CHAPITRE 19
DIMANCHE
Lucas et moi sommes allés annoncé la nouvelle à mes parents. Je fus déçu de leur manque d’enthousiasme évident, surtout ma mère. J’ai crue qu’elle adorait Lucas ou est-ce que j’ai mal compris ?
Moi : cacher votre joie je dit d’un ton acerbe.
Mme SOSSOU : ne te fâche pas ma chérie. C’est juste que la surprise a pris le pas sur la joie. Avouez que vous les jeunes vous aimez allé vite en besogne. A peine 8 mois que vous vous fréquenter et déjà vous faite une fête de fiançailles. A cette allure le mariage risque d’être dans la semaine prochaine. Ne le prends pas mal chérie tu sait que j’adore Lucas. Ton père et moi sommes juste pris de cours. Francis est-il au courant ?
MR SOSSOU : je suis déçu ma fille. Donc comme ça nous n’avions plus de valeur à tes yeux c’est pourquoi tu ne l’a pas envoyé vers nous pour qu’il nous demande d’abord ta main avant toute chose. Comme ceux qui comptent pour toi étaient présent pourquoi prendre la peine de venir ici. Envoyer nous le fairepart de mariage par mail et nous verront si nous Pouvons venir.
Lucas : toutes mes excuses Papa. Je reconnais ne pas avoir bien géré la situation. Même Milly n’était pas au courant. C’est moi qui ai tout organiser et appelé ses amis dans son dos. Je lui ai fait la surprise hier. Je suis vraiment navré de la peine que je vous ai causé. Ce n’était absolument pas mon intention.. je vous demande de trouver la force de me pardonner pour le bien être de Milly que nous aimons tous ici.
Moi : je me mis à genou devant mon père en pleurant.
Excuse moi papa. Même si s’était une surprise j’aurais dû lui demandé s’il vous avais contacté. Dans le feu de la demande je n’y ai pas pensé. Si tu veux que je lui rende la bague le temps qu’il refasse les choses dans l’ordre je le ferai papa.
*Je me tourne ensuite vers maman.
Excuse moi maman.
MR SOSSOU : lève toi ma fille. Ce qui est fait est fait on n’y peut rien. Pleuré ne va rien y changer. Tu dit être financé mais toi seule le reconnais comme fiancée. Je ne accepté pour financé de ma seule et unique fille un homme dont je n’ai jamais rencontré la famille. Personne ne s’est présenté à nous au nom de ce jeune homme pour me demandé ta main. Donc jusqu’à preuve du connaître Pour moi tu a juste un homme que tu fréquente sans plus. J’attends sa famille et aussi sa mère. Qu’il vienne se présenter puis demandé avec les intentions de leur fils. Ensuite que le fils en question vienne à son tour demander la liste de la DOTE et avec ton consentement je la lui donnerai et le reste suivra son cours.
Ma fille nous sommes en Afrique. Tu n’est pas tombé d’un arbre et tu connais la procédure. Alors ne vient pas me parlé de « feu de la demande ». Tu me déçoit sur ce coup ma fille. Au nom de quel sorte d’amour même ?
…. Je suis vraiment énervé et déçu et aussi inquiet que ce Lucas veuille tout précipité autant. Ce qui m’inquiète le plus c’est le pouvoir qu’il semble exercé sur ma fille. Je prit la main de ma femme et nous montions dans notre chambre en les laissant au salon.
Lucas : j’ai vraiment merdé sur ce coup. Merde merde merde. Ma mère qui n’arrête pas de remettre à demain sa visite sous prétexte que Milly et sa famille doivent être conscient que je ne suis pas acquis. Pfft
Ma mère et sa logique tordue.
Je regarde Milly qui a un visage neutre, ce qui me fait peur. J’arrive pas à savoir à quoi elle pense.
Dit quelque chose chérie please
Milly : la honte que je ressent actuellement n’a pas de nom. Mon père a entièrement raison. Plus j’y pense et plus je suis en colère contre moi-même et contre Lucas et sa mère.
Chéri tu a une semaine pour que ton oncle et ta mère vienne voir mes parents. Passé ce délai je te rends ta bague. Je n’ai jamais ressenti la honte que je ressent actuellement. Mes parents sont déçu et ça, tu vois c’est de la torture pour moi. Je ne te condamne pas entièrement. J’ai aussi mes torts. Donc voilà si ton amour est vrai Tu fera ce qu’il faut. En attendant le mieux est que chacun se concentre sur son travail. Je t’aime mais si seulement l’amour suffisait beaucoup de choses seraient différentes dans se monde. Tu peut rentrer chez toi je vais prendre un taxi.
*Dès que j’ai finie de parlé j’ai pris le chemin du portail. Je ne voulais pas qu’il voit que je pleurais encore.
Lucas : le pire que je craignais est arrivé. Même un coup de poing dans la poitrine ne m’aurait pas fait autant mal. Je n’ai même pas le temps de me remettre de ce qu’elle vient de dire qu’elle se dirige vers le portail. Je l’appelle mais elle fait la sourde oreille. Je me hâte de démarrer la voiture de de mettre devant elle au bord du la route.
Monte s'il te plaît je te dépose.
Écoute chérie tu est en colère et je te comprends. Je m’en veut de ne pas avoir su bien faire les choses. Mais c’est pas pour autant qu’ont va se faire la guerre. Je t’ai amené ici je te ramène chez toi. Je ne dirai pas un mot pendant le trajet je te le promets.
Heureusement elle finie par monter dans la voiture. Comme promis je la dépose devant son portail en silence et démarre dès que le portail se referme sur elle.
PDV MILLY :
Lucas a tenu parole et m’a déposé chez moi en silence. Je me sent tellement mal sue j’ai passé l’après midi à pleurer. Francis m’a appelé pour savoir comment j’allais car maman lui a raconté ce qui s’était passé. Il a fait de son mieux pour me donner le sourire mais rien. J’étais prostré dans le canapé du salon depuis mon retour. Je fini par me lever et prendre une douche avant de me jeter sur le lit. J’entends mon phone sonné quelques part dans la chambre mais aucune envie de me lever pour chercher. Il doit être dans mon sac. Heureusement que l’appel s’est arrêté. Quelques minutes plus tard ça recommence. Je suis bien obligée de me lever et d’aller cherché le phone dans le sac. C’est Raï qui appel. Je suis sur que Francis a appelé Andy qui a son tour a demandé à sa femme de m’appeler. Je suis tentée d’ignorer l’appel mais la connaissant elle ne va pas arrêté. Je soupire et décroche
Raï : enfin Milly. Tu est où ? Francis a raconté ce qui vient de se passer à Andy. Il est inquiet pour toi le pauvre. Excuse moi de remuer le couteau mais comment peut tu être aussi lascive quand il s’agit de Lucas. Quand Andy me demandais de l’épouser tu était celle qui lui mettait la pression pour aller voir mes parents car s’était la règle. Alors je ne comprends pas. Dit quelle que chose ma chérie. Je ne comprends pas ta hâte à épouser ton Lucas.
Moi : si tu savais comme je me sent honteuse en se moment. Tu a raison sur toute la ligne. Mais comprends moi. Je ne veux pas le perdre tu sait. Il est beau, talentueux avec un avenir prometteur et surtout trois ans plus jeune que moi. Je ne veux pas prendre le risque de le perdre en faisant trop la difficile. Je suis fatiguée de mon statut de célibataire et de la pression que tout le monde me met d’une manière ou d’une autre. Mais bon j’ai retenue la leçon. Je me sent tellement mal si tu savais sœurette.
Raï : ….. je m’excuse de t’avoir accablé encore plus avec mes reproches mais il le fallait. Je peut comprendre ton point de vue mais sache que personne ne te force ou ne te presse à être en couple si tu n’en a pas envie ou si l’homme ne remplit pas les conditions. Le plus important est ton bonheur et ont te soutiendra toujours quelque soit ton statut. Et surtout tu est encore jeune et très belle. Donc relâche la pression ma fille. Prends du recul et allez y étape par étape. Laisse passer quelques jours et va voir tes parents pour t’excuser. Je suis sur qu’à l’heure actuelle tes parents se sont déjà calmer.
Moi : tu est la meilleure tu sait. Merci d’être toujours la pour moi. Je t’adore. Bisouuuus
Raï : moi aussi ma bichette. Bon mission accomplie je te laisse. Pleins de bisous et repose toi bien.
***Après avoir raccroché je descends me réchauffer au four une pizza que j’avais acheté la veille. Je déguste morceau après morceau en regardant une émission à la télévision.
Très vite 23h sonna et je me mit au lit car boulot demain.