CHAPITRE 13
PDV DINE
Ça fait un mal chien de voir la femme que tu aime dans les bras d’un autre. Je me suis retenu pour ne pas lui coller mon poing dans la figure. Mais soyons réaliste ça n’aurait servi à rien d’autre qu’à me faire détester par Milly, ça grève les yeux quelle est amoureuse de se Lucas de malheur. Au final je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. J’ai trop trainé à lui avoué mon Amour. C’est vrai que Francis n'était pas trop partant que je drague sa sœur au début quand je lui ai fait part de mes sentiments mais il m’a dit qu’il me donnerait sa bénédiction si sa sœur répond favorablement à mes sentiments.
Je m’étais donc promis de lui faire part de mes sentiments une fois que je serai bien stable professionnellement.
Ironie du sort je comptais lui parlé le jour de son anniversaire mais quand je l’ai appelé je me suis dégonflé et ai reporté ça au lendemain à la soirée. Voilà qu’elle y a rencontré ce Lucas justement se soir la. Je ne m’attendais pas à ça bon Dieu. Je suis sur qu’il ne l’aime pas.
Au moins je suis encore son ami. Je serai donc à ses côtés en tant qu’amis en attendant mon tour bien sagement. Ne me demandez pas pourquoi mais je suis sur qu’elle m’est destiné. Donc je vais attendre.
En attendant j’ai besoin d’un verre voir deux pour supporter cette douleur. Je pris donc la direction de mon bar habituel. A mon arrivé la serveuse vient vers moi directement. Depuis le temps que je fréquente ce bar elle et moi avions développé un lien d’amitié. Au début elle voulait plus mais a finit par comprendre que je n’étais pas intéressé. Je la vois plutôt comme une petite sœur que je conseille.
Alors mon grand pourquoi ton beau visage est si froissé ? Dit moi qui t’a frappé et j’irai lui régler son compte me dit-elle le point levé. J’éclatai de rire malgré moi.
Personne ma chère personne. Sert moi stp
- serveuse : ok, tu ne suis pas d’humeur donc je te laisse tranquille mais sache que je suis la quand même.
Cela dit elle partit chercher ma boisson. Je lui sais gré de ne pas insister. Je risque de me mettre à pleurer comme une gamine. Tellement j’ai mal. Ma commande arrive. Elle me sert et repart tranquillement.
Après quelques heures je me sens un peu mieux. Ils ont toujours de bonnes playlist ici et l’ambiance est toujours au top. Je fais signe à la serveuse de venir.
Merci petite sœur pour ta présence. T’inquiètes pas j’irai mieux très bientôt. Je paie et lui demande de garder la monnaie. Je me lève e et lui envoie un bisou de la main et part.
Je rentre directement chez moi et je m’écroule sur mon lit.
A chaque jour suffit sa peine.
PDV MILLY
Une fois rentrée j’ai eue la flemme de préparer donc je me suis fait un grand bol de céréales aux noix avec du lait chaud. Là je suis devant la télévision à regarder enquêtes criminelles. Je suis accro à cette émission. Elle montre la dimension de la méchanceté et de la perversité de l’être Humain. Je me demande quelle genre de situation peut me pousser au meurtre mais je n’en vois pas.
Je n’ai même pas envie d’appeler Lucas tellement il m’a énervée se soir.
Je vais plutôt appeler Dine pour savoir s’il est bien rentrée.
Sa sonne mais il ne décroche pas. Je raccroche et me dirige vers la cuisine pour laver le bol. J’espère qu’il ne m’en veut pas. Je ne pense pas. Il n’est pas rancunier. Il me rappellera quand il verra mon appel. Je baille de fatigue. Je vais éteindre la télévision puis monte me coucher.
Demain est un autre jour
LENDEMAIN MATIN
Je me suis levée très tôt se matin donc j’ai eue le temps de me faire un bon café avec omelettes au jambon et des fruits. J’ai aussi préparé un bon plat de riz avec une sauce d’arachide à la viande de mouton. Miam miam.
J’ai hâte d’être à la pause pour le déguster.
Après avoir fini mon petit déjeuner je suis allé ouvrir le portail pour sortir la voiture quand je vois Lucas garé devant mon portail.
Lucas : bonjour mon cœur bien dormi j’espère. Votre humble chauffeur est la pour vous cherchez avec un paquet de croissants chaud et de friands à la viande comme tu aime.
Bonjour Mr le chauffeur je vais bien. Ok le temps de prendre mes affaires et de fermé et c’est bon.
Je retourne donc à l’intérieur pour mettre un gloss avant de partir. Une fois fait je monte dans la voiture et il démarre.
Le trajet se fit en silence.
On arriva et je n’attendis pas avant de descendre. J’ouvre et monte directement dans mon bureau en faisant semblant de ne pas savoir qu’il me suit.
Il prend place en face de moi, sort son ordinateur et se met à travailler. Je fis pareil et l’ignore. Tout en passant des appels je mangeait les friands et donnai les croissants à Céline et Laure qui étaient venues à un moment donné pour me remettre des dossiers.
Chacune d’elle le salua poliment puis parti. Laure m’a fait un clin d’œil en partant mais j’ai fait comme si je n’ai pas remarquer. J’ai l’impression quelle commence à vouloir dépassé les bornes. Notre amitié n’est pas tellement au point où elle fasse se genre choses. Peut-être que j’exagère mais en tout cas je vais la recadré si le besoin s’en fait sentir. Pour le moment ça va. Très vite l’heure de la pause sonna. Je vais faire la fermeture puis remonte dans mon bureau. Je vois Lucas allongé sur mon divan et torse nu. Il avait profité de mon absence pour enlever sa chemise. J’enlevai également la robe que je portais et mis un peignoir (ce que j’ai d’ailleurs l’habitude de faire les jours où je porte une robe).
Ensuite je sors ma glacière. Le bon Monsieur s’assit et prend également une cuillère. Heureusement que dans ma gourmandise se matin j’avais pris une grande quantité de nourriture en me disant que j’allais manger une partie à la pause et le reste en guise de goûter. Se fut ça chance sinon j’allais l’évincé vite fait. Rires
J’avais envie de rire de la situation mais je ne veux pas perdre à ce duel de silence. Donc ont mangea en silence. Je débarrasse et range la glacière dans le sac. Il va à la toilette et je profite pour m’allonger dans le divan. Je lance ma playlist de slow français et compte faire la sieste au calme.
Il revient et s’allonge sur le tapis. Heureusement pour lui le tapis est doux épais et bien moelleux.
Je ferme les yeux et sent le sommeil me gagner. J’ai encore une heure avant l’ouverture.
Je sens tout à coup sous mon peignoir sa main qui remonte le long de ma cuisse. Je décidai de gardé les yeux fermés pour savourer sans perdre le duel.
Il atteint rapidement mon string et commence à masser mon pubis du plat de sa main. De son autre main il soulève l’une de mes jambes et le pause sur le dossier du divan puis avec la même main il tire sur la corde de mon peignoir. Je me retrouve en soutif devant lui et sa main dans mon string. Je respirais plus rapidement mais je n’ouvre pas les yeux. Il passe la main dans mon dos pour désagrafer mon soutif libérant mes seins. Il prit l’un de mes tétons dans sa bouche et le suce doucement tout en le mordillant, puis il passe au second téton et fit de même. Il alterne entre mes seins. Pendant se temps son autre main à trouver le chemin vers le jardin du plaisir et il enfonce deux doigts en moi tellement j’étais mouillé. Il lâcha mes seins et descendit vers mon vers en y semant de Petits bisous jusqu’à ce que sa langue remplace sa main en bas. De sa main libre il écarte mes lèvres supérieur pour bien me sucer et me léchée. Je ne sut même pas quand j’ouvris les yeux. J’étais au bord de l’orgasme. Il s’arrêta juste à temps pour m’empêcher de jouir le salaud.
Je le vois sourire devant ma frustration.
Je me levai et le fis asseoir dans le divan puis je me mis à genou entre ses jambes et libéra la bête déjà dressé au bout luisant. Je le lapai sur toute la longue encore et encore. Il essaya de faire pression sur ma tête pour que je puisse l’engloutit mais je résiste et continu de le lapé tout en suçant le bout avec frénésie. Enfin je le pris en entier et le pompa jusqu’à ce que je sente ses cuisses se contracter signe qu’il allait jouir. Au dernier moment j’arrête de le sucer et me leva. Il écarquilla les yeux
Surpris puis sourit. Il me tire vers lui et me fit tourner. Je suis donc dos à lui. Il glissa jusqu’au bord du divan et m’empale sur sa queue mes deux jambes entre les siens. Humm. J’étais tellement en manque mais je ne lui dirai pas. Il agrippe mes hanches et me fit faire des mouvements de monté descendre très rapide qui me fit jouir en quelques secondes. Il ne s’arrêta pas pour autant. Il continua encore quelques minutes puis il se leva sans me lâcher et me demande de prendre appui sur le mur jambe écarté et cambré. Il me pilonna sauvagement pendant quelques minutes où je hurlais de plaisir. Il finit par jouir grognant lui aussi. Je file prendre une douche rapide puis m’allonge de nouveau. Il me reste trente minutes. Je m’endors aussitôt. 20 minutes plus tard mon réveil sonna. J’ouvre difficilement les yeux. Ces puissant orgasmes m’ont vidés mais pas le temps de traîner. J’enfile ma robe et arrange mes cheveux.
Lucas : tu as gagné bb. Je n’en peux plus de se silence. Je m’excuse pour mon comportement machiste d’hier. Je suis jaloux même si ce n’est pas une raison pour te demander de lâcher tes amis. Je te promets que ça ne se reproduira plus.
Ok bb, je vais te pardonner cette fois.
Je m’approche de lui et lui donna un french Kiss digne de PRETTY WOMAN .
Ensuite je descends ouvrir.
Je remonte quand Claude demande à me parlé au sujet d’un montant de douane. Je le suis pour aller dans son bureau. J’en ressors 30 minutes plus tard et retourne dans le mien. En ouvrant la porte je tombe sur Laure qui parle avec Lucas.
Bb tu es la ? Un truc urgent à régler avec le comptable ne te fâche pas ok.
T’inquiètes pas bb je sais qu’on est sur ton lieu de travail.
Je me tourne vers Laure qui est toujours debout.
Oui Laure ?
Laure : boss je voulais te parler mais tu n’étais pas la donc j’ai fait un peu la causette avec ton chéri comme il se sentait seul.
Tu te sentais seul bb ? Je demande en me tournant vers Lucas.
Lucas : bien sur que non. J’étais aussi entrain de travailler quand elle est arrivée. Je ne pouvais pas la chasser vu que se n’est pas mon bureau
Alors Laure qu’est ce qui te fait dire qu’il se sentait seul au juste ?
Laure :… toutes mes excuses boss je croyais bien faire
Non tu fais mal et se faisant tu dépasse les bornes et je n’apprécie pas.
Merci tu peux nous laissé.
Je vois quelle était sur le point de dire quelques choses mais elle se retient et sort.
Je vais m’asseoir sur mon siège et commence mon travail
Lucas : ma présence te cause des soucis apparemment. J’ai voulu passé la journée avec toi sans te faire quitter ton travail mais on dirait que c’est une mauvaise idée
Mais non bb je suis trop contente de ta présence.
Elle avait déjà commencé à dépassé les bornes depuis un moment déjà. J’avais juste fermé les yeux pour ne pas paraître trop rigide mais apparemment une conversation avec elle s’impose. Je serai plus que ravi de t’avoir avec moi souvent, donc t’inquiètes pas
Lucas : je suis rassuré alors.
J’aime l’ambiance de travail et surtout les heures de pause sont très appétissantes.
Je lui lançai un stylo sans répondre.
Ont travailla en silence jusqu’à l’heure du départ.