’est pas à mes côtés. Je ne cherche pas à savoir où elle se trouve. C’est pas important. Pour le moment je suis très détendu. Je vais prendre une douche et à ma sortie je la trouve entrain de se passer de la pommade sur le corps pour ne pas avoir de cicatrice et faire disparaitre rapidement les douleurs.
Je viens l’aider à en mettre sur le dos. Je la prends dans mes bras et l’embrasse tendrement. Puis je m’habille .
Moi : bon je vais partir. Tu a été superbe comme d’habitude. Mais je meurt de faim. Fait toi livrer un bon plat et repose toi moi je passe au restaurant avant de rentrer. Ma femme est malade donc elle n’a pas préparer hier
Lorette : arrêtes de l’appeler ainsi devant moi. Tu me manques de respect. Pourquoi ont ne va pas au restaurant ensemble. Ont peut très bien être discret. De toute façon tu ne connais pas grand monde ici donc de quoi tu a autant peur ?
Moi : arrête ça, ne gâche pas se moment avec ta crise idiote. Tu connais les enjeux donc arrête.
Lorette : sinon quoi Lucien ?
Moi : (gifles). Je lui donne une gifle bien senti. Et sort sans un regard pour elle. Si seulement elle savait à quel point elle me fatigue. C’est juste que j’ai encore besoin d’elle et surtout que j’ai du mal à me séparer de sa chatte. Je n’y résiste pas du tout. Mais bientôt je vais en finir avec cette vie, avec elles toutes.
Plus je m’éloigne et moins j’entends ces pleures. Arrivé au portail je constate que j’étais mal garé. Dans ma précipitation je n’avais pas fait attention à la manière dont je me garais et maintenant voilà un 4x4 qui me bloque le chemin. Je m’adosse à ma voiture en espérant ne pas avoir à attendre longtemps le propriétaire de cette voiture. Heureusement pour moi à peine une minute plus tard un homme traverse la route et viens vers la voiture. Sans un bonjour pour moi il monte dans sa voiture et démarre.
Je ne perds pas de temps non plus et démarre. Je conduit sans destination précise et après quelques tâtonnements je me gare devant « LA CABANE DU Pêcheur » pour déguster un bon plat de poisson braisé accompagné de riz.