CHAPITRE 17
ELLIPSE DE DEUX SEMAINES
La fin du mois est vite arrivée et actuellement nous sommes en route pour le Togo. Comme ce n’est pas loin ont a décidé d’y aller en voiture. Donc nous Voici sur la route se Vendredi matin avec Lucas au volant. J’ai laissé la boutique aux mains de Céline. Cette fille est une perle. À la fin du semestre je vais discuter avec le comptable sur la possibilité d’une augmentation de salaire pour elle.
Bb tu pense à Quoi me demande Lucas ?
Moi : excuse moi je pensais à tout le travail supplémentaire que je fais faire à Céline. Je me disais que j’avais de la chance de l’avoir.
Tu lui fais confiance et heureusement elle te le rend bien. C’est rare de nos jours. En tout cas je suis aussi contente quelle soit si compétente et digne de confiance me permettant ainsi de profiter de plus de temps avec toi me répond t’il.
Moi : en effet ont a de la chance. Dit bb tu es sur que ça ne dérange pas ta mère qu’ont s’installe à l’hôtel plutôt que chez elle ? Je ne veux pas quelle pense que j’éloigne son fils d’elle déjà que tu t’es installer à Cotonou sur un coup de tête.
Chérie arrête de pensé à tout cela. Je t’ai déjà dit que ma mère nous attend pour demain samedi. J’ai juste voulue qu’ont profite un peu l’un de l’autre loin de ton travail et de mon ordinateur. Ces deux dernières semaines tu étais très occupée avec des problèmes de douane et impôts à géré donc déstresse bb et ne dit plus jamais que je me suis installé à Cotonou sur un coup de tête. Tu n’es pas un coup de tête donc Silence.
Moi : ok chéri c’est compris tu a tout à fait raison. Je ne parle plus. D’ailleurs.
J’aime mieux ça. Tu es plus magnifique en silence . D’ailleurs ont y est presque. Je suis fatigué d’avoir conduire. Tu va me masser femme.
Moi : rires ok pour cette fois tu auras droit à un massage.
Ont rigola et le reste du voyage se passa en silence. Une fois à l’hôtel ont pris nôtre clé à la réception direction la chambre. Lucas fonce dans la douche et après vient s'allonger sur le ventre en attente de son massage. Je pris aussi une douche et mis une nuisette en dentelles qui ne cache rien de mon anatomie et qui en plus est ouverte derrière. Je me mets à califourchon sur ses cuisses et commence le massage. Je lui masse les épaules et tout le dos jusqu’en bas du dos. Je répète l’exercice jusqu’à ce qu’il soit plus détendu. Je le retourne sur le dos et m’attaque à sa poitrine. Il ne s’agit plus de massage hein qu’on se dise la vérité. Je lui caresse la poitrine en pinçant légèrement ses tétons. Il aime sa à voir la réaction de sa queue contre ma cuisse. Je sème de petits bisous léger sur toute sa poitrine, son visage, ses cuisses en évitant son engin qui ne fait que prendre du volume. Il essaye de diriger ma tête mais je résiste. Calme toi bb et laisse moi faire je lui dis. Je continue mes caresses sur tout son corps en effleurant du bout des doigts son gland. Je fini par lui donner un premier coup de langue sur tout la longueur de sa queue sans y toucher. Il gémit directement. Cela me donne plus d’assurance. Un autre de lèche et d’autres suivirent avant que je ne le prenne dans ma main pour le branler tout en suçant le bout avec rapidité. Très vite il se cambre sur le point d’éjaculer. Mais très vite je me retrouve sur le dos et sa tête entre mes cuisses sa langue au fond de mon minou. Il me baise avec sa langue en effectuant des mouvements circulaires sur mon clitoris avec son pouce. Il continue cette délicieuse torture encore quelques minutes et je joui en m’agrippant à ses épaules. Sans attendre il m’ordonne de me mettre à quatre pattes et s’enfonce en moi. Il garde un rythme soutenu jusqu’à ce qu’ont jouissent ensemble. Ont s’écroules sur le lit le temps de reprendre nos souffles. Lentement nous nous endormons. C’est la faim qui nous réveille et ont décide d’aller faire un tour en ville pour manger.
LENDEMAIN 12H
Ont est garé devant la maison de Lucas et je n’ai pas envie de descendre tellement je stress.
Bon bb ressaisit toi sinon je te porte sur les épaules pour faire une entrée mémorable. Tu a le choix. Soit tu entre sur tes deux pieds soit sur mon épaule. Me dit Lucas alors qu’il tenait ma portière ouverte et que moi je ne voulais pas sortir.
Sa menace eu le don de me faire sortir et ont entra finalement dans la maison. Une domestique nous installe au Salon en disant que maman est à la cuisine. Lucas décide d’aller la chercher en me laissant seule. J’en profite pour observer autour de moi. La maison est grande mais assez mal décoré à mon goût. Les agencements de couleurs et meubles ne vont pas de paire à mon avis. Je la trouve trop ostentatoire. On dirait une maison témoin juste pour en mettre plein la vue aux visiteurs. Pas de cadre photos comme chez mes parents. Mais bon chacun ses goûts je ne doit pas jugé.
Mme FOLLY : ma maison te plaît ? Bonne arrivée dans mon palais ma fille.
Moi : je sursaute en attendant cette voix derrière moi. Je me retourne et me retrouve nez à nez avec une femme d’environ 50 ans qui de part son maquillage montre qu’elle ne compte pas vieillir. Lucas ne lui ressemble en rien. Elle a un air un peu arrogant. Malgré son sourire j’avais l’impression qu’elle me narguait. Et puis c’est quoi son problème à me vanter sa maison ? Niveau goût elle n’a qu’à demandé conseil à son fils. Je me ressaisis vite et chassa l’agacement qui pointait son nez. Il Ne faudrait pas que je fasse tout capoter avec mes manières.
Bonsoir maman, ravit de vous rencontrer. Lucas n’arrêtait pas de me parler de sa maman chérie et moi j’avais hâte de vous rencontrer. Et oui votre maison est magnifiquement décorée tel un palace. Je débitai toute cette platitude en gardant un grand sourire éclatant sur le visage. Cette bonne femme m’a fait un effet très négatif. J’y peux rien.
Je m’approche d’elle la prends dans mes bras.
Mme FOLLY : (d’où mon fils sort cette pimbêche avec son air arrogante ? Et j’ai comme l’impression qu’il est vraiment amoureux. Humm. Attendons de voir.)
En attendant ma « belle fille » m’embrasse et je fais pareille.
Passons à table mes enfants. Vous devez avoir faim. Vient ma chérie aide moi à porté les plats de la cuisine. Je vous ai concocté un bon plat de sauce de poisson frais accompagné de riz, vous m’en direz des nouvelles.
Moi : en disant cela elle me prit les bras d’autorité et nous laissons Lucas derrière nous. Une fois dans la cuisine, entièrement équipée comme celle d’un chef étoilé , elle lâche ma main. Ce n’est pas exagérer tout ceci ? Je me retiens de lui posé la question.
Mme FOLLY : enfin seule à seule. J’avoue avoir été surprise quand il m’a dit vouloir s’installer à Cotonou pour soit disant mieux connaître son pays d’origine. Je savais qu’une femme devait se cacher derrière tout cela. Et j’avais raison. Quand il a commencé à me parler de toi sans arrêt disant qu’il a trouvé l’amour de sa vie j’étais heureuse et inquiète à la fois tu sais. Heureuse d’avoir des petits enfants bientôt et inquiète qu’il ne soit tombé sur une écervelée qui va juste le vidé. Il est tellement naïf parfois mon bb. Mais je suis rassurée maintenant en te voyant. Tu à la tête sur les épaules et en plus chef d’entreprise selon les dires de Lucas. Donc bienvenue dans la famille FOLLY ma fille. Je vais faire le programme et venir connaître tes parents bientôt.
Moi : je me suis retenue de rire quand elle a traité Lucas de naïf. Rien de naïf en ce Mr. Mais bon je comprends ces inquiétudes de mère et je suis émue par le faîte qu’elle m’ait accepté. Enfin la boucle est bouclée comme on dit. Je peux mieux respirer. Je la pris dans mes bras cette fois avec plus de sincérité. Malgré son excentricité et son goût exorbitant du luxe tape à l’œil elle aime son fils est c’est le plus important selon moi.
Vous venez ? J’ai faim moi. Aah les femmes ! L’appel de Lucas nous fit rires et nous prenons les plats et nous rendons au salon.
Lucas : vous avez oublié ma présence ou quoi ?
Moi : mais non chéri. Excuse nous accord. Je viens de rencontrer ma nouvelle maman donc c’est normal qu’ont apprennent à ce connaître. Attends je te sers. J’ai appris que tu aime tête de poisson.
Mme FOLLY : eeh bien je comprends pourquoi Cotonou est subitement devenu doux. Il y est traîté comme un prince. J’en suis ravie en tout cas. J’étais aussi au petit soin de mon mari avant que la mort n’en décide autrement.
Lucas : tu n’a rien vue maman. Elle me chouchoute tellement. Je suis le plus chanceux des hommes.
Le repas se passa dans une très bonne ambiance pour mon plus grand bonheur.