CHAPITRE 27
Lucas : mon oncle j’ai fait au plus vite après ton appel. Rentrons nous asseoir pour discuter.
L’oncle : parlons ici. Juste après t’avoir appelé j’ai reçu un appel que j’attendais depuis quelques jours donc je suis entrain de sortir comme cela. Étant donné que c’est moi qui t’avait appelé je ne voulais pas annuler. Bon voilà je te fais le résumé vite fais. Je suis allé à la mairie principale mais le maire n’est pas disponible. Son premier adjoint non plus. Il est déplacement. Le 2nd adjoint par contre est disponible. Il m’a donné deux dates de disponibilité selon le calendrier de la mairie. Le vendredi 23 soit dans 3 semaines ou le vendredi 30 donc la balle est dans votre camp. Mais donné moi vite une réponse pour que je le lui communique. Faudrait pas que d’autres couples bloque les deux dates restantes de ce mois. J’ai fait ma part les jeunes donc je vous laisse.
Moi : le 30 est bon
Lucas : le 23
Ont parla au même moment
L’oncle : essayé de vous entendre sur un choix.
Moi : ont s’est rencontrer un 30 c’est pourquoi je choisis le 30. Même si ce n’est pas le même jours.
Lucas : tu a raison bb. Ça seras le 30 alors. Mon oncle ont iras voir les parents de Milly demain pour le leur dire.
L’oncle : ça me va. Bon je dois partir. À demain cher neveu.
Moi : il part sans même un petit au revoir pour moi. Je ne sait pas ce qu’il a contre moi. Mais chaque fois que je fais la remarque à Lucas il trouve que j’exagère. J’ai donc arrêté de vouloir comprendre. Car si ça ne tenait qu’à moi j’irai lui demandé de quoi il en retourne. Mais bon ont ne se nourrit pas mutuellement donc je me fiche au final de son avis sur moi.
Bb je vais appeler mes parents pour leur parler. Le plus tôt serait le mieux comme tu doit passer les voir avec ton oncle demain. Faudrait pas qu’ils soient pris au dépourvue une fois de plus.
Lucas : tu a raison faisons ça
Moi : je monte dans la voiture afin de passer l’appel. Lucas décide de me laisser d’espace et de profiter pour entrer salué la femme de son oncle. Je hoche la tête pour approuver et lance le numéro de maman.
Mme SOSSOU : cc ma puce, comment tu va ? Et ton mari tout se passe bien pour lui là bas ?
Moi : je vais super bien maman. Lucas est rentré hier et il m’a fait une petite surprise c’est la raison pour laquelle je vous appelle immédiatement pour vous en parler.
Mme SOSSOU : ah bon ? Bon retour à lui alors. Mais je suis curieuse concernant cette surprise. Ton papa est à côté de moi. Je vais passer l’appel en mode haut-parleur pour qu’il puisse entendre au moment que moi.
Moi : c’est parfait. Cc papa comment tu va ? Comme je le disais à maman Lucas est rentré hier et se matin il m’a fait la surprise en disant qu’il avait demandé à son oncle de se renseigner sur la disponibilité de date à la mairie. L’oncle vient de nous revenir. Selon la mairie si ont tient à se marier se mois ont a le choix entre le vendredi 23 ou 30. D’un Commun accord on a retenu le 30. Ont auras le temps de faire les préparatifs. De plus Lucas va passer vous voir avec son oncle histoire de vous le dire de vive voix et aussi de vous présenter son oncle comme il était absent lors de la cérémonie de dote. Je ne pouvais pas attendre demain pour vous annoncer la bonne nouvelle. Je suis trop contente. Donc voilà.
Les parents : ma fille si tu est heureuse nous ont te soutiens. Ta mère et moi avions déjà compris que toi et ton Lucas faite les choses vitesse donc ont n’est pas surpris. J’espère que tu n’oubliera pas de prévenir Francis. pour le mariage religieux vous avez déjà une date ? Vous savez qu’avec l’Eglise c’est pas votre volonté qui passe. Il y a beaucoup d’étapes donc décidé vous vite.
Moi : rires. Merci papa. Et non t’inquiètes pas. Je vais parler à Francis aujourd’hui. Par contre pour le religieux Lucas et moi avions discuté et convenu qu’ont le ferais un an plus tard le temps de vivre ensemble et de mieux se découvrir. Tu sait que le mariage religieux est sacré papa. Et ont ne veut pas courir plus vite que nos pieds ne nous le permettent.
Les parents : Alléluia Alléluia. Je suis très d’accord avec toi pour une fois depuis le début de toute cette relation. Pour une fois vous être censé.
Moi : rires. Papa tu me vexe presque. Mais comme je suis trop contente aujourd’hui je ne vais pas me fâcher.
Demain je ne serai pas avec Lucas. J’ai du boulot. Mais je passerai en fin de semaine pour qu’avec maman et Raï ont commence par tout organiser.
Mme SOSSOU : ok chérie faisons comme cela.
Ont échange quelques banalités et je raccroche. Je réalise que Lucas n’est toujours pas de retour. Son bonjour est bien long dit donc. Je vais l’appeler car je ne veux pas entrer. La femme de l’oncle a le même comportement envers moi que son mari. Je lance donc le numéro de Lucas et dès qu’il décroche je raccroche aussitôt. Deux minutes plus tard il est la.
Il rentre dans la voiture et démarre.
Lucas : je m’amusais avec ma nièce donc je n’ai pas fait attention au temps. Avec les parents ça a été ?
Moi : tu aime les enfants alors.
En posant la question je me rends compte que les parents ont raison. A ce stade de la relation je devrais déjà connaître la réponse. C’est un peu grave quand même.
Lucas : pourquoi tu a l’air pensive d’un coup ? Il y a eu un soucis avec les parents ?
Moi : non pas du tout. Ils étaient contents et ils t’attendent demain avec ton oncle.
Lucas : super alors. Et pour en revenir à ta question. Oui j’aime les enfants et ont en auras un jour mais je veux encore profiter de toi un ou deux ans.
Moi : ah bon ? Mais et si je ne veux pas attendre aussi longtemps ? N’oublie pas que j’ai 3 ans de plus que toi bb.
Lucas : c’est vrai. Tu fais tellement plus jeune que j’en oublie ton âge. De toute façon ce n’est que 30 donc tu peux bien attendre quelques années de plus avant d’avoir un enfant. La science a évolué bb et tu le sait.
Moi : srir. Tu a raisons mais je veux vite commencé pour vite finir et pouvoir me consacrer à toi mon adorable mari.
Lucas : vu comme ça tu a raison.
Nous rions et poursuivit la conversation sur des prénoms d’enfants plus débiles les uns que les autres. Bien vite on arrive au fast-food où nous commandons nos plats.