CHAPITRE 8
PDV LAURE
Mon Amour je suis la.
Amour,amour….
Il n’y a personne dans cette maison où quoi ?
Je suis restée debout dans le salon pendant quelques minutes avant de prendre mon phone pour l’appeler.
Je venais de lancer l’appel quand deux bras vigoureux me serrent la taille. Je criais toute paniquée.
Arrête de criée me dit ce con.
Tu m’as fait très peur Alfred. Je lui sauté au cou et l’embrassai tendrement sur les lèvres.
Alfred et moi ça date de 7 ans. On a connu nos haut et nos bas mais nous deux c’est à la BONNY & CLIDE.
Nous avions une relation particulière que vous aurai l’occasion de découvrir. Ce n’est pas encore le moment. Soyez patient. Nous aimerions garde notre relation secrète pour le moment c’est pourquoi je n’ai rien dit à mon boss Milly même si on j’entends bien. Ça me fait marrer quand cette idiote de Raïssa pense que son minable mari m’intéresse. Si seulement elle savait…ha haha.
Tu es diabolique bébé et je t’aime dit Alfred.
Prouve le moi dis-je
Il commença à m’embrasser tendrement puis ses baisers deviennent de plus en plus brûlant. Je poussai des Soupires de consentement.
Il s’arrêta un instant le temps de passer ma robe par-dessus ma tête et d’enlever son T-shirt.
Il me poussa délicatement dans le divan derrière moi et se mit à genou entre mes jambes. Il m'embrassa d’abord l’intérieur des cuisses puis de sa main droite il écarta mon string histoire d’avoir une vue dégagée sur mon minou toute luisante d’excitation
Humm tu es toute trempée pour moi ma colombe. Dit-il et je senti son sourire sur mon clitoris qu’il lapa d’un coup de langue savant. Faut avouer qu’il sait y faire.
Il plongea un doigt puis deux en moi tout en suçant et aspirant mon clitoris. Je senti un orgasme pointé le bout de son nez. Il accéléra les mouvements de ses doigts en moi tout en suçant avec avidité mon minou. N’en pouvant plus je joui en cambrant mon corps.
Il se dépêcha d’enlever son short et de se mettre au dessus de ma tête un pied du côté de mon épaule et l’autre au sol. Sachant ce qu’il voulait je pris son pénis fièrement dressé et le massai avec de petits mouvements du bout du gland vers la base de son engin bien épais et volumineux, ensuite je sucé légèrement le bout de son gland comme un bonbon bien sucré. Il gémissait de plus en plus. Impatient il voulu que je le prenne en entier ce que je fis avec plaisir. Il me baisa littéralement la bouche tout en me caressant les seins à tour de rôle. Je mouillais encore davantage. Étant sur le point de jouir il s’éloigna de moi le temps de mettre un préservatif. Il revient vers moi et me retourna. Je me mis à quatre pattes impatience de le recevoir en moi. Il me remplit tellement bien.
Tu es pressé de m’avoir n’est ce pas ? Je reçu une claque sur la fesse droite. Je sursauté car je ne m’y attendais pas. Puis une autre atterrît sur l’autre fesse et ainsi de suite jusqu’à ce que je sois au bord de la jouissance. Il s’arrêta le temps de se positionner et plongea en moi jusqu’à la garde. Je criai de douleur et de plaisir mélanger. Il se mit à me pilonner sauvagement jusqu’à se que nous jouissions ensemble. Il roula sur le dos et me prit dans ses bras.
Je t’aime bb mais je n’ai pas aimé ton comportement de l’autre fois. Me dit-il
Je sais bb, excuse moi. Je commence à être fatiguée de tout ca.
Je sais je sais
Mais c’est la dernière ligne droite et tu le sais. Donc soit patiente. On va vite en finir et vivre notre amour au grand jour.
Je lui fis la bise et allai prendre une douche avant de revenir me coucher dans les bras de mon homme.
PDV MILLY
La matinée de se mardi passa en coup de vents. L’heure de la pause ayant sonnée je pris mon sac et attendit Lucas devant la boutique après avoir fait la fermeture.
1 minute plus tard il était la. Il descendit m’ouvrir la portière et on prit le chemin de la route des pêches. Il m’amena à un restaurant de poisson. Leur spécialité c’est que tu choisi ton poisson et on te le braise puis tu choisis l’accompagnement de ton choix.
Nous optons donc pour un poisson sol accompagné de banane plantain frit et son jus d’oignons et piments vert pilés.
Le temps que le repas soit prêt on prit des jus de gingembre frais pour moi et du jus de bissap (jus de feuilles d’hibiscus bouillis et sucré au choix) pour lui.
Je te présente à nouveau mes excuses Milly. Je ne me pardonne pas de t’avoir manqué de respect et.
Je ne lui permis pas de finir. C’est bon Lucas tu es pardonner et c’est oublié. Donc ne t’inquiètes pas.
Ouf quel soulagement chérie si tu savais.
On parla de tout de rien pendant le déjeuner qui était exquis.
Eh bien dit moi pour quelqu’un qui n’est pas dans le pays depuis longtemps tu maîtrise de bon coin quand même hein je dit en souriant.
Si seulement tu savais de quoi je suis capable pour t’avoir ma belle me dit-il avec un sourire qui me donna des frissons.
Frisons de peur ou de plaisir je ne saurai le dire.
Boss lady je vous raccompagne au travail car il s’en va être l’heure ooh.
Heureusement que tu me le rappelle. Je perds la notion du temps avec toi et c’est grave.
Qu’est ce qu’il y a de grave à se laisser aller quand on est avec son prince charmant ?
J’éclatai de rires.
Te moques pas de moi stp me dit-il
Non non c’est simplement que ma meilleure amie à utiliser exactement les même mots pour te d’écrire quand je lui ai parlé de toi.
Aah wai alors la il faut que je la rencontre. Elle connait ma valeur celle la. Ce n’est pas comme d’autres. Pfft répondit-il en riant.
Il paya et nous partons. Il me déposa et reparti.
Le regard de tous mes envoyés était rivé sur moi. Je plaquai un sourire professionnel sur mon visage et alla ouvrir la boutique.
J’avais une réunion avec laure et un fournisseur pour établir le montant final de la facture et ainsi laure pourra le lui envoyer après que j’aurai signé.
Je la trouvai distante mais mis cela sur le compte du travail et surtout j’étais sur mon petit nuage donc je n’ai pas cherché à comprendre.
La soirée passa vite et j’étais trop pressé de rentrer chez moi.
Une fois chez moi je décidai d’appeler Lucas. Le téléphone sonna dans le vide mais personne pour décrocher. Je le rappellerai plus de trois fois mais toujours pas de réponse. Je m’inquiétais mais ne connaissant pas chez lui ni aucun de ses amis je me résigner à atteindre de ses nouvelles tout en espérant qu’il aille bien.
Je pris une douche puis au lit.
Le reste de la semaine passa ainsi sans aucune nouvelle de Lucas. Ni appel ni message et pourtant son phone était allumé ; car chaque fois que je l’appelais ça sonnait. J’ai été de mauvaise humeur toute la semaine, mes pauvres employés en ont fait les frais. N’en pouvant plus je me suis rendue chez Raï le samedi matin pour lui relaté la situation. La pauvre elle ne savait pas quoi dire pour me remonter le moral.
Admet une bonne fois pour toute que tu es tombée follement amoureuse de ce gars me dit-elle.
Tu à raison je l’avoue, je l’aime. Son silence m’a fait prendre conscience de ça. C’est bon tu es content ? Je lui répondis et j'éclatai en sanglots n’en pouvant plus de faire la forte.
Allez ma belle calme toi ok, il va réapparaître tu verras et tu auras une explication logique à son silence me dit Raï en me prenant dans ses bras.
Je pleurai encore quelques minutes dans ces bras avant de me calmer.
Excuse moi chérie je ne sais pas pourquoi je suis si bouleversé je lui dis.
Ne t’excuse surtout pas. Tu te rappelles les nombreuses fois où je venais pleurer sur tes épaules car se taré d'Andy ne me calculait même pas. Regarde nous maintenant donc calme toi ma belle. Maman est la dit elle en riant.
J’espère juste qu’il mérite toutes tes larmes.
Allez vient avec moi à la cuisine je vais frire de l'Aloco et on va manger.
Merci maman je dis en souriant et ont pris le chemin de la cuisine.
ELLIPSE DU WEEK-END
LUNDI MATIN 9H
Je suis toujours sans nouvelles de Lucas. Le week-end m’a paru tellement long. Mais j’ai décidé de ne plus pleurer.
J’étais à mon bureau entrain de traité certains dossiers quand mon téléphone sonna. J’y jetai un regard, mon cœur fit un boum en voyant le nom affiché. Je me suis efforcé à ne pas décrocher. Eeh wai il n’allait pas disparaître pendant six jours et revenir et pensé que je vais l'accueillir à bras ouverts. En l’espace d’une heure je reçu 10 appels venant de lui. Je mis mon phone sur silencieux et continua mon travail. La lourdeur que je ressentais dans mon cœur depuis des jours venait de disparaître par enchantement. A mon tour de faire la maligne. Rireees.
En un rien de temps il était l’heure de la pause. Ayant amené mon déjeuner je fermai derrière moi et fit une sieste.
Le reste de la journée passa tranquillement. Lucas ne m'avait plus appelé.
Je fus donc très surprise en le découvrant debout devant mon portail. Il était toujours aussi beau, vêtu d’un polo vert d’eau d’un jean Lewis noir et de bottes noires. Il était adossé au portail les mains dans les poches. Je pris quelques minutes pour l’observer et pour retrouver un semblant de calme et de désinvolture que j’étais loin de Ressentir.
Je me décide à sortir de la voiture et fit mine de ne pas l’avoir vue. J’ouvre le portail et fit entré la voiture. Après avoir garé je descendis pour fermer le portail et la il insista pour entrer. Je bataillai avec lui mais étant plus fort que moi il réussit à entrer et referme derrière lui. Sans un regard il prit le trousseau de clés et tâtonne un peu pour trouver la bonne clé qui lui permit d’ouvrir la porte du salon. Il entra et s’assit comme ci de rien n’était.
De quel droit te permets-tu de t’imposer chez moi de la sorte ? Je lui demande toute furieuse
Lève toi et sort de chez moi stp Lucas je n’ai pas envie de te parler.
Il ne disait toujours rien. Je m’approchai de lui pour le tirer hors du fauteuil et d’un coup je me retrouve assise sur ses genoux. Il m’avait tiré vers lui le con.
Malgré moi mon cœur battait la chamade.
On se regardait dans les yeux pendant quelques instants et d’un coup il m’embrassa. Se fut un baiser très doux. Il caressa mes lèvres avec sa langue. Malgré moi je gémis tellement s’était bon. Je mis mes bras autour de son cou pour approfondir se baiser tant attendue. Très vite je me retrouve à moitié nue sur ses genoux.
Putain bb t’a de magnifiques paires de seins me dit-il en caressant mes seins qu’il avait libéré de leur cage qu’est le soutif.
Je gémissais de plus belle. Je glissai ma main sous son polo pour lui caresser les abdos, les tétons. Il commença à haleté doucement. Je senti une énorme bosse contre mes fesses. J’en voulais plus alors je me levai et lui pris la main, direction la chambre.
Une fois sur place il m'arracha ma jupe puis mon string. Il prit de longues secondes à me contempler tout en caressant mon visage du bout des doigts.
Ce n’est pas juste je suis nue alors que tu es encore habiller je lui dis.
Avec un sourire carnassier il commença à se déshabiller avec lenteur, ca se voit qu’il me fait languir. Enfin son corps en entier apparu nu à mes yeux.
Je sentis des contractions à des zones de mon corps que je croyais dans le coma. Rires. tellement le gars est bien monté et bien bâti.