CHAPITRE 46
Sans lui laissé de répit je jette ma ceinture au sol et je plonge en elle en l’agrippant par la hanche. Je la défonce pendant pratiquement 20 min avant de jouir sur son dos car j’ai oublié de lui demander de sortir le préservatif dont elle avait parlé. Enfin je me sent plus détendu. Je prends une bière que j’ouvre et boit au goulot. J’ai bien fait de venir finalement.
Moi : tu est une coquine toi alors. C’est bien
Elle : et tu n’a Encore rien vue. Déjà que je ne suit pas rassasié…
Elle va dans la petite salle d’eau se trouvant dans le bungalow pour faire sa toilette. Elle revient s’allonger sur le lit une place qui est la sans s’habiller.
Moi : tu peux dégager maintenant. C’est bon
Elle : je part si je veux et de toute façon ni toi ni moi n’avions encore eu notre dose et tu le sait.
Moi : dégage je dis. Je n’aurais pas dû. Tu m’a trouvé dans un moment de faiblesse et c’est pourquoi j’ai succombé. S’était bien mais c’est bon.
Elle :….
Elle ne me réponds pas. Je l’ignore et m’allonge sur la chaise longue où elle m’avait trouvé. Tout en sirotant ma bière je fais le point sur mes projets d’avenir.
Bientôt des gémissements me sortent de ma torpeur. Je me retourne et je vois la vois allongé sur le dos, yeux fermés entrain de se masturber. Elle faisait entré et sortir 3 doigts de son vagin et de son autre main, elle se caressait la poitrine.
Malgré moi la situation m’excite mais je résiste.
Moi : qu’est-ce que tu fait ? Arrête et sort d’ici. Ma voix manque d’assurance et elle a du le remarquer.
Elle : j’ai envie de jouir et comme tu ne veux pas m’aider je le fais toute seule. Tu ne peux pas m’en vouloir.
Aller s’il te plaît je veux sentir ta langue sur ma chatte, tu en a aussi envie que moi il n’y a qu’à regardé la belle bosse dans ton pantalon.
En effet je bandais et je ne pouvais pas le cacher.
Moi : NON
Elle : ok, tu peux me regarder faire si tu veux sa ne me gêne pas. Tu peux aussi te masturber en me regardant histoire de te soulager. Ont pourras se donné du plaisir ainsi.
Elle recommence à se doigté et à léchée sa propre semence en me regardant dans les yeux. Elle pris l’oreiller et le mis sous son bassin et écarte plus les jambes me donnant une vue plongeante.
Comme si j’étais guidé je me rapproche plus près la bite en main en me caressant. Ont se caressait en se regardant dans les yeux et s’était vraiment électrisant.
Elle : je veux jouir, aide moi s’il te plaît.
Je me mis entre ses jambes et plonge en elle. Je l’ai baisé pendant presque 45 min dans toutes les positions qui me sont venus en tête. Je n’ai eu aucun égard pour elle. Elle a adoré.
A la fin elle voulait échanger nos contacts mais j’ai refusé. Je me rentre prendre une bonne douche chez moi avant l’arrivée de Mme ma femme.
Je suis bien repu donc je ne vais pas la toucher. Je vais néanmoins essayer d’arrondir les angles en commandant à manger. Je ne dois pas perdre de vu mon objectif final.
PDV MILLY
Comme je m’y attendait Claude et Céline ont été surpris de me voir au bureau. Ils ne m’attendais pas avant une semaine.
Céline : boss c’est toi ?
Moi : non Mohammed Gandhi. Rires. Ont a du rentrer plutôt car Lucas a été appelé par un client en urgence.
Claude : en tout cas bon retour ont se vois tout a l’heure. Il y a un courrier des impôts qui est venu le vendredi et ta présence tombe bien. Je reviens vers toi d’ici 1heure de temps
Moi : hum, ok
Céline : Boss, il y a le dossier….
Moi : et c’est parti. Je ne vais pas me plaindre. Cet ambiance m’avais manqué.
Claude débarque 1h de temps plus tard comme il l’avait dit. Mais avec 2 cartons de dossier avec lui.
Les impôts ont demandé une copie de chaque conteneur reçu sur la période des trois dernières années.
Seigneur.
Claude : il reste encore 10 cartons boss. Je t’amène les 2 premiers pour que tu vérifie. Enfaite ont n’est à jour mais j’aimerais qu’ont vérifie un a un pour voir si le nombre correspond au nombre que j’ai saisie dans mon ordinateur. Faudrait pas qu’on fournissent les dossiers sans contrôle et que c’est à leur niveau qu’ils trouvent des incohérences. Surtout les factures, ont doit faire attention à elles. Donc voilà un premier lots de carton pour toi. Je t’ai imprimer les chiffres que j’ai dans mon ordinateur. Tu compares et s’il y a différence tu m’appelles. Je serai aussi entrain de vérifier d’autres cartons. Si tu fini tu viens prendre d’autres cartons chez moi. Ont doit leur répondre au plus tard jeudi matin. Du coup bon arrivé Big Boss. Lool
Je serai dans mon bureau.
Il s’en va en me laissant les yeux écarquillés de surprise devant le travail qui m’attend.
J’ai vraiment bien fait de revenir. Sans plus tarder je me met au travail. A l’heure de la pause Claude et moi décidions de continuer notre travail sans pause. Je demande à Céline de nous commander à déjeuner.
Je remarque vite fais son échange avec Claude. Leur langage corporel m’interpelle mais bon, je laisse cela de côté pour le moment. En tout cas qu’il ne la fasse pas souffrir hein sinon…
ELLIPSE DU RESTE DE LA JOURNÉE
Il est 20h30 et je suis crevée. Toute la journée le nez dans les cartons. Ont a fini une année.
Maintenant qu’ont a trouvé un bon rythme je pense que demain ont iras plus vite.
Je tombe de sommeil, je ne vais donc pas attendre et faire la fermeture avec Céline. Je leur dot au revoir et sort. Une fois au volant je repense à l’autre zouave qui m’attend à la maison. Je n’ai pas la force de préparer quoi que ce soit. Je veux juste dormir. Pauvre de moi, les autres ont mari moi c’est arnaqueur je vais prendre.
Je secoue la tête pour chasser mes idées noires et me concentre sur la route.
20 min plus tard je me gare devant mon portail et sort pour ouvrir. Je suis prise de court par Lucas qui m’ouvre le portail donc je rentre directement au Garage. Je sort de la voiture et lui fis une bise rapide avant de tenter au salon. Je continue jusqu’à ma chambre sans m’arrêter. Le peu d’énergie qui me reste c’est pour la douche.. je me déshabille et file sous la douche. En sortant je le vois assis sur le lit.
Je vais faire ma routine beauté pour la nuit et enfile une nuisette avant de me coucher.
MARDI MATIN
Mon réveil n’arrête pas de sonner. J’ai voulue l’éteindre et remettre le drap sur la tête mais je me suis rappelée des impôts et je me suis finalement levée rn maugréant. Je file prendre une bonne douche je me vêtit d’un jean taille noire, bottines à talons noir et chemise Blanche. Léger maquillage puis je prends mes clics et mes clacs et let’s go. Lucas dormais toujours. En regardant dans le panier a linge se matin je vois que le jeans qu’il a porté hier était taché de sperme. Force à lui(Encore un bon point à mon avantage pour le maintenir à distance jusqu’à mon départ). Je ne prends même pas la peine de lui faire à manger. Je lui laisse un message WhatsApp : la prochaine fois laisse ton pantalon taché de sperme là où tu a éjaculé. En tout cas tu bat le record de la tromperie. Même pas un mois après le mariage. Tu me déçoit.
En route je fais escale à ma pâtisserie pour nous prendre de quoi faire un petit déjeuner copieux puis direction bureau. Je suis arrivée au même moment que Claude, grande fut ma surprise en voyant Céline descendre de la voiture. Leurs maison respectives n’est absolument pas sur le même tronçon. Humm
Moi : bien le bonjour chers collaborateurs
Céline, Claude : bonjour boss
Je n’arrêtait pas de sourires et les deux gugusse ne savaient pas où se mettre.
Moi : Céline, ouvre s’il te plaît. Ont est venue pour travailler. Rires.
Toi et moi ont va parlé quand j’aurais fini avec les impôts.
Elle se dépêche d’aller ouvrir et nous entrons suivit du reste de l’équipe.
Je lui demande de nous faire du café pour qu’ont puisse se mettre au travail. Je l’invite également à piocher dans le paquet de friandises si elle est intéressée.
Après cela, elle retourne à son bureau pour commencer sa journée tandis que Claude et moi plongeons dans nos vérifications.
Nous travaillons sans répit jusqu’à l’heure de la pause. Claude demande à faire un break à l’heure de la pause et manger. Moi je aussi j’en ai besoin surtout avec cette terrible migraine qui me terrasse. À travers la porte ouverte, Je vois Céline qui Attends Claude dans le couloir quand se dernier sort de mon bureau. J’ai tellement la migraine que mes yeux larmoient. Je leur demande de me rapporter un plat de riz au sauce de poisson frais et ils partent en fermant derrière eux.
Je prends mon sac histoire de prendre la dernière plaquette d’antidouleurs. Il ne me reste que 4 comprimés. Je fouille dans le sac en vain. Je me rappelle finalement que j’ai changé de sac se matin et avec la découverte du pantalon de Lucas il y a pleins de trucs que j’ai oublié de mettre dans le sac que je garde aujourd’hui. Je décide de me lever pour allée m’allonger sur le canapé en espérant que la migraine passe, cependant à peine j’ai contournée la table que je suis prise de vertige et je m’écroule.
Quand j’ouvre les yeux je vois que 20 min sont passées. J’ai eue vraiment peur pour ma vie et je décide de ne plus rester seule à la pause ou de ne même plus prendre le volant. Si s’était sur la route que j’avais fait se malaise je n’ose imaginée les conséquences. J’appelle Francis en pleure pour lui expliquer ce qui venait de m’arriver. Il m’a tellement bombardé de questions que j’ai regretter sur me coup de l’avoir appelé. Il raccroche et me rappelle en vidéo pour voir si j’allais bien. Après lui avoir fait promettre d’aller voir le médecin tout à l’heure et surtout de me ménager jusqu’à mon arrivé en France il finit par raccrocher. Je m’allonge finalement sur le canapé en attendant de retrouver complètement mon calme. Le bip de mon phone m’annonce un message. Croyant qu’il s’agit de Francis je prends le phone pour lire et s’est Lucas
Lucas : quand tu te refuse à moi à quoi t’attends tu au juste ?De la façon dont je te déçois, dit toi que tu me déçois également. Néanmoins j’aimerais qu’ont ramène la balle à terre et qu’ont discute comme ont le faisais si bien avant. Je t’attends avec impatience à la maison se soir. Kiss
Pffft, je ne pris même pas la peine de lui répondre. Je dépose mon phone et m’endors tellement cette migraine m’a vidé.
Des coups impatient frappés à ma porte me réveil. Il m’a fallu quelques secondes pour me réveiller complètement. La porte s’ouvre avec violence juste au moment où je m’apprêtais à demander à la personne d’ouvrir.
Dine : Seigneur tu va bien Milly ? pour la deuxième fois de ma vie j’étais terrorisé et je te le dois encore. J’ai reçu l’appel de Francis me demandant d’aller te chercher pour t’amener à l’hôpital. Je t’ai donc appelé pour te prévenir que j’étais en route mais tu n’a je décrocher. J’ai roulé comme un fou pour venir me retrouver devant la boutique fermée. J’ai donc appelé Céline pour lui demander de venir m’ouvrir.
Céline : Boss tu va finir par nous faire pousser des cheveux blancs avant l’âge hein.
Claude : c’est de ma faute. Je n’aurais pas dû te demander de m’aider à vite finir se boulot.
Moi :je pris le bras de Dine pour qu’il se calme tellement ça se voyait qu’il était en panique.
Calmer vous tous. Je m’étais endormie le temps de bien me retrouver et attendre l’ouverture avant d’aller à l’hôpital. Francis n’aurais pas du te déranger Dine. Excuse moi pour la frayeur causée et vous aussi. Claude tu n’a pas à culpabiliser voyons. En tant que patronne je dois pouvoir participer à tout. C’est juste que l’accident dont j’avais été victime à causé un œdème qui ne s’est je résorbé et donc je suis sujette à de terrible migraine quand je reste trop concentrer sur un travail. J’en profite aussi pour vous annoncer qu’à je fin de la semaine prochaine je vais voyager pour me faire soigner.
Bon j’espère que vous avez pas oublié mon repas car je meurt de faim. Au faite Céline, c’est Claude qui risque de te donner cheveux blancs
Claude : boss, voici ton plat. Bon appétit. Moi je retourne au travail. Heureusement qu’ont avait déjà fini le travail à 80%. Je vais finir le reste cet après-midi.
Demain je vais rédiger le courrier de à joindre au rapport et je te le ferai lire et tu va signé. A plus mec
Moi : il sort en faisant une tape sur l’épaule de Dine.
C’est ça fuit…
Céline : bon, et bien. Boss à plus tard..
Moi : c’est ça. Rires
Je m’attaque sans plus tarder à mon repas. Dine m’observe en silence pendant que je mange. Je n’y tient finalement plus
Pitié Dine arrête de me regarder avec autant d’insistance. Je finit de manger et ont iras voir le docteur d’accord ? D’ici la je ne vais pas m’évaporer. Regarde un peu ailleurs. Ton phone, la télé…
Dine : tu n’a vraiment aucune idée de se que tu représente pour moi et de la peur que j’ai ressenti. Je te laisse mangé. Je vais faire un tour et je reviens.
Moi : je n’ai pas le temps de dire un mot qu’il sort du bureau complètement vexé. D’ailleurs qu’est ce que j’aurais pu dire même. En tout cas Je suis désolée de l’avoir vexé.
Tout ceci est de la faute de Francis. Pfft
Je fini de manger et j’attends le retour de Dine. Déjà 30 min que je l’attends quand la porte s’ouvre.
Moi : tu est là, allons-y je suis...
Je n’ai pas fini ma phrase car à la place de Dine c’est Raï qui est là.
Raï : allons-y on parlera en chemin. Et fais vite je suis énervée.
Moi : hein !
Je ne dit rien et la suit comme un enfant pris en faute et grondé par sa mère.
Je signale mon départ à Claude et Céline. Je ne compte par revenir au boulot après l’hôpital
Une fois dans la voiture de Céline..